Monsieur Paul Saint-Pierre Plamondon
Chef du Parti Québécois
John C. Maxwell définit le leadership avant tout comme de l'influence et un comportement, pas un titre. Une citation emblématique résume bien sa pensée : « Un leader, c'est celui qui connaît le chemin, le parcourt et montre le chemin ». Pour lui, le leadership implique de responsabiliser les autres, de connecter avec eux, et d'être un modèle de constance et d'intégrité.
Monsieur Plamondon, laissez-moi vous dire qu’un comportement dans l’action du leadership politique doit prendre en compte la cohérence de ce que l’on veut transmettre. À partir de ce comportement de cohésion des actes pris comme des vérités irréfutables, le leadership en politique ne doit pas infléchir sur ce qui a été transmis à l’opinion publique. C’est pourquoi il est important de souligner que ces derniers jours, M. Plamondon, chef du Parti Québécois, vous avez commis, au niveau politique et de communication, un comportement erratique. C’est un fait : s’avérant des contradictions et du << politiquement correcte >> cherchant à faire alliance étatique séparatiste où il n’y a pas (en Alberta) et de contourner des vérités pour s’accommoder aux critiques venant de ceux que vous avez vous-même dénoncé avec courage et vérité absolue(1).
En effet, M. Plamondon, le << politiquement correct >> est un concept désignant un langage et des comportements visant à ne pas offenser des groupes minoritaires (dans le cas qui nous occupe, le milieu culturel francophone au Québec pro-fédéraliste subventionné par Ottawa). C'est aussi un choix linguistique qui cherche une attitude respectueuse, mais qui peut être perçu comme une contrainte, une faiblesse ou une forme de dogmatisme.
Toutefois, ce comportement de leadership doit être le socle dont la vérité en politique doit dépasser la simple confrontation entre le vrai et le faux, car cette vérité n'est pas une notion purement objective mais un concept politique qui sera perçu par l’opinion publique comme un fait irréfutable. Par cette transmission de leadership politique cohérant il n’y a pas de compromis nécessitant un revirement entre la vérité et la perception dans l’opinion publique pour être crédible, efficace et légitime, tout en construisant la confiance et le sens commun.
Voici quelques notions pour bâtir un leadership cohérent et crédible en politique
● Le rôle de l'opinion : La vérité politique doit être « vraie » pour les citoyens, ce qui signifie qu'elle doit trouver un écho dans leur ressenti et leur expérience, même si elle est scientifiquement établie.
● La perte de confiance : Dans l'ère des "post-vérités" et des "fake news", la vérité est souvent perçue comme un discours d'autorité, et la politique doit se battre pour rétablir une confiance basée sur des faits vérifiables et un discours honnête.
Comment la vérité doit évoluer en politique
● De l'objectivité à la « vérité » politique : Il ne suffit pas de détenir une vérité scientifique ; il faut la traduire en un récit qui rencontre les valeurs et les préoccupations des électeurs pour être politiquement pertinent.
● L'importance des faits comme socle : Les faits restent fondamentaux (ex: le climat, la santé), mais leur interprétation est un enjeu politique.
Dans l’actuel contexte de corruption systémique, de spoliation de fonds publics, << consultocratie >>, de financement mafieux pour faire élire un chef de parti considéré comme organisation << hors-la-loi >>(2) depuis la prise du pouvoir au Québec en 2003 par clan mercenaire fédéraliste Charest-Couillard anti-canadien-français, le chef du Parti Québécois, Paul Saint-Pierre Plamondon, doit affirmer avec plus de fermeté les vérités qu’il dénonce sans ambiguïté renforçant ainsi son message dressé à l’opinion publique.
C’est pourquoi en politique les excuses concernant les vérités n’ont pas de sens
Selon les mercenaires médiatiques pro-fédéralistes, ils ont trouvé qu’il avait bien fait de s’excuser, concernant la critique de Paul Saint-Pierre Plamondon adressée au milieu culturel dont eux-mêmes font partie intégrante. C’est la manipulation crasse puisque l’objectif de ces mercenaires de la désinformation était de le faire venir à l’émission de << Radio Cadenas >>, Tout le monde en parle afin que le chef du Parti Québécois puisse commettre l’erreur d’incohérence politique en transmettant à l’opinion publique la vérité mais par la suite il s’excuse, par cette volteface commet l’erreur d’affaiblir son leadership et sa crédibilité politique.
