Posons-nous la question sans détour: est-ce trop risqué, voire dangereux, d’accorder des postes d'influence, de direction politique à des immigrés issus du tiers-monde mentalement sous-civilisé?
La réponse est fort probablement oui. Les risques associés dépassent de loin les quelques avantages supposés, si même il y en a.
Aux États-Unis, un immigré n'a pas le droit de se présenter comme président du pays. Cela tombe sous le sens. Il devrait en aller de même pour tout poste d'influence et de direction important: président, premier ministre, ministre, député, maire, conseiller municipal, cadres de la fonction publique, police, armée, commission scolaire, université, et ainsi de suite.
Les raisons de ne pas accorder de postes de direction importants à des immigrés issus du tiers-monde sont nombreuses:
- La trop grande différence de mentalité qui fausse le jugement et la prise de décision qui ne vont pas dans le même sens que nous
- Afficher un système de valeurs divergent, voire irréconciliable, qui mélange l'ordre des priorités, qui cherche à en imposer d'autres
- Avoir une vision de la société qui ne correspond pas à la nôtre et qui ne rejoint pas nos propres objectifs
- Faire preuve de favoritisme envers sa communauté qui exerce de la pression sur lui en ce sens
- Le parti pris pour la diversité dilueuse qui met en péril la composition même de la démographie historique; c'est une idéologie mortifère
- Favoriser les exigences des minorités au détriment de la majorité qu'on cherche toujours à faire céder; toujours gratter, picosser pour en obtenir un peu plus
- Chercher à priver le peuple fondateur de ses prérogatives ancestrales et de ses privilèges durement acquis pour se les approprier
- Chercher à implanter des choses indésirables de son pays d'origine sous-civilisé (entrisme religieux, méthodes d'enseignement, système judiciaire parallèle)
- Risque élevé de favoriser l'idéologie woke anti-Nous, et ses dérivés comme le programme Équité, diversité, inclusion qu'il faut plutôt combattre et abolir
- Le danger d'ingérence politique de gouvernements étrangers planera toujours dont ils seront les pions agissants
- Risque d'espionnage (plusieurs cas relevés au gouvernement canadien)
- Moins susceptibles de soutenir l'aspiration légitime du peuple à l'indépendance nationale (allant jusqu'à déconseiller sa communauté)
- Moins susceptibles de soutenir la laïcité de l'état et des institutions
- Moins susceptibles de soutenir l'égalité homme/femme
- Moins susceptibles de soutenir la primauté de la langue française
Étudions le cas de quelques politiciens issus de l'immigration.
Certains hommes publics essaient de minimiser le fait qu'ils ne sont pas d'ici, comme l'immigré Sam Hamad originaire de Syrie, pays musulman strict où règne l’organisation terroriste État islamique, qui se porte candidat à la mairie de Québec, et qui ne fait jamais allusion à ses origines, ou à l'éducation reçue qui l'a conditionné d'une certaine façon (formant une mentalité presqu’impossible à changer).
À Montréal, c'est l'immigré latino argentin Pablo Rodriguez, qui, au contraire, se vante souvent d'être d'ailleurs. Il va même jusqu'à prétendre qu'il serait un bon exemple d'intégration. Mais si l'intégration signifie prôner le multiculturalisme désintégrateur, de se faire le représentant exclusif des anglophones et allophones, ou de se positionner contre le peuple fondateur qui lutte pour sa souveraineté, jusqu'à mettre tout en oeuvre pour l'empêcher de l'obtenir, considérons cela plutôt comme un échec de sa part, qui mérite le rejet de son option. Il essaie de nous voler le Québec pour le donner en pâture au Canada.
À lire: Le Québec doit résister à toute forme d'ingérence
D'autre part, on voit un député de Québec solidaire comme Harhoun Bouazzi (en arabe هارون بوعزي) déclarer avec véhémence lors d'une assemblée musulmane que tous les députés québécois sont coupables de racisme systémique. Il dresse intentionnellement cette minorité revendicatrice contre nous. Avons-nous vraiment besoin de tels êtres toxiques parmi nous? Faut-il laisser entrer au pays de plus en plus d'imams radicaux comme le funeste Adil Charkaoui (en arabe : عادل الشرقاوي) animé du même activisme islamique politique et maléfique que l'innommable Amira Elghawaby (en arabe : أميرة الغوابي) ? La réponse est non dans tous les cas.
À lire: Entrisme islamique au Gouvernement du Québec : combien de députés musulmans?
Au nom de son progrès, son épanouissement et sa prospérité, il importe que le Québec soit dirigé et gouverné par des Québécois authentiques nés ici, dont la transmission de leur québécité à travers 15 générations leur permet de savoir intuitivement vers où la nation doit aller, à commencer par le grand projet collectif de la souveraineté nationale.
À lire: 12 nouvelles raisons de faire l'indépendance du Québec en 2025
Le Québec aux Québécois, reflet de nos valeurs élevées et idéaux sociaux, c'est toujours d'actualité, et plus que jamais.
À lire: La seule raison d'être de l'indépendance: la continuation de notre peuple
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
1 commentaire
Réjean Labrie Répondre
20 septembre 2025Dans le cas de l'immigré étranger syrien arabe Sam Hamad, candidat à la maire de Québec, il a proféré des menaces à peine voilées à son opposant Claude Villeneuve, laissant planer la menace de s'en prendre à ses 2 petites filles.
Cela prouve une fois de plus que la mentalité hargneuse arabe typique, une fois installée et bien endoctrinée, ne peut plus se modifier. Elle ressort à tout moment.
Source: Menaces du Syrien Sam Hamad envers un Québécois de souche
Un fait très curieux, l'immigré étranger syrien arabe Sam Hamad semble cacher par tous les moyens le fait qu'il soit musulman. En effet, une recherche Google approfondie ne révèle absolument de son statut religieux, pratiquant ou renié.
Recherche: Sam Hamad est-il musulman?