Chronique par Bruno Deshaies
20 mars 2014
L’entrée en scène de M. Péladeau dans le giron péquiste vient de donner une bouffée d’air frais à la cause de l’indépendance nationale du Québec. L’objectif du statut d’État souverain pour le Québec est la plus grande politique publique que les Québécois doivent se fixer. Car c’est une politique publique « nationale ».
Les indépendantistes doivent convenir maintenant que la société québécoise est mûre pour réaliser cet objectif. Au sujet de la souveraineté, deux questions peuvent se poser : Par où faut-il commencer ? ou Quel chemin faut-il prendre? Est-ce que ces deux questions sont similaires ? À mon humble avis, elles sont différentes tant sur la forme que sur le fond.
À la question, «Par où faut-il commencer?», il s’agit bien de convenir de ce qu’il faut établir clairement au plan politique. Essentiellement, il s’agit de fonder le Québec indépendant. Le choix est fait. La décision qui en découle n’est plus à la croisée des chemins. L’action doit suivre la réalisation du choix public politique et collectif.
À la seconde question : «Quel chemin faut-il prendre?», celle-ci n’a pas la même signification. Cette question est marquée par un doute. Autrement dit, elle devient: «Où voudrait-on aller?» Le choix n’est pas fait. Même que, non seulement, le but est absent. On ne voit pas les moyens qu’il faudrait prendre. Ici, la question des moyens embrouille la suite du cheminement critique à suivre pour réaliser l’indépendance du Québec. Le vieux débat entre moyens et fin brouille les cartes. Identifier les moyens comme étant la fin est absurde (ou de moins en moins simple qu’on ne le pense ordinairement). Une chose est certaine: il est préférable de ne pas mettre la charrue avant les bœufs.
Importance de comprendre la dialectique «des fins-moyens et des moyens-fins»
Entre fin et moyen, il y a une distance aussi grande que celle qu’il y a de la coupe aux lèvres, mais en plus, il y a une différence de nature qui est la finalité de l’action. Sur cette question, Jean-Paul Sartre a exprimé d’une manière habile la dialectique «des fins-moyens et des moyens-fins » en des termes subtils. Sartre dixit: «Dans la vie pratique, chaque moyen est susceptible d’être pris pour fin, dès lors qu’on le recherche, et chaque fin se révèle moyen d’atteindre une autre fin.» Il ajoute à la dernière partie du livre cette mise au point : «Ainsi ce n’est pas seulement en théorie mais dans chaque cas concret que nous devons méditer sur le problème moderne de la fin et des moyens.» Dans Qu’est-ce que la littérature ? [Situation II], Paris, Gallimard, 1948/1964, 1985 (coll. « Folio essais »), p. 85 et 348 (coll. « Idées »).
La fin est ce qu’on doit atteindre, cette chose à réaliser. Pour les indépendantistes, la FIN est impérativement l’indépendance. Cette FIN, une fois acquise, devient l’instrument pour agir par soi collectivement. Sur cette fin obtenue se greffe tous les moyens dont une nation a besoin pour vivre libre collectivement. Ou, si l’on veut − en pesant tous les mots −, «Bâtir un pays» (synon. : créer, constituer, instaurer, instituer, former». Ainsi, l’espace public libéré de cette contradiction originelle peut enfin ouvrir les portes aux visions politiques, sociales, économiques et culturelles du futur. L’inverse est une aberration. Car, si l’indépendance est de l’ordre des moyens, il n’y a aucun doute que dans une structure fédérale, il existe de nombreux moyens qu’on peut trouver ou inventer pour répondre à certaines insatisfactions au plan SOCIAL, mais non au plan NATIONAL pour la société québécoise. À cet égard, l’imagination des défenseurs du fédéralisme est fabuleuse. Dans cette lutte nationale, les Québécois doivent déployer autant d’imagination envers l’indépendance que peuvent en garantir selon leur idéologie les adversaires fédéralistes farouchement anti-indépendantistes. À cet égard, la lecture de la Déclaration d’Indépendance américaine serait exemplaire pour tous les québécois.