Alors, s’excuser, en disant avoir utilisé des « mots trop durs » et qu’il les « referait différemment » n’ont ni réalité ni sens. Pourquoi s’excuser si c’est pour n’en tirer aucune conséquence positive? Comme serait différent si le chef du Parti Québécois avait maintenu ces propos au sujet de sa critique envers ce milieu culturel d’<< aplaventrisme >> financé par le Pouvoir colonialiste d’Ottawa. Il faut rappeler, que cette manière colonialiste de faire pour acheter l’<< élite >> de l’<< inculture >> s’est avérée le moyen utilisé par les empires ou par des régimes totalitaires pour contrôler les peuples soumis à cette mainmise de pouvoir exécrable.
Par ailleurs, pour arriver à accroitre le nombre de ceux qui souhaiteront la pleine souveraineté du Québec lors des élections générales de 2026, il ne faut pas détourner la vérité ni la diluer afin de se faire accepter, sinon la rendre plus crédible par la cohérence et le leadership politique, puisque dans la course pour avoir la faveur de l’électorat qui se rendra aux urnes pour déposer leur vote, il y a des requis indissociables à cette délégation de confiance : la cohérence politique, la raison inhérente au programme électoral, l’honnêteté personnelle et de leadership.
Ainsi, pour éviter l’incohérence en politique concernant les rapports avec d’autre entité de pouvoir fédéraliste au Canada, l’on doit croire seulement aux propres moyens dont dispose la nation que l’on défend :
Conférence de Paul St-Pierre Plamondon en Alberta
https://pq.org/nouvelles/conference-de-paul-st-pierre-plamondon-en-alberta/
Le résultat de ces rapports initiés par la démarche du chef du Parti Québécois en Alberta a révélé qu’il y a seulement des intérêts en jeux et non d’un objectif d’une alliance de pouvoir souverainiste :
C'est officiel : le premier ministre du Canada, Mark Carney, et la première ministre de l'Alberta, Danielle Smith, ont conclu une entente qui devrait permettre, à terme, la construction d'un nouvel oléoduc pour transporter plus d'un million de barils de pétrole albertain vers l'Asie.
Un grand jour pour le Canada, a déclaré M. Carney juste avant la signature de l'accord, à Calgary. À ses côtés, Danielle Smith, tout sourire, a parlé d'une entente pour enlever ou réviser les lois qui pèsent sur le climat d'investissement dans sa province.
En effet, selon le protocole d'entente transmis aux médias, Ottawa s'engage à ne pas mettre en place le plafonnement des émissions du secteur pétrolier et à suspendre immédiatement l’application du Règlement sur l’électricité propre (REP) en Alberta en attente d’un nouvel accord sur la tarification du carbone.
(…).
Ottawa donne officiellement le feu vert à un nouvel oléoduc en Alberta
En effet, le pouvoir politique de l’Alberta se confirme, une fois de plus, comme en étant un d’intérêt bien concret faisant partie intégrante du pouvoir colonialiste d’Ottawa
CALGARY — La première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, affirme que son Parti conservateur uni n’est pas un parti séparatiste.
L’accord énergétique historique conclu la semaine dernière entre l’Alberta et Ottawa a suscité le scepticisme, voire des huées à plusieurs reprises, parmi les membres du parti lors de son congrès annuel.
Les chefs du camp séparatiste, quant à eux, ont été acclamés avec enthousiasme. Plusieurs candidats proséparation ont également été élus au conseil d’administration du parti.
Interrogée lundi par des journalistes afin de savoir si son parti est désormais séparatiste, Mme Smith a répondu «non».
(…).
