Peu importe le chef qui sera choisi, le Parti québécois doit entreprendre une réforme en profondeur, sinon il risque l’effondrement, comme ce fut le cas pour l’Union nationale il y a 50 ans.
C’est ce que soutient l’ancien candidat à la direction du PQ Pierre Céré en entrevue à La Presse canadienne.
Selon M. Céré, « c’est le véhicule qu’il faut rafistoler de fond en comble et non son chauffeur ».
Il propose une « refondation » du parti qui, selon lui, est arrivé à la croisée des chemins. S’il ne se transforme pas, ajoute-t-il, il est appelé à s’étioler voire à s’effondrer.
Pierre Céré affirme que le PQ doit se moderniser, revoir son programme et ses structures, et repenser ses liens avec la société civile et son rapport avec l’immigration, par exemple.
Il rappelle les propos de l’ancien premier ministre Jacques Parizeau selon lesquels le Parti québécois avait « perdu son âme ».
M. Céré demeure néanmoins positif : selon lui, le parti a la capacité de faire cette grande introspection.
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PARTI QUÉBÉCOIS
La formation est à la croisée des chemins, selon Pierre Céré
L’ancien candidat à la direction du PQ croit qu’une profonde réforme s’impose
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