«Le PQ s’enfonce dans des culs-de-sac»
Le PQ et la diversité
Tous les mots dont use Jean-François Lisée pour parler des «membres de la diversité» – en clair les immigrants – sont choisis pour confondre l’électorat.
«Le PQ s’enfonce dans des culs-de-sac»
Tous les mots dont use Jean-François Lisée pour parler des «membres de la diversité» – en clair les immigrants – sont choisis pour confondre l’électorat.
«Une fausse bonne idée ?»
Ainsi, le Parti québécois de Jean-François Lisée met sur pied une organisation nommée «L’Autre 150e» dans le but de casser le party des fédéralistes qui souhaitent souligner le 150e anniversaire de la Confédération. Pathétique!
L'obsession du West Island : Désastre multi-culti en perspective
Le chef du Parti québécois (PQ), Jean-François Lisée, souhaite « aller plus loin qu’avant » pour rejoindre les communautés culturelles et il croit que sa proposition de ne pas faire de référendum dans un premier mandat risque de l’avantager en ce sens.
Pas évident comme stratégie
Jean-François Lisée tente le grand écart: il songe à ne pas présenter des candidats dans toutes les circonscriptions pour laisser de la place à Québec solidaire tout en courtisant les électeurs de droite qui ont déserté le PQ.
Le PQ dans l'eau bouillante
FINANCEMENT ILLÉGAL
Le litige porte sur des dons totalisant 194 500$
Le Directeur général des élections du Québec (DGEQ) est prêt à en découdre devant les tribunaux avec le Parti québécois, à qui il réclame le remboursement de 194 950 $.
Pour un patriotisme décomplexé et gagnant
Si le PQ se contente de critiquer le gouvernement Couillard, sa critique ne sera ni meilleure ni très différente de celle de la CAQ
N'est pas populiste qui veut
Honteux. C’est le seul mot qui me vient en tête en pensant aux déclarations de Jean-François Lisée à l’endroit de François Legault au cours de la fin de semaine.
Les zig-zag du PQ... et de Lisée
Récapitulons les derniers mois : alors qu’on l’imaginait dans la course à la chefferie du PQ pour porter une candidature de témoignage toutefois susceptible de relever le débat public, Jean-François Lisée a créé la surprise et remporté la course en misant sur la question identitaire.
Un premier coup de barre dans la bonne direction
Parti Québécois
Pour mettre un terme au communautarisme, à la ghettoïsation et aux accommodements religieux
Jean-François Lisée vient de verser dans le gros bon sens. Nous n’avons qu’à nous en féliciter. Après avoir télégraphié pendant quelque temps des signaux hésitants sur la laïcité qui nous faisaient craindre les pires régressions, ne voilà-t-il pas qu’il se ressaisit et qu’il nous dévoile une conception de la chose plus conforme à la pensée indépendantiste. C’est tout à son honneur.
La grande supercherie
Jean-François Lisée révèle la véritable identité du PQ
Le PQ est devenu l’antichambre d’une poignée d’arrivistes politiques
Jean-François Lisée, le nouveau leader péquiste et chef de l’Opposition officielle au parlement du Québec, n’a pas su résister au chant des sirènes d’une gauche libertaire qui panique au moment où les patriotes de la trempe de Donald Trump sont en train de bouleverser le «grand échiquier» politique.
Crédibilité zéro !
Résumons le cheminement de la pensée de Jean-François Lisée, pour voir si j’ai tout compris.
Les contradictions de Jean-François Lisée
En se faisant l’apôtre de la neutralité chez les enseignantes et les éducatrices, le chef péquiste semble contredire les propos qu’il tient depuis son élection
Le chef du Parti québécois, Jean-François Lisée, a annoncé, jeudi, un virage identitaire qui va plus loin que ce qu’il proposait comme candidat à la chefferie en matière d’interdiction des signes religieux.
Il est encore temps de redresser la barre
Le vote indépendantiste captif
Au rythme où vont les choses, il faudra voter PQ en se bouchant le nez en 2018
Rarement aura-t-on vu un ballon se dégonfler aussi vite. De la part d’un parlementaire chevronné comme Jean-François Lisée, on se serait attendu à un départ canon à l’Assemblée Nationale après son élection à la chefferie, pour marquer les esprits. Au lieu de cela, la suite du mauvais feuilleton auquel nous a habitué le PQ depuis maintenant plus d’un an.
Un réveil salutaire ?
Le chef du Parti québécois Jean-François Lisée a durci sa position en matière d'identité, jeudi, en proposant d'interdire le port des signes religieux aux enseignants et aux éducatrices en garderie.
Tout à perdre, rien à gagner
À l’instigation de Jean-Martin Aussant et avec l’accord de mesdames Marois et David, j’avais accepté à l’été 2012 un mandat de médiation pour tenter de rapprocher les partis indépendantistes en vue de la prochaine élection générale.
Marketing-ting-ting !
