Le gros, le «Big One» et les enfumeurs

Tribune libre

Au nom du même progressisme de merde qui Nous a déjà été servi par Gilles Duceppe, le tandem Hivon-Cloutier n’aura d’autre choix que de prendre ses distances à l’égard du référendum, mais plus tard… trahissant une fois de plus l’espérance des indépendantistes les plus honnêtes, pour faire porter plutôt la prochaine campagne électorale péquiste sur la nécessité de débarrasser la province de la gang à Couillard.

Il sera cependant trop tard pour effectuer cette stratégie de repli, typique des carriéristes et des opportunistes. Cette sortie de secours aura déjà été refermée par la C.A.Q. Et tous les efforts péquistes de repli pourront être facilement récupérés et administrés à profit par la C.A.Q. qui aura déjà, sur le thème, plusieurs longueurs d’avance sur le P.Q. Cependant…

Cependant que les indépendantiste seront un peu plus désorientés parce qu’ils se sentiront trahis.

D’une façon ou d’une autre, avec la position attentiste que ces deux enfumeurs tiennent présentement dans la course à la chefferie, tout le P.Q. en général, et particulièrement son aile parlementaire, s’en vont tout droit à l’abattoir.

Soit ce duo persistera jusqu’à la fin ( la fin du P.Q.) et proposera un référendum dans un premier mandat (pour le plus grand contentement de Q.S) et la gang à Couillard pourra s’en sortir une fois encore avec une autre campagne de peur, écorchée plus que moins cette fois par la C.A.Q. ,soit le « parti des instances » pourrait renoncer et se rapprocher du réel, des propositions de JFL, mais après la course évidemment… Il sera cependant trop tard pour ce retrait tardif, supposément stratégique, qu’il est pourtant possible de réussir dès à présent : toute la machine de lâches du West Island, qui vient ces jours-ci au secours du lâche qui Nous tient lieu de premier ministre, cette machine aura pris grand soin entretemps de peinturer le tandem Hivon-Cloutier dans le coin des référendeux. Évidemment, ces derniers pourront encore revenir sur leurs pas, rétropédaler encore pour la Cause… mais ils le feront au prix de passer pour ce qu’ils sont : les péquisteux d’un monde parallèle. Et de ceux-là, l’électorat n’en peut plus, il préfère encore les corrompus.

Les mêmes causes (et les mêmes turpitudes) produisant les mêmes effets, il est facile de prédire qu’il arrivera au P.Q. ce qui est déjà arrivé au Bloc : l’hécatombe politique.
L’arrivée des Layton et des Mulcair, l’élection de Justin Trudeau, en somme le triomphe du West Island, en même temps que ces ténébreux « départs péquistes »… toutes ces petites secousses politiques ne constituent pas ensemble, il est vrai, un tremblement de terre, non, mais ils pourraient bien être les secousses qui annoncent le gros, le big one, celui dont le West Island rêve depuis si longtemps…

C’est MAINTENANT qu’il faut liquider, oui, LI-QUI-DER la question du référendum, qui relève d’une méthode politique suicidaire. D’autres méthodes politiques sont possibles. Plus tard, il sera trop tard…


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14 commentaires

  • Jean Lespérance Répondre

    21 juin 2016

    À M. Normand Paiement
    On remplace le référendum par une Constitution. Êtes-vous en faveur de la constitution proposée par le PQ? Dès l'élection du Parti Québécois, la nouvelle constitution entre en vigueur automatiquement. Certains vont dire que ce n'est pas démocratique parce que ça ne représente pas l'opinion de la majorité. Nous dirons aux plaignards qu'il n'y a pas eu de référendums pour le faux libre-échange et les traités de traîtres comme le partenariat transpacifique et l'AÉCG? Avons-nous voté pour ça? Difficile de voter quand tout a été négocié et signé en cachette sans même nous en avoir montré une page. Nous n'avons aucune leçon à recevoir de la part des vendus et traîtres de ce pays devenu un sous-état de l'UE.

