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Le Plan Canada est en fonction, et depuis fort longtemps. Le Plan consiste à intégrer 100 millions de personnes d’ici 2100. C’est dans à peine 75 ans, une génération et le Canada ne sera plus le Canada d’aujourd’hui. Notre part, au Québec sera d’environ 20 à 25 millions de nouvelles personnes, pour la plupart, devenues Canadiens, qui vont s’installer ici parmi nos 8 millions de gens déjà ici. Un Québec de 32 millions à terme.
Ceci est le corpus du Plan Canada, soutenus par la politique du multi-culturalisme et la Charte des Droits et libertés du Canada. Tout dernièrement, un poste officiel crée au sein du gouvernement, ouvre la porte à la religion qui sera dominante d’ici quelques années, l’islam.
Il y a plusieurs objectifs à ce plan. Entre autres, rendre tous d’abord et avant tout, tout le monde, de bons Canadiens. Il n’y a pas de place dans ce pays pour deux Nations, certainement pas la Québécoise. Non seulement le Canada inonde le Québec avec de nouveaux venus à tous les ans, on travaille pour cacher les vrais chiffres de l’immigration et en plus on fait exprès d’engorger le système québécois de l’éducation, de la santé ainsi que le domaine de l’habitation.
Pendant que Québec se concentre sur ces problèmes criants, le Québec n’a pas le temps de combattre le fléau à la source; la sur-immigration. Tous les énergies sont utilisées en défensive, en réaction à; et non en contre-offensive, voir en attaque. Oui ceci est une guerre. Une guerre pour notre survie en Amérique du Nord. C’est maintenant que la guerre se joue. Le Canada l’a compris, pas nous.
Dans 25 ans, il sera trop tard. Dans 25 ans nous seront environ 16 millions, pour la plupart que des immigrants (Canadiens) et nous seront rendus la minorité, ici chez nous. Oui, dans 25 ans.
Avouons-le, le Plan Canada est brillant; ça se passe en douceur, ça fait mal à personne, ça parait pas. Personne réagit à cette noyade planifiée.
Le Plan Québec
Et bien tout simplement dit, il en a pas. Nous n’avons pas de plan. Ça nous fait plaisir de subir le plan de notre voisin. Les Québécois n’ont jamais été très doué pour établir des stratégies gagnantes. On ne sait pas se projeter dans l’avenir. Nous savons très peu, bien compter.
Nous pensons, émotionnellement, que tous les autres ont la même sensibilité, la même générosité, la même innocence que nous! Mais nous sommes en guerre, est-ce les bonnes qualités à posséder lorsque qu’il faut mener le combat de notre survie? C’est la dernière chance après ce coup-ci, c’est terminé. Le Québec est gelé, pas seulement physiquement. Mentalement aussi.
Même si demain matin, TOUS les partis politiques du Québec annonçaient qu’ils mettaient leurs compteurs à zéro concernant l’immigration, c’est trop tard et surtout ce n’est pas assez. Trop peu, trop tard. Le Canada envoie à tous les ans, plus de 80,000 immigrants anglophiles chez nous; ceci est plus que nos naissances pour se maintenir en position majoritaire.
Que font les politiciens d’ici?
Le fédéralistes québécois, eux, on un plan.
Le voici.
À la prochaine élection, Le Parti Libéral du Québec va convaincre le beau parleur député fédéral de Louis-Hébert, Joël Lightbound de se présenter chef du parti. Et va suivre la débandade de la CAQ. La moitié de son électorat va suivre le fédéraliste vers les Libéraux; ensuite environ 20% va aller vers le PQ, et le restant vont rester là, à attendre et attendre et attendre.
Ceci va produire un gouvernement libéral. Et les nationalistes, eux, vont être encore à la déroute.
C’est beau d’avoir un plan.
Dommage mais les Québécois, eux, n’ont pas de plan.
Mais voyons! Il n’a pas danger! Voyons donc! Réponse typique du Québécois confiant devant un mur.
Il est temps de produire un plan, le Plan Québec.
Différente stratégies peuvent être utilisées. En voici quelques idées.
Dorénavant seulement 20,000 immigrants vont pouvoir obtenir la citoyenneté québécoise et les services rattachés à ce statut; éducation, permis de conduire, santé, etc. Tous les services du gouvernement du Québec seront offert seulement à vingt mille immigrants par année. Les autres pourront rester ici mais sans services québécois. Les fédéralistes vont crier, vous dites? Et puis? Laissez-les faire! Les Québécois ont bien chialé contre le poste de la raciste à Ottawa à propos de la promotion de l’islam…et elle est encore là. Alors, laissez-les chialer!
Puisque la CAQ ne veut pas toucher aux Cégeps pour le français, alors d’accord, vous pouvez transférer vers l’anglais…mais à vos frais! Payer ce qu’un étudiant étranger paie lorsqu’il vient ici; 20,000$ par année. Il n’y a aucune raison pourquoi le Québec doit payer pour aider les gens à étudier en anglais. Oui, mais on veut apprendre l’anglais…le Cégep n’est pas l’endroit pour apprendre l’anglais, on doit déjà connaitre la langue avant d’entrer; faux argumentaire!
Legault doit rappeler à l’ordre la mairesse de Montréal, à propos du poste de l’islam dans son administration. Il doit la talonner.
On doit aussi, une fois pour tout déterminer qui est de cette communauté anglaise. On doit les compter et déterminer si les besoins qu’on offre est correct et pas abusif.
Le chef du PQ doit sortir de son coma et faire plus que poser une question par mois à l’Assemblée nationale; écrire dans les journaux, prendre la tribune dans plusieurs endroit, propager l’information de l’urgence de la situation de notre fragilité.
Cessez d’offrir tous les services d’intégration à tous ces 120,00 immigrants et plus par année, ça déborde, donnons seulement ce que nous pouvons.
Nous devons faire un forum, une table ronde, n’importe quoi, mais nous devons collectivement parler de chiffres à propos des immigrants. Des chiffres en relations à notre population; des chiffres en relation à nos naissance, des chiffres comparatifs avec les autres nations. On doit cesser de se fermer les yeux sur cette réalité. Des chiffres, des chiffres, des chiffres.
Notre position doit être NON! C’est assez. On va donner des services qu’a 20,000 par année, notre capacité d’accueil.
Faut-il recréer des comités du OUI? Les grand-pères pour le OUI? Les retraités pour le OUI? Le 3e âge pour le OUI?
Comme pour la planète, il n’a pas de Plan B…il n’a que notre plan.
En gros, le Plan Québec contient un mot: souveraineté.
En bref, cesser d’agir comme si tout va bien, et nous n’avons que de petits problèmes à régler.
Cesser cette attitude de béatitude! Cessons de faire à semblant que tout est beau.
Parlons-nous.
Chers politiciens, donnez-nous l’heure juste, ça presse.
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