Samedi dernier, comme plusieurs personnes dans mon entourage, j’ai dû être confronté à une réalité que je ne croyais pas existante au Québec. Le racisme direz-vous? Non, pire, la montée d’une classe de pseudo-intellectuels qui prétendent être les défenseurs des minorités au Québec, qui font preuve eux-mêmes de discrimination encore plus forte que je n’aurais pu imaginer.
Pour résumer, des volontaires d’une équipe de football du Secondaire sont choisis pour aider le défilé de la Saint-Jean Baptiste dû à leur force physique et leur engouement. Jusque-là, aucune raison de crier au loup, ils participent au défilé et sont fiers de leur accomplissement.
Puis, le raz de marée d’imbécile commence à crier au racisme, car les participants seraient noirs et qu’ils pousseraient un chariot. Un pur hasard, non-organisé devient la cible de racisme?
N’est-ce pas un peu ironique de leur part de détruire l’estime de ces jeunes-là car ils auraient voulu voir des blancs pousser le chariot (même si je suis à 110% certain qu’ils auraient criés au racisme dans ce cas-ci aussi).
Le fait est que peut-importe comment le défilé aurait pu être, cette même classe de crétin aurait trouvé une façon de critiquer les québécois et les organisateurs. Ne vous trompez pas, ils ont toujours existés, c’est simplement que aujourd’hui Facebook permet à ces gens de socialiser au lieu d’être isolé dans leur sous-sol à trouver des choses qui les offusquent.
Pour présenter mon point, voici un des commentaires écrits par un de ces ‘’défenseurs de la justice social’’ :
Quant au racisme, il n'a pas besoin d'être volontaire. Le fait justement de ne pas se soucier des représentations symboliques et de ne pas s'excuser de la maladresse en invisibilisant les communautés, c'est du racisme aussi. C'est juste pas la mème sorte de racisme, celui-là, celui du laisser-aller et de l'orgueil mal placé quand on se fait dire qu'il faudrait faire plus attention et faire plus de place, on l'appelle systémique puisqu'il s'agit du fonctionnement "normal" du système lorsqu'il demeure en statu quo.
C’est littéralement des mots sortants tout droits d’un esprit brainwashé. Il ne comprenait probablement pas ce qu’il dit car ses mots ne veulent rien dire. Selon sa théorie, la symbolique est plus importante que la réalité et la rationalité. Il faudrait s’offusquer de se que les choses symbolisent (pour lui) au lieu de se qu’elles représentent vraiment.
Quand j’ai regardé le défilé Samedi dernier, j’ai vu une bande d’étudiants enjoués d’être là et qui participaient avec fierté à la Saint Jean Baptiste, eux, ils ne voient que la facade, une couleur de peau. Les vrais racistes ne sont pas ceux que l’on pense et cet événement vient de le prouver. Qui aurait cru que ceux qui défendent autant les ethnies (tout en étant des québécois francophones pur laine) seraient eux-mêmes les racistes dans l’équation? Autant désolant que ça puisse être, ne perdez pas espoir, ce n’est qu’une minorité qui parle fort.
J’aime le Québec et jamais je ne laisserai ces gens salir notre réputation, et vous aussi, devriez commencer à démontrer un peu d’amour pour notre Pays du Québec. Arrêtons de nous flageller en traitant notre patrie comme étant raciste ou xénophobe.
-Un Québécois plus que tanné de voir sa mère patrie se faire insulter par des globalistes.
L'hypocrisie des détracteurs du défilé de la Saint-Jean
Ou comment ils ont réussis à salir l'image d'une belle célébration
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2 commentaires
Archives de Vigile Répondre
27 juin 2017Délirant que des médias officiels poursuivent ce genre de délire.
S'il y avait quatre jeunes blancs est-ce cela aurait représenté l'intégration ? Ben non, alors sortons et crions au racisme, car 4 jeunes de minorité visible, alors là c'est du racisme!
Avec ce genre de ''fausses nouvelles'' on dirait que certains préparent le terrain pour la Commission du délire libéral sur le racisme qui sera dans les faits une structure permettant d'alimenter abondamment les médias en info ''dégoulinant'' la victimisation et promettant un futur sans problème avec les libéraux... lors des prochaine élection ...alléluia!
Marc Huber Répondre
27 juin 2017Nous vivons l'ère du citoyen 2.0. Ce type est souvent manipulé par les médias sociaux et devient parfois bête lorsqu'il constate qu'il est accompagné d'un nombre imposant de gens semblables à lui. Plus besoin de réfléchir. Le nombre suffit à acclamer une idée. Il y a 200 ans, ce même individus pendait des innocents sans jugement, devant une foule unanime et conne. Ce qui surprend le plus est qu'un symbole édifiant de ce racisme s'étend actuellement sur le Québec, sans que personne ne réagisse. Il s'agit de la famille Coors qui est honorée par la Coors Light de Molson. Coors c'est les souvenirs d'accusations de racismes, de confrontations contre les droits des travailleurs, le refus de toutes autre langue que l'anglais et des soutiens à des groupes de fondamentalistes religieux qui ont exercés de la pression sur l'Église pour que le député du Bloc, Gravel, choisisse entre la prêtrise et la politique. De l'extrême droite mur à mur, dont la mémoire rejaillit puissamment en cette année de 375e de Montréal et le 100e du Canada par des commandites de bière, via les Francofolie, plusieurs festivals et fêtes de la St-jean, dont St-Eustache, ville des patriotes. Qui en parle? C'est le silence. Pourquoi? La lutte contre le Québec et tout ce qu'il a construit avec la révolution tranquille se fait sans conséquence. On accepte maintenant notre état de colonisé, avec ce que cela engendre comme coût économique et sociale. Et pour éviter de se le faire rappeler. on vote pour des gouvernements qui jouent le rôle d'un pater punissant et récompensant. Et si un des petits se révolte, Popa le taxe de raciste, d'extrémiste de droite, de souverainistes... devant la grande famille d'assiégés. Gentil gentil le petit. On lui offre un verre de Coors Light pour le féliciter...