Le Parti conservateur uni n’est pas un parti séparatiste, affirme Danielle Smith
Dans l’actuel contexte de renforcement du Pouvoir centraliste par le gouvernent PLC-Carney, de corruption organisationnelle du PLQ et de débâcle de la CAQ par les conséquences de ses décisions économico-financières néfastes, le leadership du chef du Parti Québécois se doit d’être centré en une offensive politique dénonçant avec vigueur ces procédés contre les intérêts nationaux du Québec afin d’éviter de tomber dans une dynamique d’impopularité par l’effet de se rétracter des vérités irréfutables :
Nous attendions ce coup de sonde avec impatience. La maison Léger publie ce matin, dans les médias de Québecor, un nouveau sondage québécois — son premier depuis le début de la crise nébuleuse qui secoue le Parti libéral du Québec. La semaine dernière, un sondage Pallas Data pour Qc125 et L’actualité mesurait une forte chute des chiffres personnels de Pablo Rodriguez, même si le PLQ s’en sortait tout de même relativement peu égratigné. Or, la crise s’est étirée… et l’UPAC s’en est maintenant mêlée.
Ce que Léger mesure ce matin devrait donner des sueurs froides aux libéraux qui espéraient une élection compétitive l’an prochain. De son côté, le Parti québécois obtient son meilleur score — toutes firmes confondues — depuis plus d’une décennie. La domination du PQ est telle qu’avec de tels chiffres, il remporterait une véritable « super majorité » à l’Assemblée nationale.
Décortiquons les chiffres de Léger.
Au niveau national, le Parti québécois récolte 39 % des intentions de vote auprès des électeurs décidés et enclins. L’avance du PQ (et la chute du PLQ) est telle que la formation souverainiste se hisse en tête dans chacune des régions du sondage. Dans le Grand Montréal, le PQ obtient 36 %, contre 28 % pour le PLQ — un renversement majeur depuis le début novembre, alors que les libéraux menaient dans la métropole 36 % contre 26 %.
(…).
Le PLQ s'effondre, le PQ bondit
Un nouveau sondage de la maison Léger indique que rien de va plus pour les troupes de Pablo Rodriguez. Et c'est le Parti québécois qui en profite.
https://www.qc125.ca/p/le-plq-seffondre-le-pq-bondit
De plus, en réaffirmant la vérité sur l’accoutumance du milieu culturel par le financement d’Ottawa à ce spectre social << aplaventriste >>, Paul Saint-Pierre Plamondon, chef du PQ, aurait réparé de désavouer les députés péquistes l’ayant défendu pour ses propos courageux et donné une démonstration de cohérence politique à ceux voulant le discréditer par opportunisme carriériste tirant à la fin d’un cycle politique sans retour aux prochaines élections générales. Ainsi, qu’à la présidente-voyageuse de la FTQ à la COP28(4), le << canular >> de spoliation des mondialistes financés par de fonds publics :
Les propos du chef péquiste Paul St-Pierre Plamondon sur l'« aplaventrisme » du milieu culturel québécois continuent de faire réagir. Ses députés le défendent, affirmant qu'il a ouvert un débat important.
<< Depuis quand, au Québec, pour lancer des débats, il faut qu'on méprise les gens? >> s'est offusqué le co-porte-parole de Québec solidaire (QS) Sol Zanetti en point de presse à l'Assemblée nationale, jeudi. << On n'avait absolument pas besoin de déverser du fiel sur le milieu culturel pour parler des conditions des artistes >>, a-t-il soutenu.
Mardi, des représentants de plusieurs associations culturelles ont salué la nomination de Marc Miller à titre de ministre fédéral de l’Identité et de la Culture canadiennes.
(…).
Paul St-Pierre Plamondon avoue avoir utilisé des « mots trop durs » et qu’il les «referait différemment» après avoir suscité de vives réactions pour avoir critiqué le milieu culturel.
«J’ai réagi spontanément avec une forme d’indignation», a-t-il admis sur le plateau de Tout le monde en parle hier soir.
Le 3 décembre dernier, M. St-Pierre Plamondon avait fait grandement réagir en affirmant avoir «honte» d’une partie importante du milieu culturel québécois.
