La décadence esclavagiste

Tribune libre

En théorie le capitalisme prône la libre entreprise, le libre-échange entre individu et la liberté individuelle. Mais la réalité est tout autre, il est basé sur un aspect négatif de l’homme, la prétention. Et n’est que la suite évolutive du modèle esclavagiste. Créée par la caste petite bourgeoise jalouse et prétentieuse, elle exploite les faiblesses naturelles des humains, tellement qu’aujourd’hui, même pour le prolétariat, il est normal de considérer que le temps des uns à plus de valeur que celui de l’autre. Qui est la base de l’esclavagisme, les fouets ne sont désormais plus en cuir, mais en dollars et les déportations sont plus civilisés :
La ministre de l'Emploi, Fatima Bañez, parle d'une « fuite de talent sans précédent ».

http://archives.lesechos.fr/archives/2012/LesEchos/21149-074-ECH.htm
Je jurerais que cette réaction devait être la même (facteur humain en moins) qu’un chef de village africain, après le passage des négriers. Constatant toutes les forces les plus vigoureuses, quitter le village, mais aujourd’hui nous sommes civilisés, plus besoin d’autant de gros bras mais de cerveaux. Phénomène observé aussi à l’époque du colonialisme.
Pourtant, il existe une constante universelle sur laquelle devrait reposer les fondements de notre société : ‘tout le monde à une seule vie à vivre et possède 24 heures dans une journée’, qu’on aurait dû voir apparaître avec l’abolition de l’esclavage. Le déséquilibre salarial entre les métiers, public privé et entre les nations, exploite obligatoirement l’envie et la jalousie et le système de taxation ne fait qu’entretenir le mépris des uns envers les autres à cause de cette jalousie. Au détriment d’une solidarité universelle, nécessaire aujourd’hui plus que jamais.
Phénomène voulu par la classe prétentieuse, qui à la Révolution française (solidarité universelle des grandes villes et villages du territoire Français), ‘l’épisode de la grande peur’, la totalité de la bourgeoisie incluant les religions, comprit la puissance d’un prolétariat libre de tout dogme, unis et solidaires. Et marqua par son sceau lors de l’écriture de la constitution, la continuité du modèle esclavagiste de leur caste, sur le peuple. Comme démontrer par l’ancien prêtre Jacques Roux, membres du club des Cordeliers, gardiens de la déclaration des droits de l’homme de 1789, lors de sa présentation aux législateurs le 21 juin 1793 :
«Députés de la Montagne, non, non, vous ne laisserez pas votre ouvrage imparfait ; vous fonderez les bases de la prospérité publique ; vous consacrerez les principes généraux et répressifs de l’agiotage et des accaparements ; vous ne donnerez pas à vos successeurs l’exemple terrible de la barbarie des hommes puissants sur le faible, du riche sur le pauvre ; vous ne terminerez pas enfin votre carrière avec ignominie.»
http://unsansculotte.wordpress.com/2013/02/08/manifeste-des-enrages/
«Une société politique est fondée sous ce nom à Paris le 27 avril 1790 pour défendre et développer les principes des droits de l'homme. Elle est plus connue sous l'appellation de club des Cordeliers, à cause de l'ancien couvent où elle tenait ses réunions à Paris»
http://dictionnaire.sensagent.com/Déclaration%20des%20droits%20de%20l'homme%20et%20du%20citoyen%20de%201789/fr-fr/
Pour assurer leur emprise sur la population, la bourgeoisie sociale et ecclésiastique, toujours traumatisé par la puissance du prolétariat. Constata que la science de manipulation des masses développer par l’église (croisades, inquisitions) ne suffisait plus. Le concept du ciel et de l’enfer, étant trop abstrait, contester par certains philosophes des lumières, élaborait un nouveau dogme dominateur, plus palpable pour le commun des mortels. Permis par l’imprimerie, issue d’un modèle utiliser par l’Église catholique romaine (Jacques Roux était prêtre, mais rejetais la philosophie adoptée par les dirigeants de l’église dont le Pape ce qui lui valut l’excommunions), utilisant un domaine hors de portée de compréhension du prolétariat, le droit public. Et s’est sur cette exploitation de l’ignorance prolétarienne, qu’est la base de notre société moderne.
«Mais, ajoute-t-on, on tire de l’étranger bien des articles, et il ne veut en paiement que de l’argent. Cela est faux ; le commerce s’est presque toujours fait par échange de marchandise contre marchandise, et du papier contre papier ; souvent même on a préféré des effets au numéraire. Les espèces métalliques qui circulent en Europe ne suffiraient pas, pour acquitter la cent-millième partie des billets qui sont en émission. Ainsi, il est clair comme le jour, que les agioteurs et les banquiers ne discréditent les assignats que pour vendre plus cher leur argent, pour trouver occasion de faire impunément le monopole et de trafiquer dan le comptoir du sang des patriotes, qu’ils brûlent de verser.»
