La Paix par la force, le seul moyen pour parvenir à vaincre les va-t-en-guerre*

Pourquoi le Président-humaniste Donald J. Trump méritera le Prix Universel de la Paix et des Droits démocratiques antitotalitaires**

Le Nouvel Ordre Mondial du 45-47ème Président des États-Unis vs le Désordre mondial des néo-impérialismes anti-USA et leurs complices islamo-libéro-socialo-communistes***

Tribune libre

<< Aucune paix n'est possible tant qu'il y a en vous des luttes, des tensions, de la peur. Comment peut-il y avoir la paix sur terre si c'est la guerre en vous ? >> Sai Maa (leader spirituelle)


« Ce n’est pas le pouvoir qui corrompt, mais la peur. La peur de perdre le pouvoir corrompt ceux qui l’exercent, et la peur du fléau du pouvoir corrompt ceux qui y sont soumis. >> Aung San Suu Kyi (ex-présidente de facto de la Birmanie et Prix Nobel de la Paix 1991)


La Paix par la force, est une stratégie de géopolitique étasunienne conçue pour lutter contre l’expansionnisme impérialiste du régime communiste de l’URSS. Cette << doctrine >> du Président Ronald Reagan(1) fut l’un des moyens pour faire face aux mouvements révolutionnaires et de guérillas inspirées du courant de pensée socio-politique des Jésuites marxistes ayant conçu et répandu en Amérique du Sud la << Théologie de la libération >> contre la sécurité des États-Unis(2).


En effet, l’URSS pour s’en sortir des contraintes géopolitiques, militaires, économiques, commerciales imposées par les États-Unis et leurs alliés occidentaux en déclenchant la Guerre froide(3), adopte la stratégie géopolitique prérévolutionnaire dans les pays anticommunistes inspirée de celle réussie à Cuba en 1959. Le résultat de ces pré-révolutions et conflits armés ont abouti à des narco-États (Colombie, Vénézuéla, Mexique), de prison à ciel ouvert (Cuba), des régimes de démocratie totalitaire (Nicaragua, Bolivie, Brésil) et des pays dont la classe moyenne se trouve piégée dans la paupérisation institutionnalisée ou forcée d’émigrer illégalement ou à se réfugier aux États-Unis ou en Europe.


Quel paradoxe, des conflits sociaux hors de l’URSS provoqués par une idéologie marxiste ayant comme conséquence initiale l’implantation des Goulags en Russie et dans ses États-satellites constituant l’URSS de Staline (le boucher de Géorgie) et ses bourreaux sanguinaires, depuis la chute de ce système apocalyptique en 1991, des millions de sudaméricains n’en rêvent que pour l’idéal américain. Mais cet idéal ne sera pas à l’apporté de ceux ayant comme objectif la destruction des États-Unis.


Depuis que les États-Unis ont été gouvernés par des imposteurs, antipatriotes, traîtres et leurs complices de l’État-profond(4), ces deux réalités socio-politico-économiques en Amérique du Sud, sont une fois de plus l’<< affaire>> des anti-USA, qu’à travers leur expansionnisme néo-impérialiste hybride, idéologique et économique, ces pays sudaméricains de par leur vulnérabilité respective de gouvernance ont tombé, cette fois, dans le piège du surendettement public, la dépendance économique en échange de la prédation de leurs ressources naturelles, l’imposture de l’économie socialiste de marché, la corruption systémique, la criminalité des mafias multinationales, le narcotrafic, les gangs de rue, le despotisme comme culture politique…


Tous ces repères qui façonnent les énoncés évoqués précédemment seront atténués par l’inertie de la conscience patriotique et nationaliste projetée au monde à partir de l’élection présidentielle de l’antilibéral-socialiste Donald J. Trump en 2016. Puisque l’option de préserver le statu quo de la réalité décrite antérieurement vis-à-vis d’un changement radical passe inexorablement par le projet du 45-47ème Président des États-Unis. C’est-à-dire, le Nouvel Ordre Mondial du Président Trump est radicalement opposé au Désordre du monde piloté par l’alliance sino-russe et ses États-satellites (BRICS+, OCS). Un désordre du monde dont l’objectif de la Chine-Russie(5), en ce qui concerne l’Amérique latine, est l’imposture d’<< Une alternative pour le Sud global >> basée sur la prédation des ressources naturelles, contrôle des sociétés d’État, endettement public, dépénalisation des drogues (Fentanyl), wokisme, l’arnaque de la décarbonisation, exportation d’armements, mainmise des sites portuaires, dumping sur les produits exportés, etc.   