Il dénonçait la «vacuité intellectuelle» et «l’aplaventrisme» après que des représentants de la culture ont salué l’arrivée de Marc Miller au poste de ministre de l’Identité et de la Culture canadiennes, à Ottawa. Il leur reprochait un manque de loyauté envers le Québec.
« C’était des mots trop durs. Je les referais différemment », a-t-il ajouté.
(…).
M. St-Pierre Plamondon n'était pas en Chambre jeudi matin, mais deux de ses députés l'ont défendu en point de presse avant la période de questions, disant l'appuyer à << 100 %.>>
<< Ce qu'il a fait, c'est qu'il a ouvert une discussion. Comme disait mon collègue, ça fait combien de temps qu'on n'a pas parlé de culture, de l'aspect fédéral de la culture, de cet argent-là? >> a argué le député Alex Boissonneault.
Il a établi une différence entre le ton de la présidente de la FTQ, Magali Picard, qualifié par le PQ de << belliqueux >>, et celui de son chef, qui s'exprimait par ailleurs sur les réseaux sociaux.
<< Ce n'est pas le même décorum qu'en commission parlementaire. Je pense qu'on va s'entendre là-dessus. On peut s'exprimer différemment sur X qu'en commission parlementaire. >> -- Alex Boissonneault, député d'Arthabaska pour le Parti québécois
(…).
Paul St-Pierre Plamondon présente ses excuses au milieu culturel et concède avoir été «trop dur»
Comme précédemment exposé traitant des raisons, des excuses et d’incohérence en politique à propos des critiques véridiques irréfutables contre ce milieu culturel d’<< aplaventrisme >> évoqué. Il faut dire aussi que ce conglomérat de la désinformation et de la manipulation subliminale sait pertinemment comment tendre un piège aux politiciens souverainistes par les moyens de communications et du staff anti-canadiens français dont il dispose à travers leurs financements issus des déficits chroniques du fédéral. En d’autres mots, << Radio Cadenas >> a reçu conjointement avec CBC, l’autre chaine pro-PLC-PLQ, un montant de 1,4 milliards de dollars pour 2024-2025.
De plus, des millions de ce montant cité sont cavalièrement distribués comme s’ils étaient une << cagnotte >> du << travail accompli >> :
OTTAWA — La Société Radio-Canada a versé 18,4 millions $ en primes, cette année, après que des centaines d’emplois au sein du radiodiffuseur public ont été supprimés.
Des documents obtenus grâce aux lois sur l’accès à l’information montrent que CBC/Radio-Canada a versé des primes à 1194 employés pour l’exercice 2023-2024.
Plus de 3,3 millions $ de cette somme ont été versés à 45 cadres. Cela signifie que ces cadres ont reçu une prime moyenne de plus de 73 000 $, ce qui est supérieur au revenu familial médian après impôts en 2022, selon Statistique Canada.
(…).
CBC/Radio-Canada a versé plus de 18 M$ en primes en 2024
Finalement, le piège de << Radio Cadenas >> au chef du Parti Québécois afin de le dévouer publiquement des propos véridiques tenus contre le milieu culturel, lequel fait partie de ceux constituant l’émission citée ici-bas est financée (environ 400 000 dollars par épisode), entre autres émissions d’aliénation, à travers le budget de 1, 4 milliards de dollars antérieurement signalés :
Paul St-Pierre Plamondon à Tout le monde en parle
https://www.youtube.com/watch?v=Wws6meFUEOw
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Jean-Louis Pérez-Martel
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1. La TV << Radio Cadena >> financée par le Pouvoir colonialiste d’Ottawa, avec les impôts et taxes payés par les contribuables québécois, contre la Nation Canadienne Française et ses intérêts nationaux à travers des actions journalistiques biaisées, pamphlets politiques pro-PLC-PLQ et ses acolytes multiculturalistes ou antipatriotes au moyen des manipulations, analyses et informations politiques subliminales destinées à aliéner les égarés inconscients de ses méfaits perfides. Des exemples depuis 2004 à l’émission : Tout le monde en parle (Québec)
Moments forts et controverses
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tout_le_monde_en_parle_(Qu%C3%A9bec)
Autre aperçu fourni par l’IA :
L'émission Tout le monde en parle (TLMEP) soulève souvent des questions de manipulation, non pas nécessairement par l'émission elle-même, mais par les sujets abordés (fraude, relations toxiques) ou par les controverses entourant les invités, où des personnes peuvent se sentir manipulées par le système médiatique ou des figures comme les influenceurs, notamment lors de débats sur la masculinité (mâles alphas) ou des situations personnelles délicates (comme Alexandra Boucher et son père « Mom » Boucher). Les invités et les sujets (éthique, bioéthique, fraudes) engendrent des débats intenses, où les limites entre manipulation médiatique, manipulation personnelle et transparence sont souvent floues, créant des discussions complexes et parfois houleuses
2. Cette autre enquête criminelle contre le PLQ s’ajoute à celle dénommée Enquête Mâchurer(3), que par compromis politique d’alternance au pouvoir n’a pas eu de condamnations criminelles :
Après deux semaines de « validations », l'Unité permanente anticorruption (UPAC) lance une investigation en bonne et due forme au sujet des allégations qui pèsent contre le Parti libéral du Québec (PLQ).