http://unsansculotte.wordpress.com/2013/02/08/manifeste-des-enrages/
«c'est seulement au XVIIIe siècle, que le concept d'économie et ce qui va avec, sont inventés. Il s'appuie notamment sur le livre de Clavero, La grâce du don. Anthropologie catholique de l'économie moderne, pour montrer que ni le droit, ni l'économie, n'existent en tant que tels au Moyen âge»
«Il n’y a d’ailleurs pas de mot au Moyen Age pour désigner « l’argent » : quand on parle d’« argent » on parle de « métal précieux ». Si, comme je l’ai montré dans plusieurs de mes livres, la notion de « travail » apparaît à cette époque, celle d’argent non. Le premier grand livre où il est vraiment question d’argent au sens moderne du terme est La richesse des nations d’Adam Smith en 1776.»
http://palim-psao.over-blog.fr/article-il-n-y-a-pas-d-argent-au-moyen-age-a-propos-des-theses-de-jacques-le-goff-115794637.html
Par Jean Varlet, électeur de 1792, et citoyen de la Section des Droits de l’Homme rue Tiron N° 6.
«En mille sept cent quatre-vingt-neuf, engourdis par les habitudes d’un régime oppresseur, nous n’avions pas de grandes connaissances en droit public ; nous n’éprouvions qu’un sentiment, celui de nos maux, il nous porta à rédiger des cahiers, qui furent les préliminaires de la révolution française, donnèrent la conception à la liberté. Nos doléances, nos plaintes firent connaître les tyrannies innombrables, qui censuraient, absorbaient, écrasaient la partie du Peuple la plus respectable, celle des citoyens laborieux. Le remède à toutes les turpitudes d’un régime odieux fut l’immortelle proclamation de nos droits : et nous ferions moins aujourd’hui,»
http://unsansculotte.wordpress.com/2013/02/11/varlet-sade-et-les-enrages-le-mandat-imperatif-et-la-democratie-directe-1792/
À noter que M. Varlet (membres des Cordeliers) était contre le modèle de démocratie représentative et prônait la démocratie directe. Si la première déclaration des droits de l’homme est un portrait de la conception à la liberté, les subséquentes(1793,1795), sont quand à elles, les jalons fixés par la bourgeoisie de ce nouveau dogme manipulateur, encore plus vicieux et sournois que le précédent. Mais déjà en 1789, l’influence de certain pour cette philosophie se présentait :
«Le texte a été voté article par article du 20 au 26 août 1789 par l'Assemblée constituante. La discussion s'interrompt le 26 août après l'adoption de l'article 17 relatif au droit de propriété, afin de laisser la place à la discussion des articles de la Constitution elle-même[A 1]. Un certain nombre de décrets pris postérieurement par l'Assemblée, en particulier celui du 3 octobre 1789 permettant aux particuliers et aux sociétés de prêter de l'argent avec intérêt, seront ratifiés le soir du lundi 5 octobre 1789 par Louis XVI à Versailles, sur l’exigence de l’Assemblée nationale qui utilisa la pression d’une foule vindicative venue de Paris, initialement pour d’autres revendications.»
http://dictionnaire.sensagent.com/Déclaration%20des%20droits%20de%20l'homme%20et%20du%20citoyen%20de%201789/fr-fr/
Et déjà l’Assemblée nationale, avait plus d’un milliards de bonnes raisons pour être attentive envers certain interlocuteur. Bien qu’il n’en contrôle pas la finalité, celui qui confie une tâche peu d’ores et déjà s’attendre à quelque chose, les grandes orientations. Ainsi le législateur et l’église désignaient Saint-Just et Hérault de Séchelles pour la nouvelle mouture des droits de l’homme de 1793,
«Ces droits font partie de ce que l'on appelle la deuxième génération des droits de l'Homme, des droits économiques et sociaux. Ces droits, cette égalité naturelle, supposent une intervention accrue de l'État, ce qui est en accord avec le but qu'il se fixe à l'article premier : "le bonheur commun".»
http://dictionnaire.sensagent.com/Déclaration%20des%20droits%20de%20l'homme%20et%20du%20citoyen%20de%201793/fr-fr/
Et déjà une différence plus que significative, est opérer au sein même de la déclaration des droits de l’homme. Une simple comparaison des articles 14 et 15 de celle de 1789 et l’article 20 de celle de 1793 établit la relation maître-esclave au profit de l’oligarchie :
1789 Article XIV
«Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.»