74 % des sympathisants péquistes et 61 % des électeurs solidaires d’accord pour une alliance
Un mariage entre le Parti québécois et Québec solidaire est souhaité par une vaste majorité de souverainistes.
Des conditions piégées !
Pauvre PQ !
Les égarements de Jean-François Lisée
Ceux qui voyaient en cette main tendue de Lisée vers Québec Solidaire en vue d’une coalition électorale progressiste pour battre les libéraux en 2018 une stratégie génialissime visant à montrer la psychorigidité de QS sont, depuis deux jours, ramenés sur terre par les faits. Les solidaires se font maintenant tout miel. C’est que le petit jeu présumément stratégique du PQ se joue aussi à deux et, que l’on aime cela ou pas, Québec Solidaire, derrière ses airs vertueux et purs, comprend parfaitement bien l’essence machiavélique du jeu politique.
«Abandonner le terrain identitaire à la CAQ, qui ne demande pas mieux, serait une grave erreur»
À deux ans des prochaines élections, Jean-François Lisée a déjà décidé que les libéraux sont « en chute libre » et que son véritable adversaire sera François Legault.
Y a-t-il un vrai Jean-François Lisée ?
Jean-François Lisée est un homme à multiples facettes. Lorsqu’il s’adresse aux Québécois, l’on doit deviner lequel des J.-F. Lisée s’exprime. Pour se faire élire à la direction du PQ, le candidat a misé sur les thèmes de l’identité et de l’immigration, doublant ainsi Alexandre Cloutier, le favori, qu’il a vaincu.
Le PQ doit se réveiller vite et s'ajuster à la nouvelle donne
Qu’on se le dise : la tension entre la gauche et la droite n’est plus l’ultime clivage politique en Occident aujourd’hui. Le Brexit l’avait laissé deviner l’été dernier et l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche semble confirmer la tendance qui s’observera dans nos sociétés à court et moyen terme. On parlera de mondialisme et de nationalisme.
Il ne suffit pas de rêver, il faut agir, avec acharnement, tous les jours, sans relâche
Ce billet de blogue est le texte de l'allocution que prononcera Pauline Marois lors du colloque organisé samedi prochain par la Société Saint-Jean-Baptiste dans le cadre du 40e anniversaire de l'accession au pouvoir du Parti québécois. L'ancienne première ministre y participera à titre de conférencière sur le thème : Un parti à la croisée des chemins, 2003-2016.
Ça promet !
L'identité et l'immigration sont désormais des enjeux secondaires pour Jean-François Lisée. Dans une entrevue accordée au bureau parlementaire de La Presse, le nouveau chef du Parti québécois se dit plus préoccupé par l'économie, le développement des régions et la langue. Et il braque ses canons sur celui qu'il considère comme son véritable adversaire, le chef caquiste François Legault.
Plus que jamais !
Que pensent les petits-enfants des ministres du premier gouvernement péquiste, élu il y a 40 ans aujourd'hui, de l'état du Parti québécois, du projet souverainiste et de la relation des jeunes de leur génération avec la politique ?
Le PQ retombe dans le placotage
Le projet piloté par Paul St-Pierre Plamondon vise à une plus grande inclusivité
Le Parti québécois (PQ) lançait hier une consultation populaire intitulée « Osez repenser le PQ », qui vise à sonder plus particulièrement les communautés culturelles, les jeunes et les entrepreneurs.
Plutôt une volte-face qu'un assouplissement
Sous un gouvernement péquiste, les immigrants ayant obtenu leur citoyenneté canadienne de fraîche date auront le droit d'exercer leur droit de vote, lors d'élections ou d'un référendum.
Le fait-il exprès ? Pour chaque vote qu'il va aller chercher chez les anglos/allos, si tant est qu'il y parvienne, il va en perdre 10 chez les francos !
Des militants libéraux déçus du gouvernement Couillard, francophones et anglophones, songent à voter pour le Parti québécois (PQ) lors du scrutin de 2018.
La bouteille d'encre
Depuis le déclenchement cette semaine d'élections partielles dans quatre circonscriptions au Québec, le 5 décembre, les partis d'opposition s'activent sur le terrain.
Hum !
Monsieur Lisée nous a donné un exemple de ses forces qui peuvent devenir de graves faiblesses.
On a hâte de voir
Il veut reconquérir le pouvoir en 2018. Pour y arriver, le nouveau chef du Parti québécois entend utiliser son principal atout pour séduire les électeurs déçus du PQ: sa capacité de surprendre. Tout comme ses héros de science-fiction, Jean-François Lisée veut aller là où personne n’est jamais allé… quitte à faire des mécontents.
Il suffit d’évoquer des films ou des bandes dessinées de science-fiction pour émoustiller l’intellectuel Jean-François Lisée. Le nouveau chef du Parti québécois en raffole. «L’imagination est complètement libérée. La science-fiction a une logique interne, mais tu peux aller là où personne n’est jamais allé», dit-il.
Lisée s'engage
Lisée précise sa pensée dans une entrevue accordée à Patrice Roy au Téléjournal Grand Montréal du lundi, 17 octobre