«L’annexion est tout le contraire de l’indépendance.»
Elle marque une limitation essentielle sur l’idée même d’indépendance, car le processus d’annexion produit des effets à court, moyen et long terme qui sont, par ailleurs, souvent imperceptibles. Par exemple, en ce qui concerne l’assimilation, Maurice Séguin expose les conséquences du « processus en cours » et du « processus terminé ».
En premier lieu, il constate :
La cause de l’assimilation est l’annexion prolongée…
Puis, il s’explique :
Être annexé, agir comme individus dans les cadres d’une autre nation… amène la destruction finale, totale de l’agir (par soi) collectif, en politique, en économique, au culturel…
(Maurice Séguin, Les Normes, Chapitre troisième, division 11.7.)
Déjà dans son cours de synthèse, en 1958-1959, il s’était exprimé en ces termes :
« Jamais un peuple ne disparaît sans avoir été mis dans une "fédération". »
Toutefois, le passage d’une situation coloniale ou d’un état de minorité annexée peut faire un bond qualitatif après des transformations historiques qui peuvent dépendre et des hommes et des circonstances. L’exemple de la naissance du capitalisme est de cette nature. La volonté des hommes ne peut pas tout faire ; en contrepartie, les circonstances ou les événements ne peuvent produire à eux seuls des états nouveaux. Toutefois, l’action humaine dans l’histoire peut créer le mouvement de changement accéléré. Pour en arriver au climax du changement, les individus qui veulent les transformations doivent s’unir et s’entendre clairement sur l’objectif commun. On ne peut privilégier la stratégie ou la tactique sans avoir une fin commune acceptée et désirée par une majorité.
Monsieur Richard Le Hir a raison d’affirmer : «L’accession à l’indépendance ne débute pas par un référendum, elle se termine par un référendum…». (Dans «Un seul enjeu : le contrôle de notre État. Pour en finir avec l’obsession référendaire.» (18 mars 2014) Par conséquent, avant le référendum, les souverainistes ont du gros travail en profondeur à accomplir auprès de la population québécoise. Les souverainistes sont loin d’avoir franchi cette barrière en ce moment.
«…besoin urgent d’une politique publique «nationale» claire et limpide.»
L’État souverain du Québec que les Québécois veulent obtenir, ils devront le concevoir dans une politique publique «nationale» claire et limpide. Or, au niveau des concepts, les souverainistes ont un travail colossal à entreprendre. L’optique indépendantiste est à développer dans le cerveau des Québécois. Pour cela, il faut des mots justes. Par exemple, prendre conscience que le peuple québécois constitue une nation annexée n’est pas nécessairement compris par une majorité de Québécois. Une nation annexée subit le remplacement par un autre État ou une autre nation plus forte et mieux nantie qui jouit de tous les pouvoirs d’un État souverain. Ce sont justement ces pouvoirs que le Québec souhaite posséder collectivement comme nation. C’est la nature même du concept de nation au sens intégral. Donc, pas seulement culturel, juridique, sociologique ou identitaire seulement.
Le leitmotiv Cap sur l’indépendance est une très belle évocation du rapport entre «fin et moyen». Toutefois, il faut le comprendre à partir de la nature de la fin visée. Le cheminement à suivre doit être clair à l’esprit. Car établir une politique publique « nationale » d’indépendance du Québec exclut les tergiversations sur la fin. Ce n’est pas certain avec tout le rapaillage du groupement hétéroclite de «souverainistes» où la cohérence du discours indépendantiste et la cohésion entre les groupes est affreusement disparate.
Dixit Lise Payette : «…il faut unir nos forces…»
Sur ce point, le message récent de madame Lise Payette mérite notre attention. Voici ce qu’elle exprime autour de l’engagement politique de M. Péladeau. L’objectif qui motive l’engagement des citoyens et citoyennes qui en font partie, quelle que soit l’époque, est le désir profond d’un pays à nous, d’une identité claire et nette. Ça s’appelle la souveraineté. C’est ce qui tient l’édifice ensemble.
