Fête nationale
24 juin 2015
Quelle envolée cher Clode.
Bravo... je n'ai rien à ajouter, mais je veux qu'on le sache.
Claude G. Thompson
Réponse à M . Barberis-Gervais
Qui dit vrai ?
Madame Le Pen ne mérite nullement le traitement sauvage
Que lui ont réservé politiciens, artistes et bien-pensants
Si les morts pouvaient parler
Quel bruit, quel tumulte, on ne s’entendrait plus vivre
Ce que nous attendons de nos dirigeants politiques
La tyrannie de l’omnipotence
Et les inepties de Philippe Couillard
Suite à l'intervention de M. Parizeau
Un discours de conviction qui interpelle
La sagesse de Pierre-Karl Péladeau
Des partis d’opposition trop contents de lâcher leur fiel
Une question qui me revient sans cesse depuis plusieurs mois
Ou l'art consumé de se tirer dans le pied
Sur la réforme de l'islam
Les obstacles à la proposition du président égyptien
C'est un beau cadeau de Noël
24 juin 2015
Quelle envolée cher Clode.
Bravo... je n'ai rien à ajouter, mais je veux qu'on le sache.
Claude G. Thompson
10 juin 2015
M. Le Hir.
Je lis votre éditorial et je suis perplexe. Vous parlez avec raison des interventions du premier ministre Couillard et du recteur Breton, mais passez sous silence celle de M. Aussant, le dauphin de M. Parizeau, témoignage et hommage d’une hauteur, d’une profondeur et d’une authenticité du cœur comme on n’en a jamais entendu à propos d’un père de la nation québécoise.
Pourquoi insister sur quelques « erreurs de parcours » ou de « mauvais coups » si ça n’enlève rien à ses réalisations tant elles sont éclatantes ? Votre oubli, s’il en est un, ou votre intention délibérée d’ignorer Jean-Martin Aussant sont quant à moi déshonorants et choquants.
Comme plusieurs, je considère la présence de M. Aussant au côté de M. Péladeau, incontournable. Nous souhaitons de tout cœur qu’il se joigne à l’équipe du parti québécois et que tous ensemble, dans l’enthousiasme, la fierté et l’harmonie, nous menions à son terme notre démarche vers l’indépendance de notre nation et la naissance de notre pays.
La seule force qui régisse le destin est celle de son acceptation, car celui qui l’accepte, il le porte, celui qui le refuse, il le traîne. Le destin des Québécois est d’avoir un pays bien à eux et cette destinée a porté des hommes comme René Lévesque et Jacques Parizeau, et bien d’autres avant eux. Bien d’autres après eux, dont nous sommes, sont portés par ce même destin qui nous amène à affirmer haut et fort que NOUS NE RENONCERONS JAMAIS.
Claude G. Thompson
19 mai 2015
M. Barberis-Gervais,
merci pour vos bons mots et surtout, merci pour cette analyse fidèle aux faits et éclairante pour qui voudrait avoir une vue d’ensemble de la situation au moment précis où nous nous trouvons en ce 19 mai 2015. Quelle accélération après seulement trois jours.
Comme vous l’écrivez si justement, nous avons fait maintes fois la preuve que nous avons l’esprit critique. Ça m’a rappelé la tentative de l’appel du collectif du 15 mai 2010 alors qu’un groupe de « vigiliens » dont vous et moi faisions partie, décida de poser un geste pour une concertation souverainiste devant mettre fin à la division électoraliste et partisane de nos forces politiques.
Nous fîmes connaître ici et ailleurs nos propositions appelant les forces citoyennes de la mouvance souverainistes à se manifester en faveur de la fin de nos divisions stériles sur la raison d’État. Nos propositions définissaient les termes essentiels sur lesquels nous entendre, afin de faire de prochaines élections à Québec et à Ottawa, qu’elles soient précipitées ou pas, des élections décisives.
Nous nous sommes finalement retrouvés sans appuis et sans rapport de force qui auraient pu venir des partis politiques dont la raison d’être se voulait de faire de notre nation un pays.
La situation est désormais renversée attendu que le vaisseau amiral de notre projet de pays s’est donné un chef pour qui le mot indépendance n’est plus tabou et qui s’est engagé à ce que jamais l’article numéro un dudit projet ne soit mis sous le boisseau, mais reprenne définitivement la place qui n’aurait jamais dû cesser d’être la sienne.
Comme on nous invite à le faire, et comme l’a encore affirmé le chef du parti indépendantiste Québécois, Pierre-Karl Péladeau, travaillons ensemble et sans relâche à la venue de notre pays.
JAMAIS NOUS NE RENONCERONS.
Claude G. Thompson
17 mars 2015
Chère madame Ferretti, je partage votre vision des choses.
