De la bonne eau à boire en toute douceur !

Nous avons maintenant le choix : Fluor, Lithium ou autre ?

Tribune libre

La Ville de Saguenay aurait un projet pour augmenter le fluor dans l'eau. Voici ce qu'un groupe de résidents ont à dire :
Comité Sans Fluor, Saguenay-Lac-Saint-Jean et la Fluoration de l'eau ! /2
De AmiEs de la Terre de Québec.
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La fluoration de l’eau, une mesure nocive, inutile et contraignante
M. Jean Tremblay, Maire de Saguenay
Monsieur, nous avons été informé que vous avez l’intention de fluorer l’eau de la Ville de Saguenay. Je vous exhorte fortement d’examiner toutes les facettes de cette mesure fort controversée avant d’aller de l’avant. En effet, la fluoration comporte de nombreux désavantages et dangers qu’il importe de connaître afin de faire un choix sensé.
Avant même de débattre des pour et contres de cette mesure, il importe de souligner que fluorer l'eau implique de forcer les gens à ingérer une substance toxique sans leur consentement éclairé. C'est un précédant inquiétant qui nie les droits humains fondamentaux et la liberté de choisir ou de refuser d'être médicamenté.
En effet, la fluoration de l'eau soulève des questions éthiques, notamment celles du principe de précaution et du libre choix, et même si elle contrevient à la Charte des droits et libertés, cela n’empêche pas la Direction de santé publique (DSP) de faire pression sur les villes du Québec pour fluorer au moins 50% de la province d’ici cinq ans. Ces pressions sont faites en dépit des protestations de nombreux citoyens informés ou tout simplement inquiets et qui défendent le droit à une eau saine pour tous.
Actuellement, la DSP évite soigneusement d’engager un débat public sur la question et reste intentionnellement muette sur les effets néfastes éventuels du fluor. Sans débat, leur démarche manque de transparence. Et lorsqu’une ville commence à fluorer l’eau, les citoyens se trouvent devant un fait accompli.
Monsieur le Maire, vous devez savoir qu’à l'issue d'un long débat, Québec a mis fin à la fluoration de l'eau en avril 2008. Depuis, la très vaste majorité des Québécois ne boit plus d’eau fluorée (seulement 3% de la province). En 2009, Longueuil, Ste-Marie de Beauce et Beaupré ont dit non à la fluoration et des citoyens ont commencé à poser des questions à Gatineau, Lévis et Trois-Rivières. Dans ce contexte, pourquoi Saguenay devrait-elle aller à contre courant?
À travers le monde, il n'y a aucun consensus sur la fluoration. Montréal, Vancouver et 98% de l’Europe ont rejeté la fluoration et contrairement à ce qu’affirme la DSP, l’Allemagne, les Pays-Bas et la Suède l’ont interdit! Fait troublant pour les promoteurs de la fluoration, la santé dentaire des Européens (fluorés à 2%) est aussi bonne, sinon meilleure que celle des Américains (fluorés à 70%). Comment est-ce possible? Ce fait est occulté par la DSP. (Voir: http://www.qvq.ca/afq/pays-europe.htm)
De plus, l'efficacité de la fluoration à prévenir la carie dentaire est au mieux douteuse, car les données de l’OMS montrent que la carie a diminué pareillement dans l'ensemble des pays industrialisés, fluorés ou non. Au Canada, une étude de l’Association dentaire canadienne montre que la Colombie-britannique, la province la moins fluorée, affiche le plus faible taux de carie au pays. (Gray 1987, Fluoridation: Time for a New Base Line? Journal of the Canadian Dental Association. 10: 763-765.)
De son côté, la DSP affirme que la fluoration réduit la carie de 40% à 60%. L’OMS dit 15%, le CDC dit 18% et le rapport ontarien Locker (1999) et l'étude italienne de Pizzo (2007) disent près de 0%. Qui a raison ?
La fluoration est également associée à une longue liste de problèmes de santé. Le rapport du Conseil national de recherche (NRC, 2006), l’autorité scientifique suprême aux États-Unis, établit la liste de divers troubles de santé causés par la fluoration: augmentation du taux de fracture des os, de dommages aux dents et aux articulations (arthrite). Le NRC indique également que l'eau fluorée est possiblement liée à des troubles neurologiques (QI réduit chez les enfants, démence, syndrome de Down, maladie d'Alzheimer), du système endocrinien (glandes thyroïde et pituitaire), du système immunitaire (moelle des os, où sont produites les cellules immunitaires), du système digestif, de l'appareil génital, des organes internes (foie et reins), et qu'elle pourrait exacerber les effets combinés de l'aluminium et du fluorure, de même que le diabète et le cancer.
D’autre part, selon l’expert de la DSP, le Dr Lévy, les risques pour la santé « concernent plutôt les très jeunes enfants de trois ans et moins, qui peuvent développer de la fluorose. Ce sont des taches blanches qui apparaissent sur les dents, par exemple lorsque ces enfants avalent du dentifrice ». Or, l’ancien ministre Couillard affirmait qu'« il n'est pas exact de dire qu'il existe des risques associés ». Tous deux évitent soigneusement de discuter des conclusions du rapport du NRC. Qui a raison?
Le fluorure est plus toxique que le mercure et le plomb. Il est interdit de le déverser dans les lacs et rivières. Or, les villes peuvent injecter de grandes quantités de fluorure toxique directement dans les réserves d’eau potable, cela sans aucun contrôle! Pourtant, la Loi canadienne sur la protection de l’environnement classe le fluorure comme produit chimique « persistant », « biocumulatif » (50% s’accumule dans l’organisme) et « toxique ». Environnement Canada le classe comme « déchet dangereux » et Transport Canada, en tant que « marchandise dangereuse » !
À la lumière de ces données vérifiables, le temps n’est-il pas venu de mettre fin à cette mesure insensé partout au Québec et à Saguenay?
Aussi, voici une étude sur la possibilité de mettre du lithium dans l'eau. BBC
Lithium in water 'curbs suicide'

