L'élection fédérale bouscule l'agenda politique
Nouvelle démarche d'accession du Québec à l'indépendance.
Nous devons nous adapter rapidement
L'élection fédérale bouscule l'agenda politique
Nous devons nous adapter rapidement
Il y a des silences qui s'expliquent mal
On l'a fait parler plus qu'il n'a parlé lui-même
Réplique à Michel Seymour
Ce qui serait moralement condamnable, ça ne serait pas de faire la souveraineté du Québec sans offrir au préalable encore une dernière chance au Canada anglais; ça serait d’empêcher que le Québec sorte de cette ronde absurde de négociations constitutionnelles ratées d’avance (...)
Un texte sublime de Robert Laplante
Les dirigeants du mouvement indépendantiste le comprendront-ils à leur tour et ajusteront-ils leur discours en conséquence ? Là est toute la question.
Le 2 mai 2011, le Québec n’a pas voté pour le Canada. Il a vomi le gouvernement militaro-industriel et créationniste du Canada, avec ses idées rétrogrades.
Le Bloc Québécois vient d’arriver au bout d’une logique que les circonstances de la politique canadian avaient jusqu’ici partiellement occultée. Sa débâcle est l’ultime aboutissement de la politique des lamentations telle que l’a consacrée Lucien Bouchard