En revanche, pour faire le poids dans la balance d’un référendum, pour éventuellement y arriver en rangs serrés, il faut unir nos forces qu’on soit de gauche, de droite, du centre ou de n’importe où. Nous n’arriverons à rien en petits groupes, même s’ils sont composés de bonnes personnes, pleines de bonnes intentions. C’est ce qu’avait compris Pierre Bourgault, il y a longtemps, en sabordant son propre parti pour se joindre au PQ sous la bannière de René Lévesque. (Lise Payette, « PKP hors de sa zone de confort. » Dans Le Devoir, vendredi 14 mars 2014.
Très bien ! Mais sur quoi ? J’ajouterais qu’il faut être conscient d’avoir la même idée sur l’indépendance nationale du Québec dotée d’un État souverain et d’une « vraie souveraineté ». C’est la fin ultime
Les souverainistes doivent mettre fin à leur obsession sinon à leur hystérie référendaire comme si le moyen pouvait se substituer à l’objet de la fin.
Il faudra véritablement parler de la nature de l’indépendance en soi et des avantages aux plans politique, économique et culturel. Pour cela, il nous faut un gouvernement à soi, un gouvernement qui nous est propre, notre gouvernement national avec le contrôle de notre État souverain. Bref, accepter de se gouverner soi-même, collectivement, à l’interne et à l’externe. Un projet ambitieux, légitime, intelligent et possible.http://blogscienceshumaines.blogspot.ca/2014/03/par-ou-faut-il-commencer.html
Il faut y croire et y travailler quotidiennement avant, pendant et après les campagnes électorales. C’est la fin qui compte. Finalement, les indépendantistes pourront réaliser leur rêve, c’est-à-dire se gouverner eux-mêmes au plan politique. Ce sera en grand atout pour parvenir à mieux contrôler leur propre économie, leur culture et leur développement social et collectif.
M. Péladeau a quitté « sa zone de confort » en se lançant dans la mêlée politique dans un but précis : fonder l’État souverain au service des Québécois. Maintenant, il découvre que le chemin à parcourir exige qu’il apprenne à vivre dans l’univers politique, parlementaire et partisan. Par ailleurs, il est conscient que l’objet du national est différent de celui du social. Il le sent et il le sait. Il aura, en plus, à le faire ressentir par une majorité de Québécois. Il faudra du courage, de la patience et de l’abnégation. Mais en plus, il ne saura se passer de l’histoire des « Canadiens » des origines à nos jours et des Québécois qu’ils sont devenus.
Sur le plan démocratique, le lieu commun de l’indépendance nationale du Québec doit devenir un acquis dans le cerveau d’une majorité de Québécois. Ce lieu commun doit être saisi comme un bien commun pour une majorité de la population du Québec. Car le vivre ensemble en dépend; les intérêts supérieurs du Québec en dépendent ; l’agir (par soi) avec les autres sociétés en dépend; et, fondamentalement, la vie collective distincte, vie autonome, en dépend intrinsèquement. A contrario : «La privation, le remplacement de l’agir (par soi) équivalent à une oppression essentielle.» (Maurice Séguin, Les Normes, Chapitre premier, sections 1.2.3.2 et 1.2.3.4.)
Bon succès à madame Pauline Marois
L’occasion est propice de veiller aux différents discours et aux confrontations des chefs en vue d’évaluer la portée des interventions par le biais de l’optique indépendantiste.
Cette quarante-et-unième élection générale devrait marquer le ton d’un changement de perspective nationale. Dans les circonstances, madame Pauline Marois porte sur ses épaules une lourde responsabilité. Nous savons tous à quel point il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens la richesse d’être que représente le fait de devenir une nation véritablement indépendante.
Souhaitons que les mots convaincants de la cheffe du Parti Québécois parviennent à soulever l’adhésion majoritaire du plus grand nombre de citoyens et de citoyennes à la politique publique nationale qui porte sur l’indépendance du Québec.
