L'institut de PKP: oser ou radoter?
25 février 2016
Faire la défense et l'illustration du pays, au cours des 3 prochaines années et se présenter aux prochaines élections avec un projet de pays sur la table, me semble que ça ne prend pas un doctorat en sciences politiques pour comprendre cela. On y va pour le pays et rien d'autre. Et si ce ne passe pas, on retourne chez nous et on revient la prochaine fois. Qu'est-ce qu'on a à en branler de la carrière des petits arrivistes qui squattent encore le PQ? Est-ce que c'est vous qui allez toucher leurs salaires, leurs allocations de départ et leurs fonds de pension? Ces gens-là n'en n'ont rien à cirer de la lutte pour l'indépendance de la patrie. Leur seule préoccupation, c'est de se faire élire et réélire et faire fantasmer tous les chouverainistes ronronnants et mollassons de ce monde qui en redemandent. On a assez donné. L'indépendance et rien d'autre. Et foutez-nous la paix avec vos diversions, vos prédictions de gérants d'estrades et vos prédictions de merde tirées de toutes pièces de vos boules de cristal achetées chez Canadian Tire. Un peu de courage, que diable! Jacques Parizeau doit se retourner dans sa tombe en vous regardant aller.