1789 Article XV
«La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.»

http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/dudh/1789.asp

1793 Article 20 (de l'impôt)
«Nulle contribution ne peut être établie que pour l’utilité générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir à l’établissement des contributions, d’en surveiller l’emploi, et de s’en faire rendre compte».
[http://fr.wikisource.org/wiki/D%C3%A9claration_des_Droits_de_l%27Homme_et_du_Citoyen_de_1793-
>http://fr.wikisource.org/wiki/D%C3%A9claration_des_Droits_de_l%27Homme_et_du_Citoyen_de_1793]
Des citoyens malhabiles avec la notion de droit public, et non stupide. Écrivent deux articles distincts en 1789, démontrant clairement une différence entre la contribution publique et agent public. Réuni en 1793 dans un seul article (20) adressé uniquement à l’impôt, il est évident que pour certaines personnes l’idée de rendre des comptes à la société, n’était pas incluse dans leur conception de la liberté permise au prolétariat. Cette peur viscérale de l’oligarchie envers le prolétariat est également visible chez les pères fondateurs américains ;
«Insister sur la communalité des 99%, déclarer un profond conflit d’intérêt avec le 1%, c’est faire exactement ce que tous les gouvernements des Etats-Unis et les élites richissimes qui leurs sont alliées, des pères fondateurs à aujourd’hui, ont essayé d’empêcher. Madison avait peur d’une “faction majoritaire” et espérait que la nouvelle constitution la contrôlerait. Lui et ses collègues commencèrent le préambule avec les mots “Nous, le peuple…” prétendant que le nouveau gouvernement représenterait tout le monde et espérant que ce mythe, accepté pour fait, assurerait la “tranquillité intérieure”.»
http://www.alterinfo.net/Illusion-democratique-Ce-que-nous-enseigne-l-histoire-Howard-Zinn_a92724.html
James Madison (16 mars 1751 - 28 juin 1836) est le quatrième président des États-Unis de 1809 à 1817.
«Il est considéré comme l’un des principaux auteurs de la Constitution et en particulier de l’équilibre entre les pouvoirs législatif, judiciaire et exécutif. Il a succédé à Thomas Jefferson en tant que ministre des affaires étrangères avant d’être élu à la présidence. Il fut proclamé citoyen français par l’Assemblée nationale législative le 26 août 1792.»
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Madison
Madison et Jefferson étaient tous les deux de l’état de virginie, part la suite en 1862, lors de la guerre de Sécession, la Virginie fait partie des États sudistes esclavagistes, hostiles au président Lincoln, qui décident de se séparer de l'Union. Richmond devient la capitale des États confédérés.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Virginie
L’aristocratie, les complices de la noblesse déchus, profitant de l’ignorance prolétarienne, rétablissait son autorité par le biais de l’économie et du droit. Toujours avec cette crainte viscérale envers le peuple, incluait dès lors leur emprise sur les sciences. L’avènement de l’imprimerie et de l’arme à feu, plus perfectionner à cette époque, changeait considérablement le visage de la civilisation. Ils décidèrent donc de s’assurer le contrôle intellectuel, toujours par le droit public en la création des brevets :
«Les systèmes des brevets actuels viennent de la période révolutionnaire : les premières lois concernant des brevets d'inventions proprement dits datent de 1790 pour les États-Unis (loi du 17 août 1790 adoptée conformément aux principes posés par la constitution de 1787) et de 1791 pour la France (loi du 7 janvier 1791 adoptée par l'assemblée révolutionnaire). Les systèmes arbitraires précédents de privilèges et monopoles sont abolis. Influence de Franklin»
http://fr.wikipedia.org/wiki/Brevet
Loin de s’imaginer les répercussions éventuelles, la classe dirigeante élaborait ce système qui procurait un certain équilibre au sein de la société. Mais la nature n’a pas la même vision, il a suffi de deux siècles pour remettre en surface les problèmes soulever par Jacques Roux de l’agiotage, la spéculation n’est pas réservée exclusivement qu’a la bourse, mais l’on spécule aussi entre les corps de métier, entre les individus par notre prétention esclavagiste que mon temps est plus précieux que le vôtre. Et l’accaparement, calquant simplement leur modèle décadent, sur tout le prolétariat déviant l’esprit de la révolution, de l’essence même de son fondement.
Le nouveau dogme économique instaurer à tellement bien fonctionner dans le cœur du prolétariat. Que désormais la conception à la liberté prolétarienne se résume en l’économie, comme le témoigne l'épisode récent de l’Islande que je résumerai ainsi. Après avoir botté le cul de la finance, le peuple Islandais qui exigeait et participait à l’élaboration d’une nouvelle constitution, fière de leur victoire sur l’économie, se contrefout de ce qu’advient de leur nouvelle constitution.
http://centpapiers.com/putsch-la-constitution-islandaise-redigee-par-le-peuple-a-ete-assassinee-par-le-parlement/
Avec une telle usurpation dogmatique des valeurs fondamentales, liberté, fraternité, égalité, êtes-vous étonné de la dégradation de moralité qui sévit au sein de notre société ? Lorsque nous perdons de vue tout le bénédicité inclus dans le simple geste d’ouvrir le robinet, boire un verre d’eau qui ne nous rend pas malade désormais permis par notre évolution.