Les quatre autres candidats à la chefferies devraient réaliser combien urgente est la situation pour le Québec. Les adversaires de notre émancipation et de la mise au monde de notre pays sont en mode "accélération" en vue de se munir de lois et de règlements qui ne pourront que rendre les choses de plus en plus compliquées lorsque viendra le temps de proclamer notre indépendance.
Nous devons empêcher au plus vite la spoliation de nos acquis sociaux, économiques et culturels. Nous devons éradiquer l'oeuvre de dépossession entreprise par les tenants du néolibéralisme et d'un capitalisme sans âme qui ont permis à un gouvernement corrompu de reprendre le pouvoir en s'infiltrant dans nos médias pour y placer leur pions de service qui y jouent les journalistes.
Pierre-Karl Péladeau est partout et communique heure après heure sur les médias sociaux ses impressions, sa vision des choses, son enthousiasme, son désir ardent et sincère de faire du Québec un pays. Il rencontre ses concitoyens dans les moindres recoins du Québec et leur fait voir et comprendre combien juste, normal, naturel et rentable pour tous serait la venue au monde de notre pays.
Ce pays que nous avons hérité de nos ancêtres et qui nous revient de "facto" et de "jure".
Claude G. Thompson
17 mars 2015
La soif de pouvoir ne peut mener qu'à des abus de ce genre. Au final, il n'y a plus de limites que l'on n'ose franchir pour arriver à ses fins. Depuis les événements d'octobre 70, nous avons assisté plus d'une fois aux débordements des forces de l'ordre dans l'exercice de leurs fonctions. À la limite, ça se termine comme au États-Unis, où des policiers tuent des adolescents désarmés et innocents juste parce qu'ils soupçonnent que leur comportement "pourrait" être suspect ou le paraîtrait. Aucune réflexion, juste le réflexe du tueur.
Claude G. Thompson
27 février 2015
Magnifique plaidoyer en faveur du pays M. Sauvé.
Ces réalités historiques que la géopolitique nous révèle devraient être enseignées dès la petite école. C'est ainsi qu'on inculque le sens du respect et de l'amour de la nation qui nous voit naître, grandir et devenir des citoyens éclairés et fiers.
Ce travail de pédagogie de l'indépendance devra faire partie des engagements d'un prochain chef du parti québécois et de son équipe d'élus. Sans parler des instances du parti et de tous ceux qui comme vous, ont à coeur la naissance de ce magnifique territoire qu'est le nôtre en tant que pays libre et indépendant.
À cet égard, je voudrais souligner le travail remarquable effectué par M.Jean-Jacques Nantel et que nous avons pu lire ici-même sur Vigile. Ce qu'il nous communique dans ses capsules est en parfait accord avec ce que vous professez avec sagesse et convictions dans vos écrits.
Claude G. Thompson
22 février 2015
Dans ses "Récits de Belzébuth à son petit-fils", Gurdjieff raconte que pour vivre en Amérique, ce dernier n’a qu’à apprendre l’anglais des affaires et qu’il suffit, pour ce faire, de se rappeler cinq expressions :
Maybe – Perhaps – Tomorrow – Oh ! I see – All right.
C’est là une caricature tout à fait révélatrice de la façon de faires des Américains et pas seulement en affaire.
Claude G. Thompson
17 février 2015
M. Parent,
La question que vous soumettez à notre réflexion est d’une immense sensibilité, mais se pose tout de même. Bien que n’ayant pas voulu l’aborder dans Vigile ou ailleurs, elle ne s’en est pas moins présentée à mon esprit en faisant l’analyse de ses différentes et nombreuses interventions avant, pendant et après les élections qu’ils l’ont porté au pouvoir. Le moins que nous puissions dire ou remarquer, ou constater, ou en déduire, c’est qu’il y a quelque chose qui cloche et que comme dans la chanson de Boris Vian :[…“ Y’a quequ’chose qui cloche là-d’dans, j’y retourne immédiatement.”…] C’est la java des déclarations de Philippe Couillard.
Et vous avez crevé l’abcès. Il était inévitable que quelqu’un le fasse à un moment ou à un autre. Il y a trop de contradictions dans ses déclarations et dans les gestes qu’il ne pose pas pour que nous ne soyons pas suspicieux et ne nous interrogions pas face à un tel comportement.
Bien des choses pourraient être à l’origine de tant de circonvolutions et d’efforts pour balayer le sujet sous le tapis. Il faudra bien qu’à un moment ou à un autre, une explication satisfaisante nous soit donnée.
Claude G. Thompson
15 janvier 2015
Jeudi 15 janvier 2015
M. Dion,
vous n’êtes pas le seul à avoir élaboré une hypothèse qui permette de relier les différents points obscurs qu’elle soulève. Dès le jour de l’attaque meurtrière, Thierry Maissant soulevait plusieurs points qui donnaient à réfléchir.
