L'arabe 3è langue la plus parlée au Québec, c'est fait

Bientôt pour vous accueillir dans les commerces de Montréal: bonjour/hi/allah akbar

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Tribune libre

Statistisques Canada révèle que l'usage de la langue arabe est en constante progression au Québec (30% d'augmentation en seulement 5 ans).


Après le français et l’anglais, c’est l’arabe qui est devenu la langue maternelle la plus courante à la maison.


L'arabe atteindra bientôt les 20% dans la région métropolitaine de Montréal comme langue la plus parlée. Imaginez dans certains quartiers à forte concentration. C'est déjà rendu à 1 personne sur 5!


Plus inquiétant encore, l'arabe vient de se hisser au 3è rang des langues les plus parlées au Québec et continue d'augmenter au rythme haletant de l'afflux migratoire désordonné et de la multiplication effrénée des naissances.


Peut-on envisager sereinement le jour où elle atteindra le second rang?


Les statisticiens du dimanche parmi nos lecteurs s'amuseront à faire des projections temporelles.




Cela signifie entre autres que lorsque vous vous promènerez dans certains secteurs de la métropole, dans certains quartiers périmétrés, ce sera la langue que vous entendrez parler tout autour de vous. Juste ce qu'il faut pour se sentir un tant soit peu encerclé, pour ne pas dire assiégé.


Vous ne serez pas loin de la vérité si vous avec la nette impression que ces gens tiennent à parler l'arabe le plus souvent qu'ils le peuvent, dans le plus de situations possibles, qu'ils se tiennent de préférence avec ceux qui la parlent, sur le principe condamnable du communautarisme cloisonné.


Vous vous demanderez alors: "mais me suis-je fait subitement téléporter à Alger, à Marrakech, à Tunis, suis-je perdu quelque part au Caire?"



Non seulement la langue, mais la tenue vestimentaire des gens, le costume intégral, les physionomies typiques, le voile ostensible, tout nous portera à croire qu'un peuple étranger s'est installé à demeure et en catimini dans le but de reproduire et perpétuer son mode de vie d'origine, pourtant considéré par une majorité de gens comme étant bien peu compatible avec le nôtre.




Des gens d'ailleurs vivront ici comme si c'était pareil à là-bas.


Comme là où on n'aimerait pas vivre.


Comme dans un type de société arriérée par rapport à la nôtre.


Dans ces endroits qui prennent de l'expansion démographique, l'espace public n'aura plus l'allure du Québec.


Et chaque sortie à l'extérieur nous le rappellera, partout où on ira. Malaise garanti.



Il y a même fort à parier qu'une demande d'accommodements officielle finira par être déposée pour que le mot Québec s'épelle désormais Qébec (sans u), comme dans Qatar et burqa.


Est-ce l'orientation que les Québécois souhaitent de tout cœur donner à leur société? Mais non, voyons!


Nous avons le droit de nous interroger sur cette dérive insidieuse et non désirée. Aux citoyens d'exiger de leurs élus qu'ils rectifient le tir en modifiant les critères d'admissibilité au pays pour qu'il y ait une meilleure compatibilité générale, une plus grande adéquation des mentalités entre les demandeurs et la population native.



Sinon, bientôt pour vous accueillir dans les commerces de Montréal: bonjour/hi/allah akbar.


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Réjean Labrie897 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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1 commentaire

  • Réjean Labrie Répondre

    8 janvier 2025

    8 ans plus tard après la publication de cet article annonciateur du pire, le pire continue de se répandre.


    Le pire en question, c'est le maintien de langues étrangères qui se renforcent et deviennent langue de communication au quotidien au Québec même, ce qui est mal.


    Un chroniqueur renommé constate avec dépit que Laval est devenue une ville arabe!


    Je le cite:


    On y parlait d’une famille libanaise installée à Laval depuis quelques mois. Je cite la mère: «On aime Laval. C’est comme si on était au Liban! Il y a plus d’Arabes que de Québécois ici.»


    La journaliste complète son propos: «Ce multiculturalisme est un atout pour son mari [...], qui ne maîtrise pas encore bien le français.» Avant de redonner la parole à la mère: «Ici, il est à l’aise dans sa langue.»


    Un premier hiver québécois | Quand la neige et le froid font sourire | La  Presse


    Immigration

    Première chose: pour cette dame, Laval n’est pas culturellement québécoise. On comprend par ailleurs qu’elle ne se contente pas d’une définition strictement juridique de ce qu’est un Québécois. Pour elle, un Québécois appartient à la majorité historique francophone. Et elle se réjouit que les Québécois soient en minorité. Cela lui permet de vivre dans sa communauté d’origine sans prendre le pli de son pays d’accueil.


    Elle veut des avantages de la société québécoise, sans subir les Québécois, qui, trop nombreux, l’encombreraient. J’ai envie d’écrire: heureux de savoir qu’on ne la dérange pas!


    Deuxième chose: cette situation fait en sorte que son mari n’a pas à parler français, que sa non-maîtrise de la langue nationale n’est pas un obstacle pour sa vie au quotidien. Retenons-en une leçon: malgré les grands discours gouvernementaux, le français n’est pas nécessaire au Québec. Pour que les étrangers se sentent chez eux chez nous, nous devons désormais nous sentir étrangers chez nous.


    Source: Laval, ville arabe


    Article de La Presse dont la journaliste diversitaire se réjouit de la situation


    (fin des citations)


    Rien que les Libanais établis à Laval dépassent les 20 000 habitants, assez pour former une ville entière rien qu'à eux. Et c'est sans parler de tous les autres arabes qui y sont incrustés.


    Source: Nombre de Libanais à Laval


    Témoignages de citoyens qui ne se sentent plus chez eux


    Lorsqu'on affirme qu'il faut éviter de laisser entrer au pays des ethnies dont la langue ne s'efface pas mais se maintient, on en a le plus récent exemple avec ces immigrés libanais dont le mari ne parle pas français et qui se réjouit de pouvoir vivre en arabe à Laval.


    Ces étrangers qui le restent se vantent de ne pas avoir à se mêler aux de souche et de pouvoir se tenir à l'écart de tout contact avec eux, ce qui leur fait pousser un soupir de soulagement.


    Il est clair que de tels immigrés ne méritent pas de vivre au Québec. Eux et leurs semblables doivent être relocalisé ailleurs hors-Québec ou renvoyés chez eux, le second choix étant de loin préférable.


    Leur nombre grandissant est une menace directe à la survie de notre nation. Ce type d'immigrants nuisibles doit être bloqué.