Que notre culte dogmatique dominateur du veau d’or économique nous pousse à acheter cette même eau auprès des multinationales au détriment de la véritable vocation du pouvoir politique, qui nous à apporter l’eau du robinet. Cette attitude dégradante nous mène tout droit vers le chaos, nous rapprochant chaque jour de plus en plus vers une génération qui maudira les précédentes. Car à chaque fois qu’il commettra le crime de boire un verre d’eau, il prendra le risque de vomir ces tripes, fier héritage de la société immoral actuel, laissant derrière elle les ravages d’une industrialisation en ruine, dans l’eau avec la radioactivité des centrales nucléaires négligées, les produits chimiques mal entreposer, les puits de pétrole dévastateur, seulement pour le compte de l’accaparement et de l’agiotage maintenant généralisé.
Malgré notre société moderne, le droit demeure sans contredit encore un mystère pour le prolétariat. Mais avec un tel dogme, il me semble n'avoir guère mieux évolué. Si l’aristocratie a réussi à assurer leur pouvoir héréditaire par le biais de la création des personnes du droit, donnant corps juridique à leur simple idée, les rendant ainsi supérieur à l’humain par leur état immortel. La création de l’union européenne franchit une étape encore plus dégradante pour la société. Et le fait que cette nouvelle mouture du droit, dans le contexte dogmatique économique est tout simplement ridicule et n’a aucune logique. Il n’a suffi que d’une vingtaine d’années à l’évolution pour mettre en évidence l’égarement de nos élites et la déconfiture idéologique de leur caste, sonnant la fin inévitable de notre civilisation moderne, arborant fièrement les armoiries ‘ égoïste, imbécile et irrationnel’.
Existe-t-il une voie d’évitement ? Je ne peux que le souhaiter, certains penseurs tels que Alain Soral, Noam Chomsky, Foster Gamble, Jack Maillard, Pierre JC Allard, Mussolini, Lénine et d’autres, en trace quelques lignes. Étudier leur idéologie dans un but unique, un peu comme les prémisses de la proclamation des droits de l’homme de 1789 me semblent plausibles, mais c’est la tâche la plus facile à accomplir. Car si à l’époque seul 1% ne désirait pas perdre leurs privilèges décadents, aujourd’hui seul 1% n’est pas lobotomisé par le dogme esclavagiste économique et le rapport du plus fort sur le plus faible, se fait sentir entre l’homme et la planète et non seulement entre les hommes.
Si nous y parvenons, il faudra convaincre les 99% qui n’en non même pas conscience, du bien-fondé d’un tel exercice et de la nécessité de mettre en application les directives, afin de redonner au pouvoir politique sa véritable nature. Même les bons architectes sociétaires, devant la lourdeur de la tâche et la non-coopération prolétarienne semble avoir lancé la serviette. Laissant leur plus beau coq de basse-cour, se montrer les dents un peu partout sur la planète.
«Il est presque certain qu’aucun dirigeant de ce monde ne la souhaite vraiment. Ils ont, comme tout le monde, peut-être même plus que tout le monde, conscience de ce que cela représente. On peut même croire fortement qu’ils feront tout pour l’éviter».
http://avicennesy.wordpress.com/2013/07/19/tout-le-monde-se-prepare-en-faisant-des-manoeuvres/
Certaines personnes sont plus sensibles, au différent phénomène qui menacent. Elles sentent de plus en plus, le poids de l’histoire. Qui telle l’épée de Damoclès plane sur les sociétés occidentales et elle n’a d’égal, que la puissance de ceux sur qui elle s’abattra. Si comme le prétend M. Kessinger, ce que l’on connaît de l’armement des États-Unis n’est qu’une bagatelle, comparativement à ce qu’ils possèdent réellement, ça n'a rien de rassurant. Après tout, peut-être que l’histoire n’est qu’une série digne de marche ou crève, d’après les récits de Platon sur L’Atlantide.
«N’oubliez pas, les États-Unis ont les meilleures armes, nous avons des choses qu’aucune autre nation n’a, et nous introduirons ces armes quand le moment sera venu. “»
http://www.vigile.net/Si-vous-ne-pouvez-pas-entendre-les
Marx à raison, il y a bien une guerre de classe qui sévit entre les humains. Je n’ai pas étudié l’ensemble de l’œuvre de Marx, mais là où je mets un bémol est sur la notion de guerre. Y a-t-il obligatoirement une guerre, ou cela est simplement l’expression de notre orgueil collectif, de notre incapacité à se dire que nous avons besoin les uns des autres. Car après tout, pour qu’il y ait une guerre, les deux partis doivent être consentante sur le litige qui les oppose, et tous nous souhaitons l’émancipation de notre société. Alors s’il n’y a pas de litige, pourquoi la guerre? Bonne journée!
[Alain Soral : http://www.egaliteetreconciliation.fr/_Alain-Soral_.html->Alain Soral : http://www.egaliteetreconciliation.fr/_Alain-Soral_.html]
[Noam Chomsky: http://chomsky.info/->Noam Chomsky: http://chomsky.info/]
[Foster Gamble : http://www.thrivemovement.com/foster_gamble_blog->Foster Gamble : http://www.thrivemovement.com/foster_gamble_blog]
[Jack Maillard : http://www.critiqueduliberalisme.com/->Jack Maillard : http://www.critiqueduliberalisme.com/]
[Pierre JC Allard: http://nouvellesociete.wordpress.com/->Pierre JC Allard: http://nouvellesociete.wordpress.com/]


