Pour une plus grande immigration au Québec !

Tribune libre

Je suis profondément contre le point de vue de certains ouvrages d ’économistes et de démographes qui prétendent que l’immigration soit quelque chose de négatif dans notre société.

Pour évaluer les véritables coûts de l’immigration il faut comparer les coûts sociaux de l’immigration à ce que la mise au monde ici au Québec de ces immigrants aurait coûté à notre société. Prenons un immigrant qui arrive ici par exemple à 25 ans avec une formation équivalente à un cégèp professionnel. Quels seraient les coûts totaux, privés et publics, pour notre société si on avait dû mettre cet immigrant au monde ici et le former de la maternelle jusqu’à un cégep professionnel ou l’université?

Autrement dit comment l’immigrant nous fait-il économisé par rapport au jeune québécois né et formé ici ? Tout d’abord il y a tous les coûts de la mise au monde de l’enfant: perte de revenus possibles pour la mère et congés parentaux payés par l’état. Ensuite il y a tous les coûts privés des parents pour leurs enfants de la naissance à (au minimum et parfois bien au-delà) 18 ans. Il y a ensuite les coûts publics des enfants (coûts de garderies subventionnés, de l’école primaire, de l’école secondaire, du cégep et de l’université selon le cas). Il y a ensuite les coûts de nos enfants dans notre système de santé. De la mise au monde jusqu’à 25 ans il faut tenir compte de toutes les maladies d’enfance normales, vaccins, de la mise au monde de l’enfant, mais aussi de tous les enfants qui peuvent être handicapés, malade mental, etc.. (l’immigration est sélective en tout premier lieu pour la santé et le dossier criminel) et aussi tous les coûts induits par les enfants qui « virent mal » dans notre société (certains criminels par exemple).

On ne regarde souvent qu’un seul côté économique de la venue des immigrants en comparant leur performance économique à celle des gens nés ici et on conclue qu’ils ne sont pas rentables à cause de leur différence de revenus avec celle des gens nés ici. Premièrement, il serait très étonnant et inquiétant de constater le contraire: que les immigrants performent mieux dans notre société que les gens nés ici. Si cela était le cas, là on pourrait se poser de très sérieuses questions sur notre société! Il est tout à fait normal que les immigrants aient un revenu moins élevé et qu’ils chôment davantage que les gens nés ici. Cela est probablement le cas des immigrants dans à peu près tous les pays riches à toutes les époques. Une foule de raisons expliquent cela: non reconnaissance des diplômes, absence de contacts, racisme de certains employeurs, problème linguistique et d’intégration, etc…

Pour ma part je suis d’avis que l’argent économisé « dans la fabrication de l’immigrant », payé pour nous par le pays d’origine de l’immigrant, dépasse très largement les coûts sociaux engendrés par les performances moindres de ceux-ci sur le marché du travail par rapport aux gens nés ici. Je pense donc que nous sommes économiquement très avantagés par la présence d’une immigration forte.

On insiste généralement beaucoup dans certaines études sur le fait que l’arrivée des immigrants ne change pas beaucoup la structure de la pyramide des âges. En effet, puisque ceux-ci arrivent ici en général autour de la mi-vingtaine, on ne doit pas s’étonner de voir que ce n’est pas l’arrivée des immigrants qui va grossir le nombre d’enfants dans nos écoles. Et bien justement! Les immigrants arrivent ici très majoritairement dans la tranche d’âge la plus productive de notre société. Ils arrivent ici (presque) prêts à produire. Les enfants et les personnes âgées sont généralement un coût pour la tranche d’âge des 25-65 ans. Nous faisons moins d’enfant mais notre population vieillit et nos coûts de santé augmentent sans cesse. L’immigration, bien qu’elle ne change pas beaucoup la pyramide des âges, vient augmenter la tranche d’âge la plus économiquement productive de notre société, celle qui paie des taxes.

