Famille Bibeau: embarras au PLQ
Le fils de Pierre Bibeau, l'organisateur politique libéral à qui Lino Zambito affirme avoir remis 30 000 $ en liquide, s'est retiré de la campagne à la chefferie de Philippe Couillard.
Le fils de Pierre Bibeau, l'organisateur politique libéral à qui Lino Zambito affirme avoir remis 30 000 $ en liquide, s'est retiré de la campagne à la chefferie de Philippe Couillard.
En plus des millions identifiés par le vérificateur au 31 janvier 2008, le gouvernement du Québec s'est engagé depuis à payer 137 millions additionnels. On arrive donc à une facture de 337 millions de fonds publics pour l'îlot Voyageur jusqu'à présent.
À une exception près, tous les hauts dirigeants de Loto-Québec ont été nommés par le PLQ
Pierre Bibeau, l'organisateur politique et vice-président de Loto-Québec, à qui Lino Zambito affirme avoir versé 30 000 $ pour financer le Parti libéral de Québec est mis de côté par son employeur.
Le grand ménage de l'automne 2012
Y aura-t-il un jour essoufflement dans le rythme des rebondissements qui ont cours à la commission Charbonneau, et autour de celle-ci ? Ce n’est plus un ménage qui est en cours, c’est un grand coup de vent qui balaie des pratiques, des individus et des mentalités. Enfin !
Coup de théâtre à la Commission Charbonneau!
Commission Charbonneau
Apparences (sic) de conflits d'intérêts ! Il en était pourtant question depuis le début.
La réflexion a été «ardue», dit-il, mais le controversé entrepreneur en construction Tony Accurso a finalement décidé de se «retirer complètement du monde des affaires». M. Accurso a averti ses 3500 employés par lettre mardi. Celle-ci a été rendue publique en milieu d'après-midi. L'homme d'affaires poursuivi en justice évoque «des raisons personnelles», mais dit agir dans «l'intérêt du Groupe des entreprises» qui c...
Un ordre a été donné. Par qui ?
Les Libéraux et la Commission Charbonneau
La nécessité absolue de poser les bonnes questions
Quant à moi, je considère que tous les ministres et le gouvernement libéral ont été corrompus à partir du moment où ils ont tous accepté de ramasser 100 000 $ par année pour le financement du parti. En fait, ce stratagème a été mis sur pied non pas pour financer le parti, mais dans le but de corrompre le gouvernement en compromettant tous ses ministres. C'est du jamais vu dans toute l'histoire politique du Québec.
La descente aux enfers du PLQ commence !
Pierre Bibeau, un apparatchik du PLQ et ex-mari de Line Beauchamp
Les bureaux de Loto-Québec utilisés pour le financement illégal du PLQ
Deuxième article de Jacques Lanctôt sur l'incidence des considérations politiques et de sécurité nationale dans les décisions de la GRC et ses conséquences négatives sur son efficacité dans son mandat de répression du crime organisé et de la mafia
Des pans entiers de Québec inc. menacés
Commission Charbonneau
L’Empire Desmarais éclaboussé
Et voilà! Ce dont tout le monde se doutait est maintenant confirmé. Le PLQ est bel et bien compromis jusqu’au trognon dans le scandale de la construction, s’il faut en croire le témoignage de Lino Zambito devant la Commission Charbonneau.
Le double mandat de la GRC
La GRC est une police politique, cela ne fait aucun doute, et si elle n'a pas révélé plus rapidement ces méfaits commis à grande échelle, c'est nécessairement pour protéger ceux qui sont au pouvoir, à Ottawa comme à Québec, du temps du gouvernement libéral de Charest.
La série noire de la corruption se poursuit Après Montréal, Laval !
Corruption à Laval
Gilles Vaillancourt, qui occupe le poste de maire de Laval depuis 1989, a fait face depuis 2010 à de nombreuses allégations de fautes professionnelles et de méfaits.
Commission Charbonneau
Zambito relie deux anciens hommes forts de l’administration Tremblay à un système de corruption à Montréal
M. Zambito a également pointé en direction des firmes de génie-conseil qui auraient la main haute sur les projets du MTQ. Selon lui, c’est « une autre dynamique ». Le lien entre les firmes et les entrepreneurs mène directement au financement occulte des partis politiques provinciaux
Dans son témoignage devant la Commission Charbonneau, M. Zambito a impliqué M. Abdallah, qui aurait empoché 300 000 $. Selon M. Zambito, il aurait reçu cette somme lors de l’exécution d’un contrat par Infrabec, la firme de construction de M. Zambito.
Gérald Tremblay ne partira pas. Il est bien trop tard.
