Gare aux dérapages !
PQ : la grande mutation
La «tentative de renouvellement» du Parti québécois pose une question existentielle: qu’est-ce qu’un parti politique?
Gare aux dérapages !
La «tentative de renouvellement» du Parti québécois pose une question existentielle: qu’est-ce qu’un parti politique?
Le PQ est-il en train d'être saboté de l'intérieur ?
Dans un rapport corrosif, Paul St-Pierre Plamondon propose de rajeunir le parti souverainiste
Paul St-Pierre Plamondon brasse la cage de l’establishment péquiste avec un rapport corrosif qui dépeint le parti souverainiste comme un «club social» vieillissant et déconnecté.
Lisée piégé à son propre jeu
À entendre Jean-François Lisée, le PQ pourrait très bien reprendre la circonscription de Gouin s’il décidait de présenter un candidat à l’élection partielle que le premier ministre Couillard devra nécessairement déclencher au cours des six prochains mois.
Une déclaration difficilement réconciliable avec son intention exprimée de faire du français la langue d'État
Le Québec doit parler au monde en français et en anglais, estime le chef du Parti québécois, Jean-François Lisée.
Un test important pour le PQ
Jean-François Lisée affirme que si le Parti québécois le désirait, il pourrait reprendre la circonscription de Gouin, qui était détenue par Québec solidaire avant le départ de Françoise David.
C'est la seule voie susceptible de donner des résultats
Le chef du Parti québécois (PQ) Jean-François Lisée a soutenu jeudi que son nationalisme économique est la solution pour réduire les impacts du protectionnisme mis de l’avant par le président américain Donald Trump.
Aucune entente possible avec QS. Le PQ doit foncer dans Gouin
L'association péquiste de Gouin est divisée quant à l'idée de présenter ou non un candidat à l'élection partielle rendue nécessaire par le départ de Françoise David. Elle se dit « en mode électoral jusqu'à nouvel ordre », laissant les coudées franches à son chef Jean-François Lisée.
Un Libéral très heureux de voir Lisée aux commandes du PQ
Jean-François Lisée est bien en selle. Lentement, mais sûrement, il s’efforce de mettre son parti à sa main. Les résultats sont de plus en plus tangibles.
Le PQ doit réviser ses positions sur le libre-échange
Les délégués du Parti québécois étaient réunis à Québec, la fin de semaine dernière. C’est un premier conseil national politiquement réussi pour Jean-François Lisée.
Sortir des platitudes usées et manifester du nerf face à Ottawa
NATIONALISME ÉCONOMIQUE
Le nouveau chef du Parti québécois, M. Jean-François Lisée, a choisi la carte du nationalisme économique pour clore le Conseil national du parti qui se tenait le week-end dernier à Québec. Un choix naturel pour le PQ, mais qui demande à être raffiné pour retrouver sa crédibilité d’antan.
Vers un PQ inodore, incolore et insipide ?
Qui prend chef prend son programme. En politique, le principe est universel. Même au Parti québécois. En choisissant Jean-François Lisée, les péquistes savaient ce qu’ils s’achetaient. Du moins, sur l’essentiel.
Pas fort comme «timing»
Le discours sur le nationalisme économique que Jean-François Lisée a livré dimanche à la clôture du conseil national du PQ avait tout pour plaire aux électeurs de la CAQ qu’il cherche à séduire. L’entendre exprimer aussi fortement son désir de voir la Caisse de dépôt jouer un rôle accru dans le développement de l’économie québécoise, d’empêcher l’exode des sièges sociaux, sans oublier la réduction de la paperasse imposée aux PME, a dû être doux à leurs oreilles.
Dans le mille !
CONSEIL NATIONAL DU PQ
Le chef du Parti québécois, Jean-François Lisée, promet de ne ménager aucun effort pour « extirper le Québec du cercle vicieux de pauvreté » dans lequel l’a plongé et le maintient le Rest of Canada (ROC).
Le moment est venu pour Lisée de relire «La grenouille et le boeuf» de Jean de LaFontaine
Jean-François Lisée a axé son discours sur son programme de nationalisme économique
Le Québec devra bomber le torse contre les politiques protectionnistes de Donald Trump, prévient Jean-François Lisée.
Le grand défi
Il faut plus que des gros bras comme ceux d’Hugo Girard pour rénover le Parti québécois. L’heure est à l’audace, à l’intelligence et à la souplesse – tout en restant constant, monsieur Lisée – et aux coups de poing sur la table quand c’est nécessaire.
Regardez bien nos adversaires le tourner en ridicule avec une version actualisée du «flag su'l hood»
Certaines de ses propositions, comme sa position sur la défense du français, ne font pas l’unanimité
Un Québec souverain serait dirigé par un président et son armée engagée prioritairement dans des missions de maintien de la paix à l’étranger.