Le Vénézuéla, l’Argentine(6), le Brésil…, sont des exemples de pays tombés dans le giron géostratégique de la Chine sur la mainmise de leurs ressources naturelles, lesquelles sont acquises par des prêts qui seront assujettis sur le plan économique, financier, énergétique, monétaire(6). Cette mainmise du néo-impérialisme communiste chinois en Amérique Latine se verra confrontée inexorablement au Pouvoir global géostratégique, politico-économique, financier, monétaire et militaire de la première puissance depuis le retour de Donald J. Trump à la Maison-Blanche. Le Nouvel Ordre Mondial du 45-47ème Président des États-Unis devient par ce Pouvoir étasunien l’un des évènements les plus marquants au monde en ce XXIe siècle.


De plus, ces considérations s’appliquent également aux relations concernant la guerre contre les liens qui entretiennent les narco-États avec leurs fournisseurs chinois de produits réactifs nécessaires pour l’élaboration du Fentanyl et d’autres drogues trafiquées illégalement aux États-Unis. Dans cette lutte contre la géo-criminalité, le Président Trump, depuis 9 mois de la période éculée de son 2ème mandat présidentiel, a entrepris une véritable guerre contre les mafias des cartels mexicains, colombiens, vénézuéliens et ses sbires aux États-Unis. Cette guerre est considérée par un Décret présidentiel comme ordre de sécurité nationale stipulant ces cartels des << groupes terroristes >>. Dans le même esprit, le Président patriote-humaniste, base sa politique contre la géo-criminalité comme une des grandes priorités d’État l’élevant d’une telle ampleur sans précédent dans l’Histoire des États-Unis contre le crime organisé(7).


Pour y parvenir, le Président des États-Unis va cesser de nourrir le << Dragon chinois >>(8) en neutralisant son expansionnisme colonisateur anti-étasunien en Amérique du Sud.


L’information exhaustive présentée ici-bas mérite l’attention afin de saisir l’ampleur de ledit expansionnisme du régime communiste chinois dans le sous-continent américain :


L’un des aspects les plus marquants de l’économie politique internationale est l’importance croissante de la République populaire de Chine (RPC) en tant que grande puissance, non seulement industrielle et commerciale, mais aussi technologique, financière et militaire, avec une capacité croissante d’exercer son pouvoir dans les organisations internationales et sur les pays tiers, en particulier dans le « Sud global ». Dans cet article, nous examinerons d’abord l’expansion de la RPC en Amérique latine et ses relations avec le continent. Avant de focaliser sur le cas de l’Argentine et du rôle de la Chine dans le secteur de l’énergie.


Dans des travaux antérieurs, nous avions caractérisé un nouveau type d’intégration dépendante de l’Amérique latine, sur la base des concepts de « consensus des commodities » et de « consensus de Pékin » (Svampa et Slipak, 2015 et 2017). Compte tenu des changements politiques en cours dans la région et des tensions entre la Chine et les États-Unis, ainsi que du rôle central que joue la prétendue transition « verte », nous proposons de réexaminer ce diagnostic à l’aune de ce que nous appelons désormais le « consensus de la décarbonation » (Bringel et Svampa, 2023).


La Chine comme nouvelle puissance hégémonique


Entre 1978 et 2011, la Chine a connu en moyenne un taux de croissance de 10% par an. Tout en maintenant des politiques planifiées par l’État, au début du 21e siècle, le pays a profondément transformé son secteur industriel, pour devenir un exportateur de produits avec un fort contenu technologique et, dès 2010, la deuxième économie mondiale. La Chine est non seulement une puissance industrielle mais aussi financière. Les énormes excédents commerciaux et le fort taux d’épargne interne ont permis qu’une grande partie de ceux-ci soient destinés à l’achat de bons du Trésor américain, dont elle est devenue le principal prêteur.


La RPC est aussi le premier pays détenteur de réserves internationales. En octobre 2016, le yuan est incorporé au panier des devises des droits de tirage spéciaux du FMI, renforçant la politique chinoise de promotion du yuan comme monnaie de réserve. Actuellement, plus de cinquante banques centrales à travers le monde l’utilise comme monnaie de réserve. La Chine est également le deuxième émetteur d’investissements directs étrangers (IDE). Déjà en 2017, parmi les 500 entreprises mondiales classées selon l’importance de leur chiffre d’affaires, 109 étaient de capitaux chinois.


La Chine a considérablement augmenté son quota de pouvoir international ; elle dispose d’une capacité accrue pour créer des instituions nouvelles et même modeler l’infrastructure globale en fonction de ses besoins, apparaissant ainsi comme un leader mondial. À ce stade, il est important de souligner que RPC déclare que sa montée en puissance est pacifique. Son discours est fondé sur la rhétorique diplomatique qui prévaut depuis 1954, à partir des « cinq principes de coexistence pacifique » : respect de la souveraineté, non-agression, non-ingérence, etc. Ce que d’aucuns nomment le soft power.