Quel est au juste le raisonnement fallacieux de certains auteurs pour oublier les coûts que nous économisons grâce aux immigrants dans la « fabrication de nos travailleurs »? Ceux-ci se basent souvent sur un aspect d’une théorie économique. Une théorie de la croissance économique vieille de 50 ans, celle de Robert Solow, qui dit que la croissance démographique n’affecte pas la richesse par habitant d’un pays à long terme.

En effet, il y a des petits pays riches et pauvres et il y a des pays de grandes populations qui sont riches et d’autres qui sont pauvres. Cette théorie économique dit simplement que la croissance démographique en général est extérieure à ce modèle économique pour le calcul du revenus par habitant. Elle n’en fait pas partie. Cette théorie n’étudie pas du tout les implications d’une population vieillissante sur le pnb par habitant et elle s’intéresse encore moins à l’impact de l’immigration sur le pnb. Mais surtout, cette théorie économique fait abstraction des taxes, de la socialisation des dépenses de santé et d’éducation. Bref, le raisonnement économique de cette théorie de Solow est totalement déconnecté de notre société. Il pré- suppose un monde dans lequel chaque personne paies ses propres dépenses, amasse sa propre petite pension par lui-même, qu’il n’y a pas de répartition du revenu, pas d’éducation et de soin de santé publics, etc… En bref il ne fait pas baser l’impact économique de l’immigration sur un seul aspect d’une théorie qui est inapplicable dans nos sociétés d’aujourd’hui.

Ce que cette théorie de Solow dit aussi par contre, c’est que la croissance démographique est très importante pour le pnb total d’un pays. Plus la population augmente, plus une économie nationale devient forte et importante. La croissance démographique historiquement très forte des québécois, due à notre taux de fécondité très élevée, nous a permis d’exister comme peuple de 8 millions d’habitants mais n’oublions pas une partie non négligeable de notre population provient aussi de l’immigration.

Mais là où on se trompe le plus, c’est quand on ne réalise pas que seule une immigration plus forte et bien intégrée peut permettre à notre économie et à notre culture de continuer de croître d’une façon générale. Nos régions se vident, notre population vieillit, quel est notre avenir comme société si la population du Québec va, au mieux rester stagnante, alors que la population canadienne continue d’augmenter? Le poids du Québec va continuer à diminuer et l’importance de notre peuple va aller en décroissant dans le monde et dans le Canada. Pour un indépendantiste québécois, comment ne pas comprendre l’importance de l’argument fédéraliste nous disant que nous sommes un trop petit peuple pour être un pays souverain? Comment ne pas comprendre l’immense perte que le Québec a subi à la fin du 19 ième siècle lorsque une partie importante de notre population nous a quitté pour les États-Unis ? Comment penser qu’un Québec qui aurait aujourd’hui 12 millions d’habitants ne serait pas plus proche d’être un pays? Sous les arguments de ceux qui sont contre l’immigration, il y a toute la philosophie libérale anti état nation. On ne peut se prétendre nationaliste si on ne voit pas le Québec devenir un grand pays indépendant. On ne peut voir grand pour le Québec si on se contente de voir le Québec rester un petit état économiquement négligeable en Amérique du nord. Faire un grand pays du Québec cela veut dire construire de grandes infrastructures, avoir de plus grandes villes, penser d’une façon positive l’avenir à l’opposée d’une vision individualiste de la société qui cherche par tous les moyens à justifier le bien être personnel sous de fausses prémisses économiques.

Le raisonnement de certains experts des sciences humaines, complètement déconnectés de notre réalité, se concentre sur le fait que notre richesse par habitant, selon un vieux modèle de croissance économique, serait la même quelle que soit notre croissance démographique. Le Québec pourrait progressivement disparaître et ne compter que 4 millions d’habitants en 2075, ce n’est pas grave pour eux, car ces quatre millions d’individus seront en théorie aussi riches que les autres nord-américains. Il seront peut-être aussi riches que les autres, mais ils parleront probablement anglais…

Prenons le problème de la façon inverse. Tout le monde s’insurge à juste titre quand des médecins formés ici nous quittent pour les États-Unis par exemple. Tout le monde comprend que ces gens là nous ont coûtés chers et que leur départ est une perte nette pour notre société. Selon certains spécialistes des sciences humaines, ce n’est pas grave. Ce n’est donc pas grave de voir les gens nés ici quitter le Québec pour aller travailler ailleurs car cela n’affecterait pas notre pnb par habitant?

