Baraque

Tribune libre 2010

J'avais, épinglé, au dessus de mon bureau, une pleine page de la
grosse Presse avec la photo de Barak Obama au lendemain de sa victoire.
Ce matin, suite à sa "réplique vigoureuse " envers Israël, je l'ai décrochée
et j'en ai fait une boulette que j'ai tristement mise à la poubelle des
espoirs.
C'est long des fois attendre...
André Vincent



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5 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    3 juin 2010

    N'ai pas cherché du tout à vous être désagréable.Pas vous certainement.
    Mais il me semble que Obama déçoit un peu,lui qui portait pourtant et porte encore de grands espoirs.
    La conjoncture lui est défavorable,il me semble.Depuis longtemps,toutes les présidences américaines sont entraînées par la politique internationale.L'isolationisme étant devenu impossible aux U.S.A.--en partie par sa composition très multiculturelle--le président Obama ne fait pas exception et devient un joueur parmi bien d'autres.
    La conjoncture peut changer toutefois...

  • Archives de Vigile Répondre

    3 juin 2010

    @ Marcel Haché,
    Non, je n'ai jamais pensé qu'il était un saint (c'est d'ailleurs une remarque plutôt désagréable de votre part ), mais j'ai espéré, comme des millions de personnes dans le monde, qu'il serait un grand leader, quelqu'un ayant la capacité de changer les choses, un Roosevelt par exemple. Remarquez qu'il en est encore qu'au début de son premier mandat et que de succéder è Georges W, avec toute la merde que ce dernier à laissé derrière, ce n'était pas l'idéal. Et je ne parle pas de la crise éconimique...
    Quand même, jusqu'à maintenent, il a déçu et si je comprends assez bien la "real politik", comme vous dites, reste que certains hommes ont réussi à s'élever au dessus de la mélasse quotidienne et à tenir leurs raisons de vivre à bout de bras.
    André Vincent

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    3 juin 2010

    «La présidence d’Obama est devenue faible...»
    Ou peut-être est-ce l'individu lui-même, qui est plutôt faible, comme président? Parce que jusqu'à maintenant, il ne livre pas la marchandise.
    C'est un Monsieur «Affirmative Action», qui a toujours bénéficié de circinstances du genre, «deux poids, deux mesures»...
    Les électeurs se rendent compte, bientôt deux ans après son élection, que sa belle gueule vaguement hollywoodienne, ne suffit pas à faire de Barack Hussein Obama, l'homme de la situation, en ces temps fort difficiles.

  • Gilles Bousquet Répondre

    3 juin 2010

    M. Vincent, le président des États-Unis ne peut pas se virer complètement contre Israël pour plusieurs raisons :
    Les juifs financent les partis politiques et son présents partout dans l'administration gouvernementale "comme au Canada" et les religieux chrétiens qui sont en grand nombre aux États-Unis et dans l'Ouest canadien comme notre M. Harper, croient, dur comme fer, que le Christ va revenir sur terre en Israël. Ces religieux full-croyants, ne vont pas endurer leur président de tourner le dos au pays qui va être l'hôte prochain du Christ en personne...logique.
    Fait que, M. Obama est le moins pire président que peuvent permettre nos voisins religieux américains qui sont passé, entre 2 générations, de juifs assassins du Christ à juifs, hôtes prochains du Christ.

  • Archives de Vigile Répondre

    2 juin 2010

    Israël est un pays souverain mais sous protectorat américain.
    Depuis toujours, chaque fois qu’Israël en a été capable, au gré des conjonctures internationales qui lui paraissaient favorables, chaque fois Israël a pris des initiatives et affirmer sa totale souveraineté.
    Cela coïncide généralement avec une baisse de popularité de la présidence américaine.
    La présidence d’Obama est devenue faible. Le président est incapable maintenant de s’aliéner l’électorat juif américain.
    Plein les bras avec les républicains sur la réforme de la santé et surtout plein les bras avec la catastrophe du Golfe.
    Obama est dans realpolitik. Pensiez-vous qu’il était un saint ?