Pour autant, en face, l’expansion de la Chine a été perçue comme une menace. En réaction, le président états-unien Barack Obama avait cherché à consolider à tout prix le « Trans-Pacific Partnership » (TPP), un traité de « nouvelle génération » entre des pays d’Amérique latine offrant un débouché sur le Pacifique et certaines économies d’Asie et d’Océanie, dans le but de réduire l’influence commerciale et politique de la Chine dans ces régions. Mais, avec Donald Trump, la géopolitique subit plusieurs évolutions, dont les impacts furent réels en Amérique latine. Trump retira son pays du TPP, tandis qu’il s’engageait dans une politique plus protectionniste en matière commerciale. Conséquence paradoxale de ce repli, la Chine s’érigea en défenseur du libre-échange mondial. Les élites, tant du « Sud global » que du « Nord global », se virent presque contraintes de se tourner vers la RPC, non seulement comme marché pour y exporter leurs produits, mais aussi comme banquier pour financier des projets d’infrastructures.


Sous l’administration suivante, bien que la concurrence commerciale et géopolitique se soit accrue, en novembre 2023 les deux présidents (Biden et Xi Jinping) se sont rencontrés aux États-Unis dans le but de reprendre le dialogue en matière militaire et climatique, dans un contexte de fragilité internationale, en raison de la guerre en Ukraine et dans la bande de Gaza.


La Chine ne peut donc plus être considérée comme un pays « en voie de développement ». Son rôle de grande puissance, dans ce processus de transition hégémonique, est indiscutable. La question fondamentale quant aux effets spécifiques de son émergence et de ses relations avec l’Amérique latine réside dans la façon dont elle assume son nouveau rôle ; si elle agit ou non comme un pouvoir qui défie l’hégémonie américaine et propose de nouvelles institutions globales. À partir de son intégration actuelle dans la configuration (oligopolistique) du pouvoir, la Chine a déjà modifié l’ordre international. Son émergence même a entrainé des changements dans les rapports de force entre grandes puissances : une plus grande déconcentration des forces économiques et une plus grande diversité culturelle.


Si le gouvernement de la Chine ne souhaite pas que son ascension se traduise par une augmentation des tensions belliqueuses, une série d’événements viennent de fait défier la primauté des États-Unis. Depuis le début du 21e siècle, le gouvernement de la RPC promeut une politique d’investissements directs, plus connue sous le terme de « going global », qui vise à obtenir un meilleur positionnement mondial. Cette politique ne répond à de multiples objectifs. Si le plus souvent mentionné par les médias est celui de la quête de matières premières, on constate également l’achat de firmes de marques disposant de solides réseaux de distribution et la prise d’importantes parts de marché dans les entreprises de produits de consommation courante.


Les firmes de la RPC acquièrent également des entreprises propriétaires de brevets ou de technologie, leur permettant d’accéder à la rente provenant de la connaissance, qui constitue un autre champ de dispute de l’hégémonie globale. Les firmes chinoises ont aussi commencé à délocaliser les industries de main-d’œuvre vers les pays dans lesquels les exigences en matière de droit du travail sont moindres. En somme, nous vivons un moment de dispute hégémonique, encore ouvert et indéfini. Une ère de lutte inter-impériale qui marque le passage d’un monde unipolaire à un monde multipolaire. Ce multi-impérialisme a sans aucun doute des conséquences et des impacts sur les pays du Sud.


Conclusion


Dans ce contexte décrit dans les pages du présent document, il faut penser que le 45-47ème Président des États-Unis sait pertinemment que son temps comme leader de la première puissance globale est tout d’abord de sauver les États-Unis d’Amérique afin de préserver les valeurs définissant les atouts de l’Occident démocratique, nationaliste et patriotique hors de l’actuel Désordre mondial de déprédateurs de fonds publics, multilatéralisme, d’endettement et des arnaques de taxations carboneutres, corruption institutionnalisée, systèmes antidémocratiques, wokisme, d’écolo-terrorisme, ONG’s et lobbyismes chasseurs de subventions publiques, mafias bureaucratiques et mains mortes dans l’administration publique, d’antipatriotisme, multiculturalisme, et de complices des néo-impérialismes destructeurs de souverainetés nationales.