La croissance démographique est aussi très importante par le fait qu’elle engendre une croissance économique naturelle de par la présence d’une plus grande population. Et bien oui, l’offre et la demande augmentent. C’est cela qui permet à nos entreprises de voir l’avenir avec optimisme et de projeter des investissements pour l’avenir. Une région, une ville, un pays qui voit sa population augmenter, cela est bon pour tout le monde: travailleurs et entreprises. Bien que la population totale d’un pays n’influence peut-être pas la richesse par habitant d’un pays, les mouvements de population prévisibles à moyen terme vont influencer les investissements futurs car la taille totale de l’économie va changer, elle.

Il ne faudrait pas croire dans cet article, que je ne pense pas que notre immigration pourrait être améliorée. Je pense tout d’abord que l’on devrait donner priorité à l’immigration des pays dont le français est la langue maternelle. C’est le cas de la France et d’une partie de la Belgique et de la Suisse. Je pense que les citoyens de ces pays devraient être acceptés presque automatiquement quelle que soit leur éducation sous réserve des vérifications d’usages (criminalité et santé). Le Québec se doit d’augmenter l’immigration de ces pays car elle constitue notre immigration naturelle. Le Québec existe de par la colonisation de la France. Le Québec devrait recruter beaucoup plus d’immigrants français même s’il y a une augmentation récente de cette immigration pour des raisons économiques. Il y a aussi des besoins dans les métiers manuels et le Québec doit cesser de ne prendre que les universitaires des autres pays.


Ensuite je suggère de ne prendre comme immigrant indépendant, que les gens qui parlent déjà le français. Par contre, le Québec devrait encourager beaucoup plus fortement l’enseignement du français dans les autres pays en collaboration avec la France. Augmenter la puissance de la francophonie dans le monde devrait être une des missions internationales du Québec. Cela ne peut qu’être bon pour notre culture. On pourrait accepter des immigrants sous la condition qu’ils apprennent le français chez eux lors de l’attente de leurs documents. Le processus d’immigration dure souvent de deux à trois ans pour venir au Canada. Le Québec pourrait former lui-même certains immigrants dont le profil est intéressant pour le Québec en leur enseignant le français dans leur pays à un coût très faible, voir par internet. L’avantage serait très grand pour le Québec car les immigrants arriveraient ici avec une bonne connaissance du français et cela serait beaucoup plus facile pour eux de s’intégrer.
Finalement il est triste de constater que plusieurs indépendantistes se prononcent contre l’immigration parce que les immigrants voteraient presque tous non à un référendum sur la souveraineté. La solution à ce problème est pourtant très simple et elle fait l’objet d’un autre article de ma part: Être né au Québec pour voter au prochain référendum sur la souveraineté »



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23 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    @ Guillaume Gaston
    Vous avez raison pour une politique de natalité.
    Nos gouvernements dépensent plus de 20 milliards au Canada et plus de 4 milliards au Québec, pour soutenir des personnes venu d'ailleurs, il devrait y avoir une portion de cette argent de consacré a cette mesure.
    Cela en plus des nombreuses fraudes et l'argent qui sort du pays a cause que ces immigrants en envoient a leurs familles. Je n'ai pas rencontré d'article provenant d'études ici au Québec ou au Canada, mais, en Europe, c'est des milliards d'euro, qui sort chaque année, même les chèques d'aide sociale en font parti de cette argent qui part ailleurs.
    La plupart des familles de nos immigrants mettent de la pression sur l'immigrant venu s'installé ici.
    Leurs familles leurs disent; Tu est chanceux ou chanceuses, que l'on ta aidé, alors en retour pense a nous ta famille restée au bled.