The protective effect could be the result of years of drinking this water
Drinking water which contains the element lithium may reduce the risk of suicide, a Japanese study suggests.
Researchers examined levels of lithium in drinking water and suicide rates in the prefecture of Oita, which has a population of more than one million.
The suicide rate was significantly lower in those areas with the highest levels of the element, they wrote in the British Journal of Psychiatry.
High doses of lithium are already used to treat serious mood disorders.
But the team from the universities of Oita and Hiroshima found that even relatively low levels appeared to have a positive impact of suicide rates.
Levels ranged from 0.7 to 59 micrograms per litre. The researchers speculated that while these levels were low, there may be a cumulative protective effect on the brain from years of drinking this tap water.
Added element
At least one previous study has suggested an association between lithium in tap water and suicide. That research on data collected from the 1980s also found a significantly lower rate of suicide in areas with relatively high lithium levels.
Any suggestion that it should be added, even in tiny amounts, to drinking water should be treated with caution and researched very thoroughly
Sophie Corlett
Mind
The Japanese researchers called for further research in other countries but they stopped short of any suggestion that lithium be added to drinking water.
The discussion around adding fluoride to water to protect dental health has proved controversial - criticised by some as mass involuntary medication.
In an accompanying editorial, Professor Allan Young of Vancouver's Institute for Mental Health said "this intriguing data should provoke further research.
"Large-scale trials involving the addition of lithium to drinking water supplies may then be feasible, although this would undoubtedly be subject to considerable debate. Following up on these findings will not be straightforward or inexpensive, but the eventual benefits for community mental health may be considerable."
Sophie Corlett, external relations director at mental health charity Mind said the research "certainly merits more investigation.
"We already know that lithium can act as a powerful mood stabiliser for people with bipolar disorder, and treating people with lithium is also associated with lower suicide rates.
"However, lithium also has significant and an unpleasant side effects in higher doses, and can be toxic. Any suggestion that it should be added, even in tiny amounts, to drinking water should be treated with caution and researched very thoroughly."
On explique les dangers du lithium et on explique que dans certain cas cela peut réduire le nombre de suicides.
Vous n'êtes pas pour le suicide n'est-ce pas ? alors si un seul sucidé est sauvé, certains pensent peut-être vous convaincre. Il faudra bien qu'on soit endormis pour accepter une telle abération.
Pourquoi nos gouvernements veulent-ils florer l'eau tant que ça ? Et pouquoi pas nous endormir au lithium tant qu'à faire ? Je memande pouquoi nous sommes si léthargiques! est-ce qu'on pourrait mettre autre chose dans l'air pour nous endormir mais que ça serait moins coûteux de le mettre directement dans l'eau ? Et pourquoi en parle-t-ils ? Est-ce pour obtenir notre consentement ? Je pense que nous nous devons d'être solidaires et refuser toute médication non désirée une fois pour toute !


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