Le corps policier a annoncé la nouvelle mercredi midi.
<< Nous confirmons que nos validations sont terminées et que nous ouvrons officiellement une enquête >>, a indiqué le porte-parole Mathieu Galarneau, ajoutant que l'UPAC n'émettrait << aucun autre commentaire >> afin de <<protéger [ses] actions le plus possible >> et de << respecter les droits des personnes impliquées >>.
<< Une enquête criminelle doit demeurer confidentielle, a-t-il fait valoir, et nous souhaitons laisser nos enquêteurs faire leur travail. >>
Selon nos informations, la preuve recueillie jusqu'ici serait en lien avec les événements des dernières semaines concernant la course à la direction ayant mené à l'élection de Pablo Rodriguez ainsi qu'à l'utilisation à des fins partisanes de fonds réservés aux opérations de l'Assemblée nationale.
(…).
L’UPAC ouvre une enquête criminelle sur le PLQ
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2212970/upac-enquete-criminelle-plq
Voici comment se manigance les affaires d’argent au PLQ en vue de bénéficier ceux qui savaient s’organiser pour arriver à vivre de la politique dans un système antidémocratique :
Le local de campagne de Pablo Rodriguez appartenait à sa femme
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2213125/pablo-rodriguez-plq-course-chefferie-bureau-conjointe
3. Enquête Mâchurer https://fr.wikipedia.org/wiki/Enqu%C3%AAte_M%C3%A2churer
Pourquoi tous les mafieux de la politique agissent de la même manière quand ils se font prendre :
Le chef libéral Pablo Rodriguez assure qu’il reste en poste et qu’il peut encore gagner les prochaines élections alors que les appels à sa démission se multiplient.
<< J'ai été élu par les militants parce qu'ils savent que j'ai l'expérience pour battre la CAQ et battre le Parti québécois [...]. Je ne vais nulle part >>, a-t-il affirmé en mêlée de presse, jeudi, en marge du caucus de son parti.
Or, la pression s’accentue sur le chef. L’ancien député libéral Raymond Bernier recueille des signatures d’anciens élus pour une lettre qui demande carrément la démission de Pablo Rodriguez.
(…).
Crise au PLQ : malgré les appels à partir, Rodriguez assure qu’il demeure en poste
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2213245/crise-plq-pablo-rodriguez-upac
4. (…). Depuis 48 heures, tout le monde parle avec raison de son voyage express à la COP, à Dubaï.
Alors que le Québec est plongé dans ce qui pourrait être un des plus grands conflits de travail depuis des décennies, Magali Picard était prête à partir quelques jours à la grand-messe de l’écologisme technocratique mondialisé.
Qu’est-ce qui lui a pris? Considère-t-elle que son occupation principale est secondaire lorsque vient le temps de se rendre à la COP?
(…).
Le voyage absurde de Magali Picard à la grand-messe des écolos














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