  • Lise Reid Répondre

    2 février 2014

    Nous tenons à notre pays français,démocratique et à nos
    valeurs donc le Québec doit contrôler son immigration
    totalement.Nous voulons léguer à nos descendants un pays
    qui nous ressemble et qui nous rassemble.
    Vive l'indépendance

  • @ Gilles Paquin Répondre

    2 février 2014


    Depuis 1988, la politique d'immigration massive ne se justifie plus, car le libre-échange permet d'importer de la main-d'oeuvre incorporée dans les produits importés en provenance de pays à bas salaires. D'autant plus que nos industries à forte intensité de main-d'oeuvre (textile, vêtements, chaussures, etc.) ont périclité ou ont déménagé dans les pays du Tiers monde, principalement vers la Chine, le pays qui a le plus profité du libre-échange international.
    Afin de maintenir en place une politique d'immigration massive qui ne se justifie plus pour des raisons économiques et commerciales, on fait aujourd'hui intervenir le vieillissement de la population dans les décennies à venir.
    Le vieillissement de la population est un problème réel et il est relié au vieillissement des enfants de l'Après-guerre. La plupart des pays occidentaux doivent y faire face, et il en va de même de certains pays asiatiques tel le Japon.
    Cependant, il exiate différentes façons de faire face au vieillissement de la population. Par exemple, en investissant davantage dans la capitalisation de l'économie de manière à produire et à exporter des biens incorporant plus de capitaux et plus de savoir, plutôt que de la main-d'oeuvre bon marché.
    D'ailleurs, soulignons que les personnes âgées qui ont accumulé des épargnes et des capitaux ne sont pas un fardeau pour l'économie puisque leurs revenus sont tirés d'une productivité accrue de l'économie plutôt que de simples transferts inter-générationnels. L'encouragement à l'épargne et à la capitalisation de l'économie est donc une façon économique de faire face aux défis du vieillissement sans recourir à l'immigration. C'est ainsi qu'un pays comme le Japon a choisi cette dernière voie plutôt que la voie problématique de l'immigration de masse, laquelle pose non seulement des défis économiques dans le contexte actuel, mais peut aussi créer des problèmes sociaux d'intégration qui sont difficilement solubles.
    Pour une analyse plus poussée de la question, je recommanderais la lecture de l'excellent ouvrage intitulé « Le Remède imaginaire - Pourquoi l'immigration ne sauvera pas le Québec », rédigé par Robert Boily et Guillaume Marois, et publié par Boréal en 2011.
    On y découvrira, au-delà des mythes, qu'il serait illusoire de compter sur une immigration de masse pour soulager la pression sur les finances publiques, car les caractéristiques des nouveaux immigrants font en sorte que ces derniers dépendent davantage des transferts gouvernementaux que la population en général, tout en versant beaucoup moins d'impôts. Une telle immigration, lorsqu'elle s'insère difficilement sur le marché du travail, peut même venir alourdir le fardeau fiscal global.
    Miser sur la compétitivité de l'économie serait plus profitable et moins risquée que de recourir à une immigration de plus en plus difficile à intégrer.
    Rodrigue Tremblay, économiste

  • Serge Jean Répondre

    2 février 2014

    Finalement ce n'est jamais bon pour la caisse enregistreuse d'être citoyen natif; il faut bouger semble-t-il et importer des contingents d'immigrants pour stimuler l'économie. C'est tout? ....On peut observer par ailleurs que plus on importe et davantage on avorte, je serais curieux, de dessiner ce graphique aux ondes sinusoïdales si bien enfirouapées ensemble comme Roméo et Juliette.
    Je crois qu'il nous faut naître comme peuple à la face de tous d'abord, avant de songer à faire de l'argent dans le commerce de l'immigration; n'oublions pas que ceux qui fabriquent la richesse ce sont les abeilles résidantes, même l'argent n'y peut rien.
    Serge Jean

