La criminalité étant en constante augmentation au Québec et surtout à Montréal principalement en raison de l'immigration tiers-mondiste massive venant de pays violents et corrompus, il faut maintenant songer à des mesures plus musclées pour en venir à bout.

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1- Que les récidivistes soient enfermés à vie

L'une de ces mesures dissuasives et punitives serait que les criminels récidivistes soient enfermés à vie au nom de la sécurité publique qu'il faut préserver, sans possibilité de reconsidérer leur cas avant 30 ans.

Rappelons que la plus grande préoccupation de la population à l'heure actuelle est l'insécurité engendrée par la criminalité qui se retrouve partout.

Si un criminel ne profite pas de la seconde chance qu'on lui accorde pour se réhabiliter, il devra payer le prix de son mauvais choix de vie. Généralement, celui qui commet un premier crime ou délit a ça dans le sang et en a déjà fait son choix de vie.

Rappelons que la grande majorité des criminels récidivent, se montrant incapables de dominer leurs pulsions violentes et malhonnêtes innées. Un joueur compulsif ne se corrige pas. Un pédophile ne se corrige pas. Un schizophrène l'est pour la vie. De même, un criminel ne se corrige pas. Un tempérament violent restera violent. L'inclination au crime ne diminuera pas. Tout cela fait partie du bagage génétique hérité, des prédispositions naturelles qui programment chaque cellule du corps humain. C'est dommage pour eux, mais c'est comme ça.

Finies les sentences bonbon.

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2- La réhabilitation est une illusion coûteuse

La réhabilitation est une illusion coûteuse, pratiquement inefficace. Si on réchappait 90 criminels sur 100, ça en vaudrait peut-être la peine, mais les résultats atteints ne sont pas significatifs, loin de là; par conséquent, épargnons ce gaspillage de fonds publics et faisons plutôt travailler ces irrécupérables en prison.

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3- Pour un retour des travaux forcés

Le coût de l'incarcération doit aussi demeurer le plus bas possible. Il n'est pas normal que le contribuable doive payer plus de 100 000 $ par année par prisonnier. C'est pour cette raison que les prisonniers devraient faire des travaux forcés qui allègeront le fardeau monétaire social qu'ils représentent. Et sur les 8 à 10 heures de travail quotidien, on leur laissera quelques dollars pour se payer de petits luxes et les motiver.

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4- Toujours imposer des peines pour adultes aux jeunes criminels

L’accroissement de la violence et de la criminalité dû aux jeunes immigrés maghrébins ou africains atteint des sommets au Québec. Des peines sévères pour adultes doivent toujours être appliquées. Dès l’adolescence, leur profil de vie criminelle est déterminé, fixé et inchangeable.

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5- Changer la loi canadienne C-5

La loi canadienne adoptée par les libéraux de Justin Trudeau forçait pratiquement les juges à accorder par défaut la peine minimale. Le gouvernement actuel de M. Carney, pressé par M. Poilièvre, serait en passe de la faire changer avec le projet de loi C-5. Ce sera un pas dans la bonne direction.

6- Expulsion automatique des immigrés criminels

Et dans le cas des criminels immigrés, il est nécessaire d'appliquer la règle de la tolérance zéro. L'expulsion à la première offense doit devenir la règle. Pas de bureaucratie, pas de délai, pas de paperasse, pas de recours: expulsion automatique. Simple et net.

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7- Mieux filtrer les demandes d'immigration

Il faudrait qu’Immigration Canada filtre mieux les demandes d’immigration en bloquant l’accès aux pays les plus dangereux avec le plus haut taux de violence et d’homicides volontaires.

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En conclusion, la sécurité citoyenne ne pourra revenir au Canada et au Québec que lorsque des mesures sévères seront appliquées pour sortir définitivement les criminels de la circulation.

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