  • Marcel Haché Répondre

    20 juin 2016

    @ Normand Paiement.
    Lorsque je parle du « P.Q. à marde », j’espère que vous comprenez…Voyez-vous, j’en suis un « maudit separatist », j’en suis un méchant loser.
    Et je n’ai jamais voulu insulter personne avec ni les « separatist », ni les « losers » ni avec le terme qui semble vous impatienter : « référendeux ».
    Voyez-vous encore Normand Paiement : il y eut des indépendantistes bien avant l’arrivée de Claude Morin au P.Q. avec sa stratégie du référendum. Et il y en aura encore, des indépendantistes, après que les référendeux auront baissé le ton de cette exigence selon laquelle un indépendantiste doive réclamer un référendum la semaine et la fin de semaine.
    La confédération canadienne n’a jamais eu pour mission de favoriser l’épanouissement de la nation canadienne-française. Il n’est pas venu à l’idée de tous ceux et celles qui nous ont précédés, malgré qu’ils étaient politiquement ostracisés (Nous en l’occurence) de tenir un référendum pour assurer la survie de la nation. Et cette nation a survécu, Nous avons survécu, malgré-malgré le fédéralisme canadian, parce que des patriotes ont eu suffisamment de volonté et pugnacité pour jouer le jeu des institutions telles qu’elles étaient, et non pas telles qu’elles auraient dues être.
    Je suis partisan d’une autre méthode politique qui renoue avec ce que les canadiens-français ont toujours pratiqué. Le référendum est une simple méthode politique, ce n’est pas l’Indépendance. Cela aurait pu y mener, en effet, à l’Indépendance. Mais la réalité cruelle, c’est que le référendum a divisé la nation plutôt qu’il ne l’a rassemblée.
    Et tant et aussi longtemps que les référendeux ne se seront pas amendés, il n’y aura pas de Pouvoir et, à l’évidence, bien moins encore de référendum. Le Mur…c’est le fond du sac. Nous y sommes.
    Le P.Q. devrait-il passer son temps à se lamenter sur l’Indépendance ? Je ne le crois pas cela un seul instant.
    Salutations.

  • Normand Paiement Répondre

    20 juin 2016

    «D’affaiblissement en affaiblissement, le Parti Québécois finira peut-être par ne plus être un obstacle à la naissance et au développement d’un véritable et efficace mouvement indépendantiste.» - Andrée Ferretti
    @ Marcel Haché
    Je n'espère pas l'indépendance, mais un chef et un parti qui sauront nous y conduire sans défaillir et sans prendre des chemins détournés pour y arriver. Vous vous trompez de cible en accusant les indépendantistes de «référendeux», de «référendistes» ou de je ne sais trop quel nom. (Pourquoi pas de «séparatisses», tant qu'à y être!?) Notre objectif avoué, c'est l'indépendance du Québec. Le référendum n'est qu'un moyen parmi d'autres pour atteindre cet objectif. Si vous en connaissez un meilleur, n'hésitez pas à nous le faire savoir!
    La triste réalité est la suivante: En près de 50 ans d'existence, AUCUN dirigeant péquiste n'a su mener à bien la tâche de faire du Québec un pays, avec ou sans référendum à la clé. Si la stratégie du «bon gouvernement» avait marché, ça se saurait, vous ne pensez pas? Combien de temps faudra-t-il encore attendre avant qu'un capitaine digne de ce nom mène enfin le prétendu «vaisseau-amiral de l'indépendance» à bon port? « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? »...
    @ Ouhgo (Hugues) St-Pierre
    Faudrait déjà que JFL se fasse élire chef du PQ puis premier ministre, ce qui est loin d'être acquis, si j'en crois les sondages. Mais si, contre toute attente, il devait prendre la barre d'un parti qui renierait encore une fois sa raison d'être pour des raisons purement électoralistes, il réussirait simplement à démobiliser les vrais indépendantistes, avec les conséquences dramatiques que je vous laisse le soin d'imaginer. C'est la raison pour laquelle je ne donne pas cher de ses chances de battre Couillard dans deux ans. De même, je ne donne pas cher de l'avenir du PQ après 2018. On en reparlera le moment venu...
    D'ici là, good luck, you're gonna need it! comme diraient nos amis du West Island...
    Cordialement,
    Normand Paiement