  • L'engagé Répondre

    2 février 2014

    La logique des droits, calqués sur le marché et pour reproduire son efficience permet à l'individu immigrant de se tailler une place sans nécessairement faire de compromis avec son identité. Quel est le lien entre ce que j'avance et ce que vous défendez? Aujourd'hui, même le Français (culturellement près de nous) garde de fortes attaches (via Skype, FB,) et annuellement, ses vacances (l'été et l'hiver), il les passe en encourageant -encore- la France en y séjournant, en y consommant. L'argent qu'il peut faire ici sort du pays... Croissance du PIB, n'est pas nécessairement synonyme de croissance de la richesse, des moyens dont notre état peut disposer pour offrir un service à sa population.
    Sa venue permet à IGA au coin de la rue d'avoir un client de plus, certes, et à son proprio du Plateau de garder les prix élevés, car une augmentation constante de l'immigration se traduit par une augmentation de la demande de logements, mais ces deux «gagnants» de la venue de notre Français ne se traduisent pas nécessairement par l'augmentation du bien collectif.
    Il est ridicule de former à grands couts des citoyens natifs si c'est pour accroitre la compétition à leur insertion et favoriser la création de perdants en ouvrant les portes aux immigrants. Cette augmentation continuelle de l'offre de travailleurs maintient les salaires bas. L'augmentation de cette «clientèle immigrante» rend nécessaire le bilinguisme et voilà que nos petits Québécois francophones doivent être bilingues, dans leur propre métropole, pour un emploi dans les services.
    De plus, le chômage au Québec n'est pas le résultat d'une pénurie sur le plan de l'offre de travailleurs, mais bien d'une offre de travail. Dans ce contexte, notre prospérité dépend bien plus d'une allocation judicieuse des ressources, pour les faire fructifier, que de l'augmentation du PIB et de la population.
    Le contexte de province nous force à faire des choix bien plus stratégiques que si nous étions un pays et il est clair que 50 000 immigrant par année c'est trop pour en faire 50 000 Québécois. Nous pouvons par contre réussir à en faire des Canadiens contributeurs de notre propre assimilation, c'est pourquoi les Libéraux et Charest ont si brillamment pesé sur l'accélérateur de l'immigration.
    En attendant, il est juste d'alléguer que l'immigration n'est pas économiquement et démographiquement rentable, le Québec n'est justement pas suffisamment maitre de son agir pour réussir, comme une nation indépendante sait le faire, à faire croitre sa population comme vous le suggérez par le biais de l'immigration, c'est la population canadienne qui croît, sur le territoire Québécois, c'est donc à nos dépens.

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Je vais vous donner d'autres exemples que l'immigration de personnes de cultures différentes ou de races différentes sont a très haut risque pour l'harmonie d'une nation et sa prospérité.
    Dans l'histoire très récente (50 ans environs) les Africains, les musulmans du Maghreb (Tunisie, Maroc, Algérie), ont tous chassés les européens de souche européenne de leurs pays, ils leurs ont signifié clairement, qu'ils ne veulent pas vivre avec des citoyens de souche européenne dans leurs pays.
    Pensez vous sincèrement, que prendre ces mêmes personnes qui détestent les européens de souche avec une culture occidentale et les inviter a venir vivre au Québec qui est majoritairement de souche européenne cela va se passer comme dans l'harmonie et créer de la prospérité et des richesses?
    Pour que les gens soient a l'aise et se reconnaissent et s'apprécient, il faut absolument qu'il y ait une ressemblance culturelle.
    Les cultures antagonistes aux antipodes, comme les musulmans et les occidentaux sont sources de conflits, parce que les uns ne se reconnaissent pas dans la culture des autres.
    Étant donné que cela fait quelques années que nos portes d'immigration furent ouvertes a tout le monde de la planète, j'ai une anecdote; Il y a une vingtaine d'années, un jeune couple de Québécois de souche européenne comme la majorité du Québec, vont en Haïti, pour adopter deux enfants haïtiens, un garçon et une fille qui sont présentement début vingtaine. La fille cela c'est passé assez simplement, mais le garçon ne s'est jamais identifié a leurs parents de souche européenne, alors ce fut conflits sur conflits.
    L'adolescence du garçon fut très troublante. Ce jeune d'origine haïtienne s'identifiait aux haïtiens, il disait constamment; My a Black, My a Black et était dans un groupe des gangs de rue a Montréal, au grand désespoir des parent, car ils l'aimait c'était pour eux leur enfant, ils avait pris la peine d'aller chercher cet enfant.
    Si vous prenez la peine de regarder et de vous informer, la plupart des conflits actuels sur notre planète sont des conflits RACIAUX et CULTURELS.
    Sincèrement, je ne crois aucunement que le Québec et les Québécois les éviteront, si cela continue ce sera notre avenir.
    En avoir quelque'uns des uns et des autres, ce n'est pas cela qui dérange beaucoup, mais c'est la concentration et le nombre qui fait la différence.