Cet extrait du discours du président Xi Jinping lors de la 14e Assemblée populaire nationale révèle les intentions néo-impérialistes du régime communiste chinois :


Nous devons nous efforcer de promouvoir la construction d'une communauté d'avenir partagé pour l'humanité. Le développement de la Chine bénéficie au monde entier et la Chine ne peut pas se développer isolément du reste du monde. Nous devons faire des efforts concrets pour promouvoir une ouverture de haut niveau, ne pas nous contenter de tirer parti des marchés et des ressources mondiaux pour notre propre développement, mais promouvoir également le développement du monde entier. Nous devons nous consacrer à la paix, au développement, à la coopération et aux bénéfices mutuels, nous tenir fermement du bon côté de l'histoire, pratiquer un véritable multilatéralisme, et défendre les valeurs communes de l'humanité. Il faut participer activement à la réforme et au développement du système de gouvernance mondiale, apporter notre contribution à la construction d'une économie mondiale ouverte, faire progresser la mise en œuvre de l'Initiative pour le développement mondial et de l'Initiative pour la sécurité mondiale, apporter davantage de stabilité et d'énergie positive au développement pacifique du monde, et créer un environnement international favorable au développement de la Chine.(9)


La citation du général de l’Armée rouge Qiao Liang(10) résume l’objectif du régime expansionniste de Xi Jinping et de ses << successeurs >> au Parti Communiste Chinois (PCC) :


<< La Chine souhaite envahir Taïwan et assurer son hégémonie sur le monde. >>(11)


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Jean-Louis Pérez-Martel


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*. Donald Trump a assuré dimanche qu'il pourrait menacer M. Poutine de livrer à Kiev des missiles de croisière Tomahawk si la Russie n'acceptait pas de mettre fin à la guerre en Ukraine qu'elle a déclenchée en 2022. Le président russe Vladimir Poutine avait auparavant mis en garde contre la fourniture de Tomahawk à Kiev, affirmant que cela constituerait << une nouvelle escalade >> et affecterait les relations entre Washington et Moscou.


(…).


Une délégation ukrainienne a rencontré des fabricants de missiles Tomahawk


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2199994/delegation-ukraine-missile-tomahawk


**. Autre conflit armé qui sera stoppé par le Président patriote-humaniste des États-Unis employant la Paix par la force et sa persévérance de négociateur pacifiste comme il a déjà prouvé antérieurement par son intervention personnelle et diplomatique lors des 8 autres guerres entre belligérants frontaliers :


(…).


M. Trump a par ailleurs assuré que Vladimir Poutine << voulait mettre fin à la guerre >>, une déclaration qui survient au lendemain d'un coup de fil surprise avec son homologue russe, qui a averti qu'une livraison de missiles Tomahawk << nuirait considérablement >> à la relation russo-américaine et aux perspectives de paix.


<< Je lui ai parlé hier pendant deux heures et demie, nous avons couvert beaucoup de détails >>, a indiqué vendredi M. Trump, sans développer pour autant.


Au terme de cette conversation, les présidents américain et russe ont convenu de se voir à Budapest, << dans les deux prochaines semaines >>, selon le président américain.


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Trump espère une fin de la guerre sans que l’Ukraine ait besoin de missiles Tomahawk


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2200321/zelensky-rencontre-trump-missiles-tomahawk


***. Les néo-impérialismes de l’OCS** et leurs complices étatiques anti-USA contre le Nouvel Ordre Mondial du 45-47 Président des États-Unis


https://vigile.quebec/articles/les-neo-imperialismes-de-l-ocs-et-leurs-complices-etatiques-anti-usa-contre-


L’Iran dit ne plus être contraint par les « restrictions » liées à son programme nucléaire


L’Iran dit ne plus être contraint par les « restrictions » liées à son programme nucléaire | Radio-Canada


1. La doctrine Reagan amena les États-Unis à fournir un appui officiel ou officieux à des mouvements de résistance et de guérillas de droite afin de refouler les gouvernements de gauche soutenus par l'Union soviétique en Afrique, en Asie et en Amérique latine.


La doctrine Reagan était une stratégie orchestrée et mise en place par les États-Unis sous l'administration Reagan pour contrer l'influence globale de l'Union soviétique au cours des dernières années de la guerre froide. La doctrine ne prévalut qu'à peine une décennie, mais fut au cœur de la politique étrangère des États-Unis du début des années 1980 jusqu'à la fin de la guerre froide, en 1991.


La doctrine Reagan amena les États-Unis à fournir un appui officiel ou officieux à des mouvements de résistance et de guérillas de droite afin de refouler les gouvernements de gauche soutenus par l'Union soviétique en Afrique, en Asie et en Amérique latine. La doctrine était conçue en vue non seulement de réduire l'influence soviétique dans ces régions, mais aussi de permettre l'avènement du capitalisme (et parfois de la démocratie libérale) dans des pays majoritairement dirigés par des gouvernements socialistes soutenus par l'Union soviétique.