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    18 juin 2016

    "Sinon, quel « autre chemin » avez-vous en tête au juste ?"
    Six années de préparation intelligente de l'électorat, (dont 4 au pouvoir) au lieu de deux à rafistoler une question "gagnante" sans moyens, dans une opposition méprisée! How's that? diront les "business"

  • Marcel Haché Répondre

    17 juin 2016


    M. Paiement.
    Vous espérez l’Indépendance. Good.
    Mais l’électorat espérait un grand nettoyage. Il l’espère encore. Provenant de la gang à Couillard, c’était très habile de propager cette idée que le P.Q. « fomentait » la tenue d’un référendum. Et, en effet, ce qui devait ulcérer l’électorat ne manqua pas de l’ulcérer : la gang du P.L.Q. savait cela, le P.Q. à marde feignait de l’ignorer, cependant que la gang d’O.N. ne le savait pas et ne le sait pas encore.
    Je sais bien que les référendeux ne l’admettront pas de sitôt : l’électorat était alors déjà si tanné de la perspective d’un autre référendum, en même temps que cette perspective lui paraissait tellement déconnectée de ses attentes, que la gang de pourris à Couillard s’est retrouvée facilement au Pouvoir sans véritable mandat .Pour obtenir un mandat quelque peu valable, il aurait fallu que les sales soient des propres… Et on sait maintenant que le P.L.Q. n’était manifestement « pas prêt », et qu’il ne l’est pas encore aujoird’hui…
    Cependant que sans le Pouvoir, pas de référendum et pas d’indépendance. Ou plutôt le référendum et l’Indépendance sont du vent.
    Cependant aussi que, quand on veut faire un gros ménage, qu’on propose d’en faire un parce que c’est requis d’en faire un, il est suggéré d’avoir les deux mains libres…Hélas, le gouvernement Marois était un gouvernement manchot, minoritaire, qui voulait frotter plus blanc que blanc malgré qu’il tolérait, et qu’il a toléré qu’un Boulet soit attaché à ses pieds.
    Ce n’était pas que le « bon gouvernement » de P. Marois n’avait pas bien identifié ses ennemis, il avait simplement mal jugé de l’à propos, mal jugé du « timing » de les attaquer. Et cela, quoi qu’en dise la minuscule chorale d’O.N., c’est l’effet caché, mais pervers, l’effet déstabilisateur et dévastateur du référendum, qui a toujours placé, et qui place encore le P.Q. vulnérable, à la merci de la propagande ennemie la plus bébête. Fait maintenant près de 50 ans que ça dure cette maudite folie-là du référendum…

    Souffler dans un ballon crevé garanti seulement de s’essouffler. Et notre Cause est en train de s’essouffler parce que le référendum est un ballon crevé. Si le P.Q. en venait à faire de la politique en rêvant comme O.N., tout navire-amiral qu’il est, ses résultats aux élections ressembleraient à un cauchemar. Le Québec n’est pas souverain, certes, et c’est bien dommage, mais l’électorat l’est, souverain, et sait très bien qu’il l’est…
    Il semble simplement que J.F.L. en ait pris bonne note… et vous ?

