Il est grand temps que les musulmanes lancent le #MeToo des femmes musulmanes battues et violentées par leur mari dominateur.

La députée libérale musulmane Marzwah Rizqy a été la première à briser le tabou du silence en se confiant à Paul Arcand, révélant avoir été battue à coups redoublés dans sa famille durant toute son enfance et adolescence par un père musulman typiquement dominateur, une coutume qui semble généralisée, banalisée et admise dans les pays islamiques, et qui se répand insidieusement en Occident au rythme des arrivages massifs.
Source : Marwah Rizqy s’ouvre sur son enfance marquée par la violence de son père marocain musulman
Référence : Femme musulmane, femme battue
Une femme musulmane doit s'attendre à se faire battre durant l'enfance, l'adolescence et l'âge adulte, par tous les hommes autoritaires de son entourage, père, frères, mari (grand-père, oncles?).
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On ne risque guère de se tromper en avançant que plus il y aura de musulmans au Québec, plus il y aura de femmes battues au Québec, celles qu'ils possèdent.
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Que toutes les autres musulmanes emboîtent le pas, voilées ou pas, pour lancer le mouvement de dénonciation qui les sauvera du joug du mâle musulman.
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On pense d'abord aux personnalités publiques comme la députée libérale multiculturaliste Marzwah Rizqy pré-citée, à la chroniqueuse marocaine fédéraliste Yasmina Abdulfadel, à la QS woke Rumba Ghazale, à l'humoriste Mariana Matza qui se déclare arabe, et toutes les autres musulmanes anonymes violentées qui se taisent de peur et de terreur.
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Ces personnalités se feront les porte-étendards du mouvement sur la place publique.
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C'est en lançant le #MoiAussi des femmes musulmanes battues qu'on pourra espérer mettre fin au cycle vicieux éternellement recommencé de la violence matrimoniale musulmane toxique, tellement imprégnée dans cette culture que personne ne la conteste. Cela semble être considéré comme une prérogative masculine découlant du droit de possession.
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Et c'est sans oublier que chaque femme musulmane doit se soumettre à des milliers de rapports sexuels non consentis, n'ayant jamais son mot à dire. Il n'en a pas fallu autant aux victimes de #MoiAussi avant d'agir, elles pour qui une seule fois est suffisante pour dénoncer.
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Au Québec, on sait que les féminicides recensés sont devenus une spécialité musulmane.
Rappelons également que dans les pays du Maghreb (Maroc, Tunisie, Algérie), ceux qui nous fournissent des lots de maghrébins musulmans rigides et colériques à la tonne, les féminicides sont en hausse continue, tellement il leur est facile de se soustraire aux conséquences.
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Faisons en sorte que tous les hommes musulmans maladivement possessifs et batteurs de femmes accusés et reconnus coupables soient expulsés automatiquement du pays.
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De même pour les imams possédés et intimidateurs qui préconisent et cautionnent le battage des femmes à la mosquée ou en privé.
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Au fait, y a-t-il un seul musulman au Québec (ou ailleurs) qui n'a jamais levé la main sur sa femme ou ses filles? Faudrait peut-être demander ce qu'en sait le député QS toxique Harahoun Bouazzi pour voir...
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Et c'est sans oublier le battage verbal injurieux et dépréciateur psychologique prisé par ces êtres dominateurs au possible qui ne ratent pas une occasion d'affermir leur autorité, de sévir et châtier, y prenant un malin plaisir.
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Le battage en règle des musulmanes a cours au Québec sur une base régulière. C'est un fait. Une société évoluée comme la nôtre doit-elle continuer de détourner pudiquement le regard, et faire comme si de rien n'était, comme si ça ne nous concernait pas? Ou avoir le courage d'agir?
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Doit-on continuer d'accepter leurs justifications tordues, à l'effet que cela fait partie intégrante de leur culture, que cela ne nous regarde pas, que c'est ainsi que ça se passe chez eux, que nous n'avons pas d'affaire à mettre notre nez dans leurs affaires de famille, leur vie privée, ce qui serait immédiatement considéré comme irrespectueux et pourrait entraîner des représailles?
Les reproches qu'on peut faire à l'islam se dénombrent par dizaines: Les torts et travers de l'islam en 40 reproches fondés
Que les premières concernées se lèvent enfin pour dénoncer. Nous les soutiendrons.

Ce sera un premier pas vers la libération, suivi de celle du voile islamique, de l'abaya, niqab, burqa, et ultimement du carcan religieux obscurantiste qui les infériorise et asservit honteusement depuis des siècles.
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Nous leur enseignerons et accorderons enfin la liberté d'être, tout à l'opposé de la soumission forcée au mâle dominant de type islamique.
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