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Doctrine Reagan https://fr.wikipedia.org/wiki/Doctrine_Reagan


2. Développements sociaux et politiques (de la Théologie de la libération)


Les gouvernements populistes des années 1950 et 1960 — notamment ceux de Perón en Argentine et de Vargas au Brésil, ou encore celui, dans les années 1940, de Cárdenas au Mexique — inspirèrent une conscience nationale et un développement industriel significatif, en ayant moins recours aux importations. Cela bénéficia aux classes moyennes et au prolétariat urbain mais provoqua la marginalisation de secteurs entiers de la paysannerie, et créa de nombreux bidonvilles autour des grands centres urbains. Aussi des mouvements demandant des changements profonds dans la structure socio-économique de leur pays apparurent-ils. À leur tour, ces mouvements laissèrent place à des dictatures militaires, qui cherchèrent à préserver et même à promouvoir les intérêts des classes dominantes, en s’aidant d’une politique de « sécurité nationale » passant parfois par une répression sévère. C’est dans ce contexte qu’apparut l’alternative socialiste à partir de la révolution de Cuba. Des soulèvements armés eurent lieu dans de nombreux pays, si bien que l’on peut parler, pendant ces années 1960, d’une atmosphère prérévolutionnaire.


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Théologie de la libération


https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ologie_de_la_lib%C3%A9ration


3. La guerre froide est la période de fortes tensions géopolitiques durant la seconde moitié du XXe siècle entre, d'une part, les États-Unis et leurs alliés constitutifs du bloc de l'Ouest et, d'autre part, l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et ses États satellites formant le bloc de l'Est. La guerre froide s'installe progressivement à partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale, dans les années 1945 à 1947, et dure jusqu'à la chute des régimes communistes en Europe en 1989, rapidement suivie de la dislocation de l'URSS en décembre 1991.


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Guerre froide https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_froide


4. En exemple de la trahison anti-USA-Trump, ces 3 mercenaires James Comey, Letitia James et John Bolton, à la solde de l’État-profond déjà inculpés subiront des condamnations appropriées à leur félonie respective, comme tous ceux ayant commis des actions criminelles contre le Président Donald J. Trump afin de l’inculper, le condamner et le ruiner en saisissant son patrimoine immobilier, financier corporatif et biens privés. Une spoliation mafieuse classique contre les patriotes riches s’opposant aux partis socialo-libéraux-communistes et leurs complices financiers, lesquels s’enrichissent davantage en s’appropriant de leurs biens saisis ensuite achetés à des prix dérisoires(10) :


Comey, Brennan, James... Qui sont les cibles de la revanche judiciaire de Donald Trump ?


https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20250926-comey-brennan-james-schiff-bolton-qui-sont-cibles-revanche-judiciaire-donald-trump


5. << Le président Poutine et moi-même nous rencontrerons [...] à Budapest, en Hongrie, dans un endroit convenu, afin de voir si nous pouvons mettre fin à cette guerre "peu glorieuse" entre la Russie et l'Ukraine.>>


Trump va rencontrer Poutine en Hongrie


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2200095/trump-poutine-discussion-russie-ukraine


6. « Faire sortir la Chine d'Argentine »


Avec cette première vente de devises, l'objectif recherché est de redonner de l'air à l'économie argentine alors que la Banque centrale argentine manque cruellement de réserves en dollars. « L'Argentine est confrontée à une grave crise de liquidité. La communauté internationale, y compris le FMI, soutient l'Argentine et sa stratégie budgétaire, mais seuls les Etats-Unis peuvent agir rapidement. Et c'est ce que nous ferons. C'est pourquoi nous achetons aujourd'hui directement des pesos argentins », a expliqué Scott Bessent.


Un plan de sauvetage certes, mais avec des contreparties du côté argentin, notamment au sujet de la Chine. Vendredi sur Fox News, Scott Bessent a affirmé qu'en échange de l'aide financière, Javier Milei « s'était engagé à faire sortir la Chine d'Argentine ». Et ce, alors que l'Argentine est déjà engagée dans un accord de swap avec la Chine d'un montant de 18 milliards de dollars.


Washington cherche par tous les moyens à contrer l'influence de Pékin en Amérique latine, région historiquement chasse gardée des Etats-Unis. A la suite de l'officialisation de l'accord de swapl'entreprise américaine Open AI a d'ailleurs signé une lettre d'intention pour un investissement 25 milliards de dollars afin de créer un data center en Patagonie argentine.