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Monsieur Capuano,
    contrairemenr à vous, je ne vois pas d'un bon oeil le phénomène de l'immigration massive qui est en cours au Québec. Ni sur le plan économique ni sur les plans social, culturel et politique. La politique québécoise d'immigration est un lamentable échec.D'un point de vue nationaliste et imdépendantiste s'entend. Pour les fédéralistes c'est un succès épatant à faire sauter de joie Lord Durham. La preuve, les immigrants anglicisés ont fait perdre le référendum de 1995.Il y a une conspiration du silence sur cette triste et incontournable vérité dont les élites du PQ n'ont pas su tirer la leçon. Je suis de ceux qui appelle un chat un chat.Comme chanté dans ma chanson Immigration blues (voir sur U-tube):
    Quand Parizeau a dénoncé
    les immigrants anglicisés
    qui du pays nous ont privé,
    on a voulu le crucifier.
    Pourtant c'était la vérité,
    les juifs, les grecs,les italiens,
    quasi à l'unanimité,
    ont voté non main dans la main!
    Ca n'a pas de maudit bon sang,
    tant qu'on est pas indépendants,
    l'immigration est un poison
    qui paralyse la nation.
    Oui à une immigration calibrée en qualité comme en quantité selon nos besoins économiques surtout.L'enrichissement socio-culturel qu'on nous vante tant pour sa diversité peut vite devenir un couteau à deux tranchants.La diversité pour la diversité n'est qu'un préjugé comme bien d'autres. La prudence s'impose. Il ne faut pas que l'immigration vienne affaiblir notre cohésion sociale ni notre tonus identitaire. C'est pourtant ce qui est en train de se produire avec l'immigration musulmane de ces dernières années. La difficulté de faire accepter la Charte de la laïcité le montre que trop bien. Nous payons déjà pour les erreurs d'un passé récent.
    Je me résume avec l'assertion suivante: des immigrants oui, mais le moins possible jusqu'à l'indépendance.Il faut savoir tirer les leçons du passé.

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Vous déplorez le coté économique du rapport; Immigration, solution imaginaire de M. Marois et de M. Dubreuil.
    Pourtant, vous ne parlez que de solutions financières et économiques dans votre article.
    Étant donné que vous tenez a cœur le coté économique de l'immigration, je vais vous montrer en exemple des situations concrètes de pays ou il y a mélange des cultures religieuses et autres, que nous avons devant nos YEUX.
    Pensez vous que le Liban est un pays prospère actuellement ou que la prospérité sera dans son avenir?
    On peut déjà prédire, que ce sera encore des conflits culturels pendant plusieurs années, et en situation conflictuels il ne peut y avoir de prospérité.
    Il y a une dame Libanaise de culture chrétienne qui vit présentement aux USA, Mme Brigitte Gabriel, qui tente désespérément de réveiller les américains de leur sommeil, d'arrêter de faire immigrer des musulmans dans leur pays, elle dit: Nous au Liban, comme société de culture chrétienne, nous avons ouvert les portes de notre pays aux musulmans et ils ne font que le détruire. Étant donné qu'elle ne fut pas endoctrinée et empoisonnée avec la rectitude politique, comme les occidentaux de souche européenne le furent, elle dit: "C'est comme une invasion de sauterelles, qui arrive et qui détruit tout sur son passage".
    Elle dit aussi: Essayer de comprendre démeler et décortiquer la culture des musulmans est très difficile et ardu, c'est comme si vous regardiez une tapisserie et que vous voyez des serpents, des scorpions, des couleuvres qui s'entremêlent et s'enlacent entre eux, vous voyez la tête des uns, les pieds des autres et vous ne pouvez déterminer a qui appartiennent les têtes et les pieds que vous identifiez, etc..
    Mme Gabrielle a un site web: Act of América