Il ne peut plus être un maire le moindrement crédible. Mais démissionner serait une sorte d'aveu.
Si la GRC avait su, grâce à des agents infiltrés au sein de mouvements extrémistes ou partitionnistes anglophones du Québec, qu’un attentat se préparait contre Pauline Marois, en aurait-elle informé la SQ et le SPVM chargés d’assurer la sécurité de la première ministre élue le soir du 4 septembre 2012 ?
Ce que l’on a vu en deux jours à la Commission empêche désormais tout élu de se réfugier dans le déni. Il n’y a rien d’isolé dans ces pratiques : c’est un système, point, que tout dirigeant municipal un peu futé pouvait voir à l’oeuvre. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, au premier chef, lui qui en avait été avisé de toutes les manières et qui aurait dû agir plutôt que de voir les centaines de millions de dollars d’argent public prendre des chemins détournés et criminels.
Championing Jacques Duchesneau’s testimony at the Charbonneau Commission has backfired on Pauline Marois
The Parti Québécois used to swear by Jacques Duchesneau. Now it swears at him.
Hier, 15h30, Jacques Duchesneau arrive au restaurant au pas de course avec une bonne demi-heure de retard. Pantalon sport, blouse n...
Les avocats ont travaillé fort pour essayer de miner la crédibilité de Jacques Duchesneau. Pendant le contre-interrogatoire, il en a arraché. Il a été bombardé de questions sur des microdétails: le choix d'un mot dans son rapport, le libellé d'un paragraphe dans son mandat, une virgule dans son contrat. Ses deux collaborateurs y ont goûté, eux aussi. L'enquêteur Martin Morin était quasiment au bord des larmes lor...
Commission Charbonneau
M. Duchesneau exagère ? On le saura quand la commission aura fini ses travaux —lesquels, c’est la bonne nouvelle de cette première phase, sont au moins présidés avec rigueur par France Charbonneau.
On aura beau reprocher à Jacques Duchesneau ses extrapolations et ses généralités, il a le grand mérite d'avoir alerté le public. C'était sans retour: il fallait une commission.
Il y a des matins où le journaliste ne sait plus où donner de l'oreille. Des matins où les contraires se rejoignent. Tandis qu'à un bout de la ville, Jacques Duchesneau terminait son témoignage devant la commission Charbonneau, son rival Robert Lafrenière donnait une conférence de presse pour expliquer les arrestations dans une affaire de corruption municipale à Saint-Jean-sur-Richelieu. Jacques Duchesneau...
Tant que les accusations sensationnelles de Jacques Duchesneau salissaient les libéraux, le PQ les considérait comme avérées. Maintenant que les propos du même homme menacent d'entacher l'image «plus blanc que blanc» que cultivent soigneusement les péquistes, tout à coup, ceux-ci ont des doutes, exigent plus d'informations.
RAPPEL - Arrêtez le massacre !
Il est urgent pour leur propre salut que les députés du PQ se ressaisissent
Combien de fois faut-il le répéter ? Le PQ ne peut pas être autre chose qu’indépendantiste et social-démocrate, quitte à rester dans l’Opposition.
L’ex-patron de l’UAC aurait outrepassé ses pouvoirs en enquêtant sur les partis politiques
Le PQ digère très mal le rapport secret de Jacques Duchesneau, dans lequel il affirme que 70 % des dons faits aux partis politiques sont illégaux. (...) L’incrédulité se lisait sur bien des visages dans les bureaux du PQ, a raconté une autre source. Signe éloquent : tout le monde au PQ refusait de commenter ouvertement l’affaire.
Enfin!
Me Tremblay n’a certainement pas adopté cette attitude belligérante de son propre chef, il fallait que ça vienne de plus haut et, nécessairement, Pauline Marois en a donné l’ordre, qui d’autre?
Mme Marois aurait-elle le mandat sous-marin de paver la voie à un autre mandat pour Jean Charest favorisant ainsi les vues du célèbre prédateur de son comté, Paul Desmarais? Si c’était le cas, elle ne ferait pas autre chose.
Depuis la publication de son rapport, Jacques Duchesneau est vu par la plupart des citoyens comme un chevalier sans p...
Il reste une certitude: le Québec a vraiment besoin d'une commission d'enquête.
Quelle est la légitimité de notre gouvernement provincial et des administrations municipales qui auraient - je dis bien auraient - été élus avec de l'argent sale?
Étonnant que Jacques Duchesneau ait donné des noms, car il n'est pas protégé contre les poursuites en diffamation. Comme tous les témoins qui défileront devant la commission Charbonneau.