Milei à la Maison-Blanche pour sceller le plan de sauvetage de l'Argentine avec Trump


Le président argentin est reçu officiellement par Donald Trump à la Maison-Blanche ce mardi. Ils doivent ratifier l'accord de swap de 20 milliards de dollars pour stabiliser l'économie argentine, en manque de liquidités. Buenos Aires s'engage à des contreparties.


https://www.lesechos.fr/monde/ameriques/milei-a-la-maison-blanche-pour-sceller-le-plan-de-sauvetage-de-largentine-avec-trump-2191981


 President Donald Trump holds a bilateral lunch with Argentina's President Javier Milei at the White House.’


https://www.youtube.com/watch?v=OgTWiPKAy3k


President Trump participates in bilateral lunch with Argentina's president | LiveNOW from FOX


https://www.youtube.com/watch?v=OgTWiPKAy3k


Les électeurs argentins pris en otage par les partis ayant utilisé l’appareil de l’État afin d’acheter et conditionner leur vote au moyen de l’endettement public pendant les années antérieures de l’actuel Président Javier Milei, << le trumpiste argentin >>, se voient aujourd’hui devant la réalité de décider lors des prochaines élections de mi-mandat, 26 octobre prochain, d’être sous la tutelle financière permanente du régime communiste (chinois ou s’en sortir avec celle des États-Unis, acceptant des politiques financières et monétaires radicales le libérant du << dragon >> néo-impérialiste chinois.


« S'il ne gagne pas, nous partons » : le chantage à l'élection de Trump pour aider l'Argentine de Milei


Donald Trump a affiché un soutien appuyé à Javier Milei, mais conditionne l'aide américaine, de 20 ou même 40 milliards de dollars, à l'issue des législatives du 26 octobre prochain. L'opposition dénonce une ingérence étrangère dans le processus électoral.


https://www.lesechos.fr/monde/ameriques/sil-ne-gagne-pas-nous-partons-le-chantage-a-lelection-de-trump-pour-aider-largentine-de-milei-2192278


7. Trump & FBI Director Patel on ‘Operation Summer Heat’


https://www.youtube.com/watch?v=ZWvMNc3iYbw


Le président Donald Trump a confirmé, mercredi, avoir autorisé la CIA à mener des opérations clandestines au Venezuela. Il dit l’avoir fait pour deux raisons : « Ils nous ont envoyé leurs prisonniers aux États-Unis. Et il y a beaucoup de drogue en provenance du Venezuela. »


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Analyse I La CIA contre le régime vénézuélien


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2200004/cia-donald-trump-venezuela-nicolas-maduro


Deux « narcoterroristes » remis à l’Équateur et à la Colombie par Washington


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2200625/narcoterroristes-equateur-colombie-sous-marin-drogues


8. La Chine occupe désormais une position hégémonique en Amérique latine et en Argentine en particulier. Tant en matière de financement et d’investissements dans l’extractivisme traditionnel et le nouvel extractivisme « vert » – le « consensus de la décarbonation » – qu’en matière commerciale, en important les « commodities » issues des sols et sous-sols latino-américains et en exportant vers le sous-continent ses produits industriels.


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La Chine et son rôle hégémonique en Amérique latine et en Argentine


https://www.cadtm.org/La-Chine-et-son-role-hegemonique-en-Amerique-latine-et-en-Argentine


Donald Trump a jugé vendredi qu’il n’y avait «plus de raison» valable de rencontrer comme prévu son homologue chinois Xi Jinping dans deux semaines, laissant éclater sa colère contre une décision de Pékin dans le domaine ultra-sensible des terres rares.


Le président américain a jugé que la Chine «devenait très hostile» et l’a menacée de représailles commerciales «massives», dans un message sur son réseau Truth Social.


Le géant asiatique est le premier producteur mondial de terres rares, ces matériaux indispensables aux industriels, et Washington l’accusait déjà d’abuser de cette position dominante.


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Trump menace d'annuler sa rencontre avec Xi en raison d'un conflit sur les terres rares


Le président américain a jugé que la Chine «devenait très hostile» et l’a menacée de représailles commerciales «massives».


https://www.noovo.info/nouvelle/trump-menace-la-chine-de-represailles-massives-apres-des-restrictions-de-pekin-sur-les-terres-rares.html


Pourquoi Donald J. Trump est le seul Président depuis 1972 qui va cesser de << nourrir le Dragon >>**


https://vigile.quebec/articles/pourquoi-donald-j-trump-est-le-seul-president-depuis-1972-qui-va-cesser-de-n


9. Texte intégral du discours de Xi Jinping prononcé à la première session de la 14e APN


https://french.news.cn/20230314/e8b5c38615be47a5a2024c5146a5061e/c.html


10.  La Chine dominera le monde. Entretien avec le Général Qiao Liang


https://www.revueconflits.com/general-qiao-liang-hegemonie-chine-laurent-gayard/


11. L’expansionnisme néo-impérialiste du régime communiste chinois avec ses complices de la néo-aristocratie gouvernante en Occident anti-USA ont voulu imposer une taxe sur les émissions du transport maritime afin de développer davantage la puissance maritime de la Chine contre celle des États-Unis. Dans ce contexte d’arnaques d’impositions des taxes carbones de toutes sortes, le Président Trump a exhorté les pays membres de l’Organisation Maritime Internationale (OMI) de s’opposer à cette nouvelle << taxe carbone >> :