Le problème avec la surinformation, c’est la vitesse inquiétante avec laquelle des idées toutes faites s’installent dans l’esprit des populations hébétées par l’horreur de la situation et qui se contentent de la rumeur émanant de leurs écrans cathodiques ou plats – comme ils le sont devenus – diffusant et égrenant de plates lignes éditoriales qu’il est impossible de remettre en question sous peine de ne plus jamais être invité à venir commenter l’actualité « chaude » à chaud et d’ainsi devenir « hors caste ».
Edison disait que 5% des gens réfléchissent, que 10% croient réfléchir et que 85% préféreraient mourir plutôt que d’avoir à le faire.
À voir comment on nous informe et à constater comment on éduque notre jeunesse, on ne peut que faire le malheureux constat de cette percutante déclaration.
Sauf si on comprend qu’il tenait ce genre de propos lorsqu’on lui demandait comment il avait fait pour résoudre les problèmes que lui posa pendant plusieurs années la réalisation de sa première ampoule incandescente pouvant rester allumée suffisamment longtemps pour être commercialisable.
Et pour illustrer le bien-fondé de sa déclaration, il ajoutait qu’il avait dû recommencer au moins dix mille fois avant de trouver la solution. Vous serez d’accord avec moi pour dire qu’il lui en a fallu de la patience et de la « réflexion ». Quand on lui demandait comment il était parvenu à surmonter autant d’échecs avant de parvenir au succès, il répondait avec malice qu’il n’avait jamais connu d’échecs, mais qu’il avait trouvé dix mille solutions qui ne fonctionnaient pas.
Voilà comment je vois, je lis et je comprends l’analyse que vous nous proposez des événements de Charli Hebdo et je vous en remercie.
Dans l’état actuel des choses et compte tenu de tout ce que nous avons vécu depuis le 11 septembre 2001, nous sommes en droit de nous interroger et d’aller jusqu’à remettre en question les versions officielles pleines de failles par lesquelles suintent le mensonge et la désinformation. Un examen attentif du matériel disponible pour nous en faire une idée ne peut que nous laisser perplexes, songeurs ou pensifs.
Ultimement, nous amener à réfléchir sérieusement.
Claude G. Thompson
11 octobre 2014
@ Jean-Pierre Belisle.
M. Belisle, de grâce, ne confondez pas les enseignements ou encore, les errances de l’Église Catholique avec le sens profond et universel des paroles du Christ. Rien dans ce que j’ai écrit ne fait référence à quelque lien que ce soit avec l’idée même de religion; Vatican et église universelle comprise. Quant à la démocratie, jusqu’à nouvel ordre, c’est un idéal que l’humanité poursuit depuis des millénaires et seuls les hommes sont responsables des défaites qu’elle n’a cessé de subir.
Le crucifix de l’Assemblée nationale n’a rien à voir avec mes propos et n’amène rien de valable tout en déplaçant le débat vers des questions dont la portée et la valeur didactique n’apportent rien à la trame des événements dont nous discutons ici.
De même pour votre citation finale que je trouve réductrice et mal avisée.
Sans rancune : “Asinus asinum fricat.”
Claude G. Thompson
11 octobre 2014
Bonsoir Ouhgo.
Excellente analyse de la situation. Je crois qu'effectivement l'idée de se rapprocher des gens ne pourra que lui assurer un important capital de sympathie. Son discours est simple, direct, facile à comprendre et rejoint tous ceux qui partagent leurs impressions avec lui.
Il n'est que d'aller sur sa page Facebook pour s'en rendre compte.
Son attitude générale, sa façon de se comporter, de répondre à ses interlocuteurs, de ne pas s'en laisser imposer par les journalistes qui tentent désespérément de le prendre en défaut et de lui faire dire ce qu'ils veulent entendre, de rester maître de lui-même, fait plaisir à voir.
Un homme politique différent de tout ce que nous avons connu est en train de naître sous nos yeux.
Claude G. Thompson
8 octobre 2014
Oui M. Parent.
Le mot déception est effectivement faible face à l'assaut des libéraux, de QS et de la CAQ, leurs objections tout autant que leurs arguments fallacieux mêlant sophismes, paralogisme et arguments de principes qui nous laissent sans voix. Sans parler des « barbotages » de Jean-François Lisée pour tenter de nous convaincre de ses « bonnes intentions ».
Sale histoire, sombre histoire, comportement de pleutres, d’hypocrites et de « petits politiciens » faisant de la « petite politique de merde »… pour citer un de nos précieux intervenants.
Claude G. Thompson