Consulter :
Michel Brunet, Québec Canada Anglais. Deux itinéraires. Un affrontement, Montréal, Les Éditions HMH, 1968, 309 p. (Coll. «Constantes» 12). Voir : «Le fédéralisme, l’Acte de l’Amérique du Nord britannique et les Canadiens Français» (p. 231-286). Deux «Conclusions » terminent le mémoire: 1) La création d’États associés; 2) La primauté de l’État du Québec.
Bruno Deshaies, «Petit lexique de l’indépendance. Essai pour servir les besoins terminologiques des indépendantistes. » Dans Vigile.net, Chronique, jeudi 16 décembre 2004. Indépendance du Québec - 198.
Bruno Deshaies, « Les mots ″ethnie″ et ″annexion″ (Cours 201).» Dans Vigile.net, jeudi 3 février 2005. Suite au «Petit lexique» pour les indépendantistes du 16 décembre 2004 »
ANNEXE
Michel Brunet
Extrait du Mémoire de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal au Comité parlementaire de la constitution du gouvernement du Québec (1964)(*)
La primauté de l’État du Québec
//285// Le gouvernement et le territoire du Québec constituent l’État national des Canadiens français. Il y a quelques années [nous sommes en 1964], seule une très faible minorité de dirigeants Canadiens français reconnaissait ce fait qu’appuient trois siècles et demi d’histoire et de vouloir-vivre collectif de quelque cinq millions d’hommes et de femmes qui se disent Canadiens français du Québec. Aujourd’hui, qui ose le nier ?
Cette constatation, qui a si longtemps tardé, entraîne nécessairement une révolution politique. Il ne sert à rien de se le cacher. Une collectivité n’apprend pas soudainement que le nombre et la démocratie lui donne la maîtrise d’un État sans procéder aussitôt à une révision radicale des options politiques et idéologiques qu’elle s’était données à une époque où elle acceptait docilement de vivre en état de subordination. Les Canadiens français sont à la recherche d’une solution globale au problème de leur collectivité. Pour y parvenir, ils comptent sur l’action dynamique du gouvernement du Québec. Investi de la lourde responsabilité d’assurer le progrès collectif de la nation canadienne-française et la promotion sociale de ses membres, celui-ci est appelé à étendre considérablement ses pouvoirs. Il s’est engagé dans cette voie depuis quelques années [sous le gouvernement de Jean Lesage] mais il est de plus en plus évident que la constitution de 1867 ne répond plus aux exigences des Canadiens français de la seconde moitié du XXe siècle.
Les défenseurs de l’ordre établi invoquent l’Acte de l’Amérique du Nord britannique et les impératifs de l’unité nationale. Ces arguments ne peuvent impressionner que la majorité anglo-canadienne puisqu’ils servent ses intérêts nationaux [canadians]. Un Canadien français du Québec conscient des défis auxquels fait face sa nation, ne peut que refuser de les recevoir. Une constitution se change lorsqu’elle ne répond plus aux demandes de millions de citoyens décidés à se comporter en majorité sur le territoire où ils forment 80 % de la population et à se donner les cadres politico-économiques nécessaires à //286// leur progrès. Quant à l’unité nationale, quiconque a étudié l’histoire du Canada sait qu’elle n’a toujours été qu’un moyen de coercition entre les mains de la majorité anglo-canadienne. Chaque fois que l’unité nationale [canadian] a triomphé c’est parce que les Canadiens français se sont inclinés devant le Canada anglais. Cette époque semble révolue. Le plus sage c’est de l’oublier et de construire l’union canadienne en partant de nouvelles prémisses et en s’appuyant sur de nouvelles bases.
_____________________
(*) Cet extrait du Mémoire de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, en 1964, annonce la souveraineté-association, en 1968, par René Lévesque. Cette lutte entre deux options fédéralistes au sujet de l'Option Québec dans l'esprit d'une nouvelle union canadienne. Le cancer qui ronge les souverainistes frileux et attentifs aux projets de fédération entre états indépendants à l'exemple du cas de figure de l'union européenne. Quand ce n'est pas cette idée, ils rêvent d'une révolution politico-démocratique au sein du grand tout canadian en s'imaginant atteindre l'indépendance du Québec au sein d'une grande union pancanadienne d'un nouveau style sans qu'on sache à quel monstre pourrait ressembler cette nouvelle bête politique postmoderne.