Jeudi (16 octobre 2025), M. Trump a publié sur sa plateforme de médias sociaux Truth Social un message demandant aux pays de voter «non» et affirmant que «les États-Unis ne toléreront pas cette nouvelle taxe écologique mondiale frauduleuse sur le transport maritime».(12)


Cette autre offensive du régime communiste de Xi Jinping contre les intérêts du transport maritime des pays occidentaux et de producteurs d’hydrocarbures, est un autre stratagème du dit expansionnisme colonisateur chinois :


La Chine, en tant que membre de l'Organisation maritime internationale (OMI), coopère sur les questions de réglementation maritime et de sécurité tout en développant simultanément sa propre puissance navale pour protéger ses intérêts commerciaux et projeter sa puissance. Cette relation est complexe, car la Chine est à la fois un acteur dans le cadre des règles de l'OMI et une puissance émergente dont les ambitions maritimes peuvent parfois entrer en tension avec d'autres nations ou avec le droit international, comme en témoignent les revendications territoriales en mer de Chine (information extraite généré par l’IA)


12. Washington bloque une taxe sur les émissions du transport maritime


https://www.lesoleil.com/actualites/environnement/2025/10/17/washington-bloque-une-taxe-sur-les-emissions-du-transport-maritime-OSAOXJNERNGRBGSOT6PX54GYIQ/


13. La mafia politique des Partis Socialo-libéraux-communistes en Europe et ailleurs ont comme but essentiel de leur existence d’organisation de pouvoir mafieux le saccage en système. Les cas de quelques-uns de prédation de biens publics et privés sont présentés ici-bas comme exemples dans l’Espagne de ces groupes politiques d’escrocs :


Dans la nuit du mercredi 23 février 1983, le porte-parole du gouvernement socialiste, Eduardo Sotillos, annonça à la télévision le décret-loi 2/1983 portant expropriation forcée de la holding Rumasa, propriété de l'homme d'affaires de Jerez, José María Ruiz Mateos. Aux premières heures du matin, quelques heures avant la signature du décret royal par le roi Juan Carlos et le président González et sa publication au Journal officiel de l'État, la police nationale et la Garde nationale firent irruption au siège du groupe, situé sur le Paseo de Recoletos et dans le quartier de Torres de Jerez, sur la place Colón à Madrid, à l'aide d'armes légères, de pistolets et de mitraillettes. Pour mettre en œuvre cette mesure extraordinaire, le gouvernement a usé de manière trompeuse et arbitraire des pouvoirs discrétionnaires prévus à l'article 33.3 de la Constitution (priver quelqu'un de ses biens et de ses droits pour des « raisons justifiées d'utilité publique ou d'intérêt social »), qui étend une disposition de confiscation de 1939. Il s'agissait de biens de l'économie de guerre, au lieu de s'appuyer sur la loi d'expropriation de 1958. Avec ce coup d'État pseudo-révolutionnaire, le gouvernement s'est emparé d'un seul coup de la plus grande holding privée du pays, composée de plus de 600 entreprises et sociétés opérant dans 30 secteurs différents, avec plus de 65 000 emplois directs et un pôle bancaire de 20 banques, la huitième plus grande avec 1 300 succursales réparties dans toute l'Espagne, 800 milliards de dollars de ressources et 50 milliards d'actifs immobiliers. Et la Banque Atlantique comme monnaie.


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Cette offensive d'endiguement semble porter ses fruits. Mais la victoire écrasante du PSOE et la quasi-disparition de l'UCD aux élections législatives du 28 octobre 1982 vont changer la donne. Les socialistes arrivèrent au pouvoir avec plus de dix millions de voix, soit 48 % des suffrages, ce qui leur conférait une majorité absolue écrasante de 202 députés. Après le débat d'investiture le 1er décembre 1982, Felipe González forma un gouvernement modéré, d'inspiration sociale-démocrate et de tendances catholiques, bien que son programme électoral prônât la nationalisation de secteurs stratégiques. Il plaça Miguel Boyer Salvador à la tête du ministère de l'Économie et des Finances. Ce ministre hautain et tout-puissant chercha à contrôler le monde financier et demanda à la Banque d'Espagne des rapports sur les banques confrontées aux risques et à la faillite. Tout au long de sa carrière, Boyer fit partie du département de recherche de la Banque d'Espagne. Il était un ami proche du vice-gouverneur Mariano Rubio, ainsi que du banquier Claudio Boada. Ce cercle de confiance étroit, qui, peu après l'expropriation de Rumasa, allait être surnommé « le beau monde », était un cercle de confiance.


