Ça fait plus de huit ans que je connais Vigile.net et depuis deux ans, rare sont les journées où je ne le visite pas. J’ai lu des centaines de textes, écris plusieurs commentaires, écris quelques textes dans la tribune libre en plus d’avoir contribué quelques centaines de dollars. Voilà qu’en l’espace d’un mois, la déception et la désolation m’ont frappées parce mes deux derniers textes n’ont pas été publiés.
Il y a deux semaines, j’ai écris directement à M. Frappier pour m’assurer qu’il avait bel et bien reçu mes textes, au cas où que non, et je me suis repris une deuxième fois suite à l’absence de réponse de sa part. Ensuite, j’ai écris des commentaires, qui ont été publiés, suites aux textes des autres alors il n’y a pas de problèmes technologiques. Mes deux textes étaient sommes toutes très modérés, l’un parlant de la possibilité que le Bloc québécois présente des candidats à l’extérieur du Québec en espérant faire comme le NPD et l’autre traitant de la démission des quatre députés du PQ. Je suis conscient que j’écris en faisant des fautes d’orthographes et de syntaxes occasionnelles mais celles-ci ne nuisent pas à la compréhension du texte.
J’en conclu que le gestionnaire de Vigile.net (M. Frappier?) ne désire pas publier mes textes et j’accepte ceci puisqu’il est le propriétaire d’un site internet privé. Il a pleinement le droit de le gérer comme il le veut. À partir d’aujourd’hui, mon orgueil ne me permet plus de participer à ce site et de me contenter du rôle de commentateur des textes des autres.
Maintenant, y a-t-il d’autres internautes qui sont dans la même situation que moi? M. Frappier a-t-il décidé de privilégier certains auteurs comme M. LeHir, Barberis-Gervais, Lapointe, Presseault, Savard, Parent et Dion, qui sont souvent excellent d’ailleurs, afin de ne pas noyer leurs textes dans une mer devenue trop grande? Si c’est le cas, qu’il me réponde et je vais comprendre.
Peu importe les raisons, Vigile.net et M. Frappier font un travaillent important pour la promotion de l’indépendance politique du Québec. Soyez assurés que mes convictions profondes ne sont pas déstabilisés et que je continu à croire à l’avènement de mon pays, Le Québec. Ainsi, pour l’instant, j’irai m’exprimer ailleurs à moins que tout ceci soit un malentendu.
Stefan Allinger