Les journalistes devraient toujours fournir tous les détails disponibles sur les crimes et les criminels, même si ça enfreint le politiquement correct en vigueur. Refuser de le faire enfreint le code de déontologie journalistique qui demande de révéler tous les faits pertinents pour se faire une juste idée de n'importe quel fait d'actualité.
Lorsqu'on parle de criminalité à Montréal et Laval, on s'aperçoit rapidement qu'un très grand nombre de ces crimes et délits sont commis par des immigrés du tiers-monde violent et corrompu, beaucoup plus qu'en proportion de leur nombre.
On s'aperçoit aussi que ces criminels ont plusieurs points en commun qui les caractérisent et qui permettent de tirer des conclusions basées sur ces faits.
Pourtant, ce sont plusieurs de ces caractéristiques que les médias cachent délibérément, précisément pour qu'on ne puisse pas faire de lien évident et démontrable entre ces crimes et ceux qui les commettent.
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Autrement dit, les médias cachent certains faits révélateurs, ils nous trompent volontairement, parce qu'ils ont un parti pris pro immigrants, qui selon eux doivent toujours être présentés positivement et comme n'ayant jamais rien à se reprocher. Sinon, gare aux accusations de xénophobie et de racisme qui leur pleuvront dessus dans le temps de le dire, ce qui leur donne la trouille!
C'est pour cette simple raison que les médias ne veulent sous aucun prétexte qu'on voit clairement à qui sont dus tant de crimes et délits, à qui on a affaire une fois de plus.
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Des termes tabous
Voici quelques termes tabous qui ne seront jamais utilisés par les médias pour décrire les suspects et coupables recherchés ou capturés, bien que ce soit des termes qui les décrivent factuellement et précisément:
- immigré
- étranger
- leur pays d'origine
- leur race
- leur ethnie
- leur religion
- leur langue d'adoption (anglais)
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Exemples
- Jamais un média n'osera préciser qu'un assassin, un fraudeur, un voleur, un violeur est un étranger immigré maghrébin marocain musulman arabe nommé Anis Rayane Bacha, comme il y en a mille autres. Jamais. Comme s'il n'y avait pas de lien direct entre l'un et l'autre, bien que ça crève les yeux, la chose étant démontrée par leur nombre élevé, la répétition d'un cas à l'autre.
- Jamais un média n'osera préciser qu'un assassin, un fraudeur, un voleur, un violeur est un étranger immigré africain congolais de race noire nommé François-Xavier Hatou-Djietcheu, comme il y en a mille autres. Jamais.
- Jamais un média n'osera préciser qu'un chauffeur à rabais incompétent qui fracasse son camion-remorque de 58 pieds et enlève la vie à des Québécois est un étranger immigré hindou sikh nommé Sukhdool Navjeet Singh, comme il y en a mille autres. Jamais.
- Jamais un média n'osera préciser qu'un gang de rue est composé presque exclusivement de bandes de jeunes étrangers immigrés maghrébins arabes musulmans marocains, ou par des bandes de jeunes étrangers immigrés africains ou haïtiens de race noire, comme il y en a mille autres à Montréal et Laval. Jamais.
Mais il y en a tellement de cas comme ceux-là qui se vérifient fois après fois qu'il est permis de déduire et conclure que tous ces termes descriptifs ont quelque chose à voir avec le fait que ces individus démontrent les prédispositions requises pour commettre autant de crimes et délits, et de vouloir s'incruster dans cette vie de crimes, et ce, dès le plus jeune âge.
À vous de consulter la liste rédigée par mes soins détaillant 500 crimes et délits récents commis par des immigrés multiethniques où on donne toutes ces précisions pour se faire une juste idée du portrait global de la criminalité au Québec et de ceux qui les accomplissent, un phénomène qui se concentre principalement dans la métropole fortement ethnicisée pour son plus grand malheur. Vous voulez des preuves du marasme dont ils sont la cause, en voici 500 pour commencer. Et gardez à l'esprit que ce n'est que la pointe de l'iceberg, qu'un bref aperçu partiel, et bien en deçà de la réalité.
À lire : Liste de 500 crimes et délits récents commis au Québec par des immigrés du tiers-monde
Et cette politique systématique de cachotterie des médias donne des situations tout à fait incongrues où le grand titre parlera de "Montréalais fraudeur recherché" ou de "Lévisien arrêté". Que d'euphémismes pour cacher la réalité des faits et empêcher le public de voir ce que les médias ne veulent pas qu'on voit.
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Pourquoi de telles précisions sont-elles nécessaires?
Tout simplement pour identifier les communautés à haut risque et les bloquer à l'immigration.
On s'entend que ce ne sont pas tous les membres d'une communauté donnée qui sont à risque de présenter un danger pour la société, mais comme un pourcentage trop important d'entre eux le sont, cela justifie qu'il soit préférable les écarter en bloc de la sélection, au nom de la sécurité publique à préserver. Nous ne perdrons absolument rien au change. Admettons plutôt des candidats foncièrement plus sécuritaires, des millions d'entre eux se pressant à nos portes.
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Et si cela implique de diminuer drastiquement le pourcentage de tiers-mondistes issus des pays les plus violents et corrompus au monde, qu'il en soit ainsi. Notre société ne s'en portera que mieux.
Nous voulons la vérité, toute la vérité. Exigeons-la, c'est notre droit. Fini les cachotteries.
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Mesures d'expulsion
Devant un tel nombre croissant d'immigrés criminels, de telles statistiques doivent démontrer la nécessité d'entreprendre l'expulsion immédiate des coupables à la première offense. La loi canadienne actuelle empêche l'expulsion expéditive et doit être changée au plus tôt.
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et: Immigrés criminels: l'expulsion immédiate à la première offense comme solution
Conclusion
Comme s'il fallait rappeler cette évidence, le Québec étant un état occidental, ce sont les occidentaux comme nous qui présentent le meilleur profil permettant de réussir une intégration complète, rapide et sans larmes, un élément pertinent qui devrait servir de critère de base en matière de sélection des immigrants.
À lire: Pourquoi les médias cachent-ils volontairement les origines ethniques des criminels?
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
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