  • Normand Paiement Répondre

    17 juin 2016

    @ Marcel Haché
    Expliquez-moi en quoi la démarche de JFL va nous rapprocher de notre objectif au lieu de le repousser à une date indéterminée. Que je sache, il ne parle pas de renoncer à toute forme de démarche référendaire, mais simplement de reporter de quatre ans la date d'un éventuel référendum sur l'indépendance. Croyez-vous sincèrement que cela va empêcher les libéraux d'agiter cet épouvantail à moineaux en 2018?
    Comprenez-moi bien: Je ne tiens pas à un référendum à tout prix. Je me demande seulement par quel autre moyen il serait possible de faire du Québec un pays. Une élection référendaire qui permettrait au PQ de former un gouvernement majoritaire suffirait-elle pour qu'il déclenche le processus d'accession à l'indépendance?
    Sinon, quel «autre chemin» avez-vous en tête au juste?
    Au plaisir de lire vos explications!
    Normand Paiement

  • Marcel Haché Répondre

    16 juin 2016

    @Normand Paiement.
    Que restait-il alors, à l’opposition libérale, pour enquiquiner l’ « ostie de bon gouvernement » péquiste de René Lévesque ? Il restait encore le référendum, l’ultime lieu où les libéraux pouvaient défaire ET le gouvernement ET l’Indépendance.
    Et à tous les jours, tous les jours où il y avait une « période des questions » il y avait Gérard D. Lévesque pour jeter le doute sur la future Question gardée secrète.
    Et pour donner raison à Gérard D. Lévesque, les référendistes d’alors concoctèrent une Question compliquée et longue à souhait.
    Il y aura longtemps encore des Gérard Lévesque parmi Nous. Et des référendistes comme vous au P.Q. qui ne veulent pas admettre que le référendum est devenu un Boulet pour la formation d’un gouvernement indépendantiste.
    Jean François Lisée propose de prendre un autre chemin que celui proposé il y a très longtemps par Claude Morin, ce chemin que vous semblez affectionner mais qui nous fait tourner en rond et dans l’opposition depuis longtemps. Vous verrez : les faits sont bien plus têtus que le capitaine Bonhomme. On jase.

  • Normand Paiement Répondre

    16 juin 2016

    @ Marcel Haché
    «La distraction du référendum écartée, tout le Québec ne parlera plus que d’Indépendance» (Marcel Haché, 15 juin 10h26).
    Je vous trouve bien optimiste! Je serais plutôt tenté de croire que «le Québec ne parlera plus DU TOUT d’Indépendance».
    Qui de nous deux a raison? «C'est ce que nous saurons p't-être demain, les enfants!» comme disait le défunt Capitaine Bonhomme...
    Bon vent entre-temps!
    NP

  • Archives de Vigile Répondre

    15 juin 2016

    @RBG:
    Vous faites une lecture bien sélective du texte de M. Bouchard. Il a effectivement écrit: «Je suis favorable à l’Option 1 défendue par JC Pomerleau et expliquée dans l’artricle : « Dion interroge Pomerleau » (Tribune libre, 10 juin 2016) Option 1 « d’un référendum approbateur venant à la fin d’un chantier ».»
    Mais, il a aussi écrit «Je ne connais pratiquement pas Martine Ouellet non plus, outre sa position claire et affirmée, et répétée depuis 1 an en d’autres circonstances que lors d’une course à la chefferie. Si je devais voter elle aurait mon vote. C’est la seule qui prône l’authenticité, la fin de la fausse représentation, la fin du « bon gouvernement », »
    Ça ne ressemble pas trop à un appui à Lisée. Toutefois, il se réserve le droit de changer son vote suite aux débats à venir. C'est sage. Donc, n'essayez pas de l'embrigader dans un camp ou un autre.

  • Marcel Haché Répondre

    15 juin 2016

    @ Barberis Gervais.
    « Dans cet ordre » : Lisée à la chefferie, puis au Pouvoir.
    La distraction du référendum écartée, tout le Québec ne parlera plus que d’Indépendance.
    Lisée va savoir, lui, quoi en faire du Pouvoir. Et lui saura quoi répondre aux inquiets…contrairement à Pauline Marois.

