M. Barberis-Gervais.
Je ne suis pas encore capable de me prononcer, comme vous le faites, sur « l’affaire Snyder ». J’ai écouté à plusieurs reprises sa prestation à TLMEP et je n’y vois pas ce que vous y voyez. Suis-je trop sentimental? Suis-je trop attaché à l’idée que je me faisais de PKP et de Julie Snyder ici même sur Vigile entre le 8 octobre 2014 et le 18 mai 1015?
Je ne me fais pas à l’idée que Julie Snyder ait pu se comporter comme certains voudraient le faire entendre. Pendant l’entrevue, tout dans son attitude corporelle et dans son regard va pour moi à l’encontre de votre analyse. Les conséquences d’une attitude comme celle que vous soupçonnez ne pourraient être pour ses enfants que désastreuses sur les plans affectif et psychologique. Je suis davantage porté à penser que lorsque M. Péladeau a écouté TLMEP, il a soudain pris conscience de ce qui se passait dans la vie de sa conjointe et des désastres qu’encouraient sa vie familiale et ses relations avec ses enfants. Une prise de conscience qui a complètement bouleversé sa vision des choses et l’a conduit à l’invraisemblable décision (pour nous) qu’il a prise le lendemain.
Nous n’assistons, depuis, qu’à des analyses ne reposant que sur des spéculations quant aux intentions aussi bien de Guy A. Lepage que de Julie Snyder. Et ce, essentiellement en fonction de la sensibilité et des goûts médiatiques ou politiques de chaque intervenant. Je ne vois ni ne lis beaucoup d’objectivité dans tout ça.
Les principaux intéressés n’ont pour l’heure rien ajouté à ce qu’ils ont déclaré et c’est la raison pour laquelle je préfère attendre avant de me faire une opinion.
Je trouve tout cela très triste et je suis, en tant qu’indépendantiste, encore sous le choc de la décision de Pierre Karl Péladeau et très inquiet pour l’avenir du vaisseau amiral de notre émancipation nationale.
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