Corruption - Montréal

Roquet n'aura pas à répondre aux questions des élus


Martin Croteau (Montréal) Le directeur général de Montréal, Louis Roquet, n'aura pas à répondre a...

Une enquête sur Montréal


Caricatures


Vous avez tort, M. Roquet


Suffisamment graves pour que Jacques Bergeron décide de remettre le dossier à la police. C’est la troisième fois en un an qu’un vérificateur appelle la police. Il y a d’abord eu la SHDM en avril 2009, puis les compteurs d’eau quelques mois plus tard.

Buffet à volonté


C'est le cas de BCIA, une entreprise dont le contrat a été prolongé sans que les élus aient les documents nécessaires, dont les tarifs ont crû sans justification, et qui a touché d'importants montants de la Ville sans entente écrite, sans autorisation du comité exécutif, du conseil municipal ou du conseil d'agglomération.

More dirt at city hall for Tremblay to clean up


Almost seven months ago Montrealers held their noses and re-elected Mayor Gérald Tremblay. The stench of shady deals, wafting across the island from city hall, had turned what should have been a stroll-in-the-park re-election into a fierce fight. If he had faced one decent challenger, instead of two with major flaws, Tremblay might be an ex-mayor today. Running hard against scandals in a city housing...

Transfert des services téléphoniques: le vérificateur appelle la police


Le DG de la Ville essuie de nouvelles salves


Services téléphoniques: des «intervenants clés» écartés

En conférence de presse, M. Bergeron a affirmé que la Ville avait mal évalué ses besoins avant d'octroyer deux contrats totalisant près de 100 millions à la firme de téléphonie. Et cette anomalie pourrait bien y avoir contribué.

Ne touchez pas au vérificateur

Pour Telus, le verdict est dévastateur: le dossier a été mal ficelé, mal dirigé, mal évalué, dit, en gros, le vérificateur. Et la police enquête. Une autre enquête!

Le blâme du vérificateur est sévère. Pour la firme de sécurité privée BCIA et pour Telus, deux dossiers qui risquent d'exploser au visage du maire Tremblay. Le rapport a été déposé hier vers 22h30 au conseil municipal. Une brique de 415 pages. Pour Telus, le verdict est dévastateur: le dossier a été mal ficelé, mal dirigé, mal évalué, dit, en gros, le vérificateur. Et la police enquête. Une autre enquête! ...

Louis Roquet a agi de façon légale, soutient la Ville


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