Un Canada servile
23 juin 2012
M. Fortin.
Je compatis à votre déception, mais je dois dire que sincèrement, je ne m’étonne pas du tout du résultat de votre démarche auprès de M. Mulcair.
Vous être un humaniste, il est un politicien, et un politicien de la vielle garde, de cette sorte que tout humaniste ne peut que conspuer, huer, siffler, mépriser, montrer du doigt, vouer au mépris, vilipender…
Toute la carrière de cet individu est faite de faux raccords, d’opportunisme, de manipulation de la vérité, de maquignonnage, de propos hypocrites, d’arrivisme. Il incarne à merveille le carriérisme, l’ambition, le goût du pouvoir et l’estime démesurée de soi…
Tout observateur le moindrement éveillé ne peut en venir qu’à la conclusion que le NPD, loin d’avoir fait le choix judicieux qu’il croit avait fait, a en réalité changé l’or de Layton pour le plomb de Mulcair.
Claude G. Thompson