« L’auteur [Michel Brunet] a rédigé les quatre premiers chapitres de ce mémoire au cours desquels il expose la nature du fédéralisme, le caractère originel de 1867, ses transformations durant le siècle qui suivit et les principales étapes de l’évolution historique de la collectivité canadienne-française depuis la Conquête jusqu’à la présente décennie. Le dernier chapitre qui recommandait l’adoption d’une nouvelle constitution canadienne et la création de deux États associés a été supprimé car il représentait exclusivement les vœux du Conseil général de la Société Saint-Jean-Baptiste et de son comité du mémoire.» (Consulter ci-devant : Brunet, p. 233-234.)
Cinquante ans plus tard, nous sommes à nouveau confronter au même obstacle à peu de nuances près. La primauté de l’État du Québec ne peut s’exercer qu’à une condition et une seulement: l’existence d’un État du Québec souverain. Donc une souveraineté qui s’exercera tant à l’interne qu’à l’externe. Il n’y a pas d’indépendance nationale complète sans ces deux conditions.
Indépendance nationale du Québec
Le choix décisif
Pour en arriver résolument à posséder un État souverain
Chronique de Bruno Deshaies
Bruno Deshaies209 articles
BRUNO DESHAIES est né à Montréal. Il est marié et père de trois enfants. Il a demeuré à Québec de nombreuses années, puis il est revenu à Montréal en 2002. Il continue à publier sa chronique sur le site Internet Vigile.net. Il est un spécialiste de la pen...
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BRUNO DESHAIES est né à Montréal. Il est marié et père de trois enfants. Il a demeuré à Québec de nombreuses années, puis il est revenu à Montréal en 2002. Il continue à publier sa chronique sur le site Internet Vigile.net. Il est un spécialiste de la pensée de Maurice Séguin. Vous trouverez son cours sur Les Normes (1961-1962) à l’adresse Internet qui suit : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-1-20 (N. B. Exceptionnellement, la numéro 5 est à l’adresse suivante : http://www.vigile.net/Les-Normes-en-histoire, la16 à l’adresse qui suit : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-15-20,18580 ) et les quatre chroniques supplémentaires : 21 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique 22 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19364 23 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19509 24 et fin http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19636 ainsi que son Histoire des deux Canadas (1961-62) : Le PREMIER CANADA http://www.vigile.net/Le-premier-Canada-1-5 et le DEUXIÈME CANADA : http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-1-29 et un supplément http://www.vigile.net/Le-Canada-actuel-30
REM. : Pour toutes les chroniques numérotées mentionnées supra ainsi : 1-20, 1-5 et 1-29, il suffit de modifier le chiffre 1 par un autre chiffre, par ex. 2, 3, 4, pour qu’elles deviennent 2-20 ou 3-5 ou 4-29, etc. selon le nombre de chroniques jusqu’à la limite de chaque série. Il est obligatoire d’effectuer le changement directement sur l’adresse qui se trouve dans la fenêtre où l’hyperlien apparaît dans l’Internet. Par exemple : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-1-20 Vous devez vous rendre d’abord à la première adresse dans l’Internet (1-20). Ensuite, dans la fenêtre d’adresse Internet, vous modifier directement le chiffre pour accéder à une autre chronique, ainsi http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-10-29 La chronique devient (10-29).
Vous pouvez aussi consulter une série de chroniques consacrée à l’enseignement de l’histoire au Québec. Il suffit de se rendre à l’INDEX 1999 à 2004 : http://www.archives.vigile.net/ds-deshaies/index2.html Voir dans liste les chroniques numérotées 90, 128, 130, 155, 158, 160, 176 à 188, 191, 192 et « Le passé devient notre présent » sur la page d’appel de l’INDEX des chroniques de Bruno Deshaies (col. de gauche).
Finalement, il y a une série intitulée « POSITION ». Voir les chroniques numérotées 101, 104, 108 À 111, 119, 132 à 135, 152, 154, 159, 161, 163, 166 et 167.
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