30 octobre 1995 - il y a 15 ans

Québec

Le référendum de 1995, moment identitaire le plus marquant pour les Québécois



Les résultats transmis au Devoir montrent que 36 % des personnes sondées ont répondu le référendum de 1995, qui arrive en tête. En deuxième, 28 % des Québécois placent la Révolution tranquille, suivie de la Crise d’octobre (11 %) et de l’échec de l’accord du lac Meech (9 %). Près de 17 % ont dit ne pas savoir ou ont préféré ne pas répondre.

Bilan du Colloque «Quelque chose comme un grand peuple»



Le 30 octobre dernier, à l’hôtel Delta Centre-Ville de Montréal, l’Institut de recherche sur le Québec organisait la 3e édition de son colloque « Quelquechose comme un grand peuple », qui portait sur les15 ans du référendum de 1995 et l’évolution de laquestion nationale. L’événement qui a rassemblé plus de 225 participants, a permis de revenir à la foissur ce moment déterminant dans l’histoire politiquedu Québec et de s’interroger sur l’évolution de laquestion nationale depuis 1995. Télécharger le document pour lire la suite

Le bal des hypocrites

Mais le plus saugrenu dans toute cette histoire c’est que Jean Charest a recyclé dans sa garde rapprochée à peu près toutes les têtes opératrices de ces magouilles.


C'était hier, le 27 octobre, il y a 15 ans, qu'ils envahissaient Montréal. "Qwébec, je t'aiiiiiiiiiiiiiiime". Et Jean Charest de brandir le passeport de leur pays et de nous dire: "Je l'aiiiiiiiiiiiiiiiime". Et la foule de répondre "Yesssssssssssssssss". Aussitôt dit aussitôt repartis.

Parti indépendantiste - 15 ans après le référendum volé

Le choix électoral de l'indépendance: pour faire du Québec notre Pays



Montréal, le 30 octobre 2010 Le 30 octobre 1995, 61% de notre Nation québécoise votait pour faire du Québec son Pays. Cette majorité démocratique claire n'allait pas empêcher les Canadians du Québec, certains Canadians hors-Québec et les néo-citoyens canadians issus des groupes ethnoculturels (dont 60 000 ont obtenu leur citoyenneté en mode accéléré dans les mois précédant le référendum afin de préserver l'unité d...

Retour sur le référendum de 95

Il revient au peuple de combattre cette corruption de la démocratie!

15 ans sans jamais avoir oublié


À l’époque M. Parizeau devait se sentir bien seul, avec Bouchard comme allié, pour lutter contre la patente de feu Pietro Rizzuto, du conseil privé de la Reine, du conseil de l’unité canadienne et autre Chrétien et Charest.

J'attends le réveil

Notre devoir est de se réveiller. Pas d'assassiner des chefs.


Beau résumé des choix qui s'offrent à nous, 15 ans plus tard. Déterminé, Parizeau choisit d'attaquer un problème. Déprimé, Facal choisit la fuite. Contraint au contexte partisan, Drainville choisit la diversion. L'attaque, la fuite, la diversion, c'est tout l'éventail des réactions humaines devant un danger. Au PQ, ça se traduit entre « purs et durs », « déprimés durs » et « durs à suivre ». Excellente synthèse aussi des voies à choisir pour demain : la lutte nationale, l'abandon ou la gouvernance souverainiste?

15 ans après le référendum, toujours «rien de réglé»



Quinze ans plus tard, M. Le Hir est revenu à l'option souverainiste et publie même de nombreux textes sur le sujet dans le site Internet vigile.net (taxé d'«extrémiste» par Jean Charest la semaine dernière). Dans un des derniers, il prédit que l'indépendance aura lieu dans cinq ans. Il se dit d'accord avec Jacques Parizeau: la préparation à la souveraineté est primordiale. «J'ai été à même de constater qu'en 1994, on ne l'était pas suffisamment.»

Colloque sur l’évolution de la question nationale

Duceppe et Marois veulent un référendum



Mélissa Guillemette - A l’occasion des 15 ans du dernier référendum sur la souveraineté du Québec, Pauline Marois et Gilles Duceppe ont dit travailler main dans la main pour faire de la province un pays souverain. La chef du Parti québécois a défendu son plan pour y parvenir si elle était élue première ministre, tandis que le chef du Bloc québécois a dit que le «fossé» se creuse davantage entre le Q...

"On n'a jamais forcé personne dans nos communautés ethniques"... Jedwab, on te croit sur parole!

Gone - but his words are unforgotten

Jacques Parizeau's referendum-night comments about losing to money and ethnics resonate still


Yet instead he chose to stigmatize the province's ethnic minorities for exercising their democratic right.

1995 Versant Non

Les 15 ans du grand mensonge

L’important pour lui était donc de duper les indécis et les nationalistes modérés avec cette stratégie lui permettant d’être gagnant quoi qu’il arrive : s’il faisait assez peur, il gagnerait ; si ça ne marchait pas, il refuserait de perdre.


Sans pouvoir déterminer si tôt où placer le mensonge de Jean Chrétien dans le palmarès historique, on peut dire qu’il surpasse nettement celui de Pierre Trudeau. Et que de toutes les déclarations condamnables prononcées lors des deux campagnes référendaires, celle de Jean Chrétien est de loin la plus déshonorante.

Le 27 octobre 1995

Love-in à Montréal



Le 27 octobre 1995, dans le cadre de la campagne référendaire sur la souveraineté du Québec, les forces fédéralistes organisent, à Montréal, le plus important rassemblement du non sur l...