  • Normand Paiement Répondre

    15 juin 2016

    Monsieur Haché,
    «LI-QUI-DER la question du référendum», comme vous dites, je veux bien. Mais par quoi le remplace-t-on si on veut que le Québec devienne un jour un pays?...
    Cordialement,
    Normand Paiement

  • Archives de Vigile Répondre

    14 juin 2016

    À M. Barberis-Gervais
    Option un: Référendum approbateur venant à la fin d'un chantier.
    C'est tout de même un référendum, non? référendum au début d'un processus, au milieu ou à la fin d'un chantier (ou d'une assemblée constituante?), il est tout de même question d'un référendum. Et il parait que le peuple est allergique à un référendum...

  • Archives de Vigile Répondre

    14 juin 2016

    Certains mesurent le degré et la sincérité de la conviction indépendantiste à la vitesse à laquelle vous voulez faire un référendum sur l'indépendance. On appelle ça, en politique, du volontarisme.
    Avec ce critère, Martine Ouellet est la plus indépendantiste et Jean-François Lisée est le moins indépendantiste.
    Telle est la situation créée par l'idée qu'on ne peut rien faire si on n'a pas gagné un référendum.
    Il faut une rupture avec le référendisme dans lequel Claude Morin a entraîné le Parti québécois et le Québec tout entier.
    Dans une autre perspective que l'étapisme de Claude Morin, c'est Jean-François Lisée qui a le plus de chances de nous conduire à l'indépendance. Regardez ce qu'il veut faire du pouvoir. Ecoutez ses propositions sur une constitution québécoise, sur une citoyenneté québécoise à établir, sur une diminution de l'immigration et la francisation des immigrants, sur le renforcement de la loi 101. Voyez sa politique équilibrée sur la laïcité. Lisée offre sa version de la laïcité | Jean-Marc Salvet | Politique
    www.lapresse.ca/.../01-4991084-lisee-offre-sa-version-de-la-laicite.php‎
    il y a 1 jour ... Le candidat à la direction du PQ Jean-François Lisée rompt ... inscrite dans la défunte charte des valeurs était discriminatoire, selon lui.
    Il devrait toutefois changer son idée selon laquelle l'Etat ne devrait pas dépenser une cenne pour promouvoir l'indépendance. C'est dans la logique de ce qu'il propose. Il soutient que c'est au Parti québécois et à ses militants de financer le promotion de l'indépendance. Et en effet, le Parti québécois comme parti devrait sortir des limbes. Mais pourquoi un parti politique qui veut faire l'indépendance, qui le dit et dont les adversaires ne cessent de le dire, s'il est porté au pouvoir, pourquoi ce parti rendu au gouvernement cesserait d'être indépendantiste? Il lui faudra revoir sa logique là-dessus.
    Pour approfondir le sujet, voir l'excellent article de Pierre Bouchard; «Course au PQ:les candidats et le référendum.» (Tribune libre, 14 juin 2016) Je suis favorable à l'Option 1 défendue par JC Pomerleau et expliquée dans l'artricle: «Dion interroge Pomerleau» (Tribune libre, 10 juin 2016) Option 1 «d’un référendum approbateur venant à la fin d’un chantier». On revient à la position des leaders du Parti québécois prise en 1972 avant que ne sévisse Claude Morin. L'option 1 est une rupture avec le référendisme à la Claude Morin-Luc Archambault-Martine Ouellet et Pierre Cloutier.
    Robert Barberis-Gervais, 14 juin 2016

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    14 juin 2016

    "...L’arrivée des Layton et des Mulcair, l’élection de Justin Trudeau, en somme le triomphe du West Island..." dites-vous... et le W. I. triomphera avant même l'arrivée du nouveau chef, par le verdict de "non responsabilité criminelle" de l'assassin du Métropolis, dans l'indifférence des vacances d'un peuple sans connaissance.