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Je trouve votre texte complètement subverti par les dogmes du Système de "rentabilité", de "coût" etc...
    Votre thèse est basée sur le caractère strictement "utilitaire" du Système.
    C'est là que l'on constate qu'il est extrêmement difficile de protéger une nation et sa culture avec toute la richesse de son caractère unique à l'intérieur du Système qui, lui, prône l'utilitarisme et la rentabilité.
    N'est-ce pas pour cela que les gens voyagent, pour aller voir des gens bien représentatifs des pays qu’ils visitent?
    Si le Québécois de l'avenir est un mélange de Français, de Grec, d'Espagnol, de Roumain, d'Allemand, de Libanais (on pourrait nommer toutes les ethnies de la planète), sera-t-il encore typique par rapport à l'ethnie qui habitait la Nouvelle-France au 17e ou au 18e siècle?
    N'aura-t-il pas perdu quelque chose de sa nature et de ses caractéristiques propres?
    Je crois sincèrement que la spécificité de chaque nation avec ses caractéristiques ethniques et culturelles uniques est un trésor de l'humanité à préserver et à protéger.
    Comme je l'ai dit plus haut, n'est-ce pas pour cela que l'on voyage, pour aller voir des gens bien représentatifs des pays que l'on visite?

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Une politique NATALISTE voila la solution.
    Bordel, pas parce que vous êtes descendant d'immigrant que cela justifie vos prises de positions et le GÉNOCIDE, voir le remplacement entière d'une population par une autre, comment osez vous... sérieusement c'est scandaleux.
    Le Québec reçoit déjà plus d'immigrants par habitants que partout ailleurs... vous souhaitez vraiment la mise en minorité et la disparition des descendants de Nouvelle-France en Amérique??Car c'est cela qui fait ce que nous sommes, qui a fait notre culture, notre identité, et le fait qu'on parle Français. Quand la majorité de souche sera disparu l'intégration sera impossible... il n'y aura plus rien à quoi s'intégrer. Regardez Montréal, nos enfants sont minoritaires dans nos écoles...
    Vraiment nous en avons plein le C*** de ces discours masochistes.
    Politique nataliste... pourquoi personne en parle???

  • @ Gilles Paquin Répondre

    2 février 2014

    Vous écrivez qu'on ne doit pas seulement tenir compte du côté économique puis vous plaidez ensuite que l'immigration est avantageuse pour le Québec parce que les immigrants arrivent ici après avoir étudié au frais de leur pays d'origine, nous recevons donc des gens déjà prêts à gagner leur vie et payer des impôts. En d'autres mots, encourageons l'exode des cerveaux, les forces vives des pays pauvres! Vous plaidez pour que nous acceptions plus d'immigrants dès maintenant alors que le Vérificateur général du Québec a déploré le fait que nous en recevons plus que nous pouvons en intégrer au marché du travail, soit parce qu'ils ne parlent pas français ou n'ont pas la formation requise pour combler les emplois disponibles. En termes clairs, le ministère de l'Immigration accepte des immigrants inadaptés au marché du travail et le nombre d'immigrants admis au Québec a été fixé de manière tout à fait arbitraire. On est passé de 20 000 à 55 000 en dix ans sans aucune explication rationnelle.
    Quant aux médecins qui s'en vont aux USA, je vous signale que plus de la moitié des médecins formés