Entièrement prévisible
Jugée mollassonne par certains, la position de Jean-François Lisée sur la défense du français ne passera pas comme une lettre à la poste auprès des militants du Parti québécois.
Tout un programme !
Le Parti québécois a manqué de clarté et de cohésion dans les dernières années, provoquant la fuite des électeurs, soutient Jean-François Lisée. Il entreprend maintenant d'en faire un parti «clair et constant», «zen et décomplexé, moins hargneux et chicanier».
Vigile soutient la position des jeunes péquistes
Les jeunes péquistes se mettent en porte à faux avec Jean-François Lisée sur un enjeu économique majeur à l'occasion du premier Conseil national du Parti québécois depuis l'élection du nouveau chef. Il lui demande de s'opposer à l'accord de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne.
Lisée se trompe de cible. Il doit rassurer les francophones, pas les anglophones
IDÉES
En 1977, après des années de mobilisation citoyenne instiguée notamment par les Sociétés Saint-Jean-Baptiste et le Mouvement Québec français, le gouvernement du Québec a fait adopter la Charte de la langue française. Ce fut un véritable geste historique d’affranchissement collectif. Un saut dans la modernité.
Lisée n'avait pas besoin de ça
Libéraux, caquistes et solidaires accusent en coeur le Parti québécois de «détournement de fonds publics» et réclament une enquête indépendance sur l'usage du budget de l'Assemblée nationale.
Lisée déclare avoir l'appui de Louise Beaudoin ! Pour ce qu'il pèse...
La proposition principale ne va pas assez loin, selon certains
À la veille de participer à son premier Conseil national du Parti québécois en tant que chef, Jean-François Lisée n’a pu éviter la controverse alors qu’une fronde souverainiste a visé sa défense de la langue française, que d’aucuns jugent trop timide.
Des allures de démission
LISÉE ET LE FRANÇAIS
Défendre le français au Québec n’a jamais été une mince affaire. Dans les années 1970, des hommes de vision comme Camille Laurin et Gérald Godin, qui réclamaient de solides mesures en ces matières, étaient souvent fustigés. On les accusait entre autres de « diviser » la population.
Offensive de charme de Lisée auprès des anglophones. Combien de votes espère-t-il recueillir, et combien en perdra-t-il chez les francophones ?
As he heads into his first encounter with the membership, new Parti Québécois Leader Jean-François Lisée is proposing a policy shakeup — asking the party to put aside referendum talk and language nitpicking and focus on building a broad coalition.
La francisation sans douleur selon les prescriptions du Dr Lisée
Le Conseil national du Parti québécois qui aura lieu samedi à Québec donnera lieu à un débat sur de nouveaux objectifs en matière de francisation des immigrants que souhaite faire adopter le chef de la formation politique, Jean-François Lisée.
Reprenant une [proposition de Vigile de 2013->http://vigile.quebec/Le-francais-langue-d-Etat-depuis-54906], JFL veut confirmer le statut de langue d'État que le français détient [depuis 1663->http://vigile.quebec/Une-autre-capitulation-du-Colonise-72967]
PARTI QUÉBÉCOIS
Jean-François Lisée abandonne des pans du projet de loi 14 pour mener les combats les plus productifs, dit-il
Afin de ne pas diviser la population québécoise, le Parti québécois de Jean-François Lisée larguera une bonne partie des éléments du projet de loi 14 du gouvernement Marois visant à renforcer la loi 101, ne retenant que l’essentiel aux yeux du chef péquiste : soumettre les entreprises de 25 à 49 employés à la Charte de la langue française.
Un autre recul stratégique ?
PARTI QUÉBÉCOIS
En 2013, la CAQ avait fait tout un cirque à propos de la petite Sandra, fille d’un militaire blessé en Afghanistan, qui faisait partie de ces enfants de soldats francophones auxquels le gouvernement Marois voulait retirer le privilège de fréquenter l’école anglaise.
La position Libérale était prévisible
Le PLQ a répliqué à la proposition Lisée par une publicité négative sur les réseaux sociaux
Jean-François Lisée propose la plus longue campagne référendaire que le Québec n’a jamais connue, s’insurge le ministre libéral Jean-Marc Fournier.
Prenez une belle piéce de constitution, assaisonnez d'un mélange de propositions épicées, et faites mijoter le tout à feu doux pendant cinq ans
Les Québécois n’ont pas été habitués à ça avec les libéraux mais leurs méninges seront vite sollicitées si Jean-François Lisée prend le pouvoir en 2018.
Reste à voir si cette proposition constituera l'essentiel du programme du PQ
Jean-François Lisée s’attaque à l’article 1 du programme du Parti québécois
Pas de référendum sur la souveraineté avant 2022. Jean-François Lisée passe de la parole aux actes et s’attaque à l’article 1 du programme du Parti québécois.