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Le pillage de Rumasa


https://kosmospolis.com/2013/12/el-expolio-de-rumasa/


Rumasa https://en.wikipedia.org/wiki/Rumasa


L’intervention de Banesto (Banque Espagnole de Crédits) fut autre cas de pillage commis par le Gouvernement socialiste de Felipe González Márquez (1982-1996). De plus, après son 4ème mandat comme Premier ministre (l’un des plus grands traîtres de l’Histoire d’Espagne), il s’allie avec ses complices mafieux du système bancaire espagnol pour entamer la privatisation des multinationales étatiques espagnoles à travers des ingénieries politicofinancières frauduleuses. Après ce parcours d’escroc notoire(14), il dirige la Fondation pour le progrès mondial (FPG), basée à Madrid.


Voici un autre des saccages commis par cet imposteur devenu millionnaire par son parcours de socialo-capitaliste internationaliste trahissant les intérêts du peuple andalou l’ayant élu par une majorité écrasante en 1982 :


« L'initiative d'intervenir chez Banesto a été motivée par le refus de Mario Conde de reprendre Ibercorp. » C'est ce qu'affirme sans détour Alfonso Guerra, ancien numéro deux du gouvernement et du PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol), dans ses derniers mémoires. Guerra affirme que la décision de Conde de ne pas racheter Ibercorp pour éviter le scandale impliquant les amis de Solchaga était motivée par la « vengeance » des « sociaux-libéraux » du PSOE, qui avaient décidé d'intervenir chez Banesto pour punir Conde. Guerra fait à nouveau sensation, et de manière spectaculaire.


De graves révélations d'Alfonso Guerra dans ses derniers mémoires


Guerra : L'intervention de Banesto était la vengeance de Solchaga contre Condé pour le scandale Ibercorp.


- Condé a refusé d'acheter Ibercorp, ce qui aurait évité un scandale aux sociaux-libéraux de Solchaga.


https://www.diariocritico.com/noticia/436228/nacional/guerra-la-intervencion-de-banesto-fue-una-venganza-de-solchaga-contra-conde-por-el-escandalo-de-ibercorp.html


L’alliance socialo-communiste-anarquico-étarra-indépendantiste constituant l’actuel gouvernement corrompu du socialiste premier ministre Pedro Sanchez Pérez--Castejón (président aussi de l’Internationale Socialiste) utilise, à travers ses complices du pouvoir judiciaire philo-socialiste, la protection de sa corrompue épouse Begoña Gómez :


Le ministère public s'oppose à la décision du juge Peinado de prolonger l'enquête sur Begoña Gómez jusqu'en 2026.


https://www.diariocritico.com/nacional/fiscalia-opone-prorrogar-2026-investigacion-begona-gomez


14. Son gouvernement est secoué entre 1994 et 1995 par plusieurs scandales de corruption, conduisant à la démission du ministre de l'Intérieur, du ministre de l'Agriculture et de plusieurs ténors du PSOE.


Corruption en Espagne https://fr.wikipedia.org/wiki/Corruption_en_Espagne


La corruption dans le monde et l’imposture de l’ONG Transparency International (TI)


Corruption — Wikipédia


Transparency International — Wikipédia


L’Internationale Socialiste et la Chine communiste


L’Internationale Socialiste reconnaît que la Chine est aujourd’hui un centre important dans un monde de plus en plus multi-polarisé, et que son influence s’étend maintenant dans le monde entier au niveau de l’économie et de la sécurité. A l’échelle nationale, la Chine a lancé des réformes économiques d’une envergure sans précédent, a sorti des millions de personnes de la pauvreté et, en tant que grand pays en développement qui désire atteindre le statut de pays industrialisé, a stimulé l’économie mondiale de manière positive en forçant ses partenaires commerciaux à se focaliser sur l’industrie, les réformes structurelles et des politiques sociales équitables. La croissance économique doit être combinée aux réformes politiques et culturelles pour répondre aux attentes des gens en matière de liberté, de démocratie et de protection de l’environnement. Nous nous attendons à ce que d’importantes mesures soient prises en faveur du respect des droits humains, politiques et civils, et de la démocratie, y compris les droits des minorités ethniques et religieuses. L’Internationale se déclare heureuse de l’initiative du Parti Communiste Chinois pour entamer un dialogue avec les partis membres de l’IS, et l’IS devrait examiner les moyens pour développer un dialogue plus avancé.


L'Internationale Socialiste dans le Monde


https://www.internationalesocialiste.org/nos-reunions/congres/xxiieme-congres-de-linternationale-socialiste-sao-paulo/linternationale-socialiste-dans-le-monde/


 



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