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3 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    30 juillet 2013

    Il faut séparer les points pour mieux cerner une discussion.
    J'aimerais discuter plus sur la religion, les guildes et les corps sociaux. Mais je n'ai pas grand temps présentement.
    Je suis en train de visionner un doc de Niall Ferguson sur Youtube.
    The_Ascent_of_Money

    Intéressant, mais Ferguson a fait l'apologie de la maison Rothschild et de l'empire britannique. Il était pour la guerre en Iraq. Et Kissinger lui a ouvert ses archives.
    http://en.wikipedia.org/wiki/Niall_Ferguson
    Donc, restez critique et sceptique en le visionnant.

  • Archives de Vigile Répondre

    30 juillet 2013

    Bonjour M. Dery;
    Suite à votre commentaire et à la relecture de mon texte, j’avoue très humblement qu’il n’est pas clair, trop lourd et trop de points s’entrelacent et ne sont pas assez développés. Ce qui m’incite à mettre en veilleuse les autres articles en préparation, afin d’élaborer plus celui-ci par une série d’articles court, moins consistant.
    Vous faites référence aux guildes et associations, qui ont été tellement égoïstement manipuler et discriminatoires envers le peuple, que le tribunal révolutionnaire en France, les ont abolis en même temps que les privilèges accorder aux seigneurs. Avec l’adoption de la loi Dallarde suite de la grande noirceur.
    J’espère que cela vous convient, merci pour votre commentaire très pertinent. Des textes simples sans trop de références qui donnent l’impression de ‘cliché’, une idéologie précise sans trop de flafla.
    Au plaisir de vous lire!

  • Archives de Vigile Répondre

    30 juillet 2013

    Je pensais votre texte prometteur.
    Mais je n'ai pas compris où vous vouliez en venir.
    Il y a trop de confusion entre les participes passés et les infinitifs, et, entre la préposition "à" et l'auxiliaire "a".
    Vous cherchez les grands mots et les grosses épithètes sur d'autres blogues. Vous les rassemblez, mais que voulez-vous exprimer de votre cru ?
    Un résumé succinct de votre pensée, pouvez-vous l'inscrire dans un commentaire ?
    Karl Marx n'a rien découvert sur la lutte des classes.
    Bien avant les syndicats, les corps de métiers étaient représentés par des guildes. Et ces guildes pouvaient négocier salaires et conditions de travail.
    Ce sont les guildes qui ont mené la guerre contre l'automatisation de l'industrie textile dans l'Angleterre post-Napoléonienne, (Révolte des Luddites). Les troubles chartistes suivront à cause des Lois du Blé.