Il est peut-être là le plus grand défi: cultiver la fierté de la langue, être pointilleux, ne pas avoir peur d'exiger l'excellence pour soi et pour les autres. Par où commence-t-on?
Tout y est: réactionnaire, dérive, peur, isolement et repli, exclusion... Tout y est, sauf l'esprit du projet de loi 195...
Mais en tentant de séduire cette droite nationaliste, au lieu de la contrôler, le PQ est forcé de flirter avec les dérives de droite
L'OTAN est en Afghanistan pour libérer, démocratiser, protéger.... Comme en Irak, comme au Viet-nam... Pratteus gescarex ridiculus !!!!
À la manière B. Kay, voici une sélection "orientée" de courriels visant à "inférer" une conclusion pré-établie...
La loi 101 et la pression sociale assurent la francisation d'une grande majorité des immigrants du Québec.
Selon Amar Baouche, de plus en plus de musulmans songent à un retour dans leur pays d'origine ou à un déménagement (en Ontario ou en Alberta) afin d'échapper aux difficultés d'intégration au Québec.
Les basses oeuvres...
Pauline Marois s'est aventurée sur un terrain bien délicat quand elle a fait la leçon à Saku Koivu, elle qui n'a jamais trouvé le moyen d'apprendre à s'exprimer couramment en anglais.
<b>Même la Grande-Bretagne a déjà évoqué la nécessité d'imposer des exigences linguistiques aux nouveaux arrivants</b>
"Y a-t-il jamais eu d'idée plus folle, plus xénophobe, que cette proposition de Pauline Marois" ... Aucun test linguistique n'existerait donc nulle part ?...
Quelle que soit la commission, il faut s'attendre à y entendre une litanie de doléances historiques, de préjugés et de craintes
Le projet 195, malgré son caractère improvisé, n’en recèle pas moins des aspects valables, dans un contexte où 40% de nos immigrants choisissent l’anglais et où ils se concentrent massivement dans la région métropolitaine, qui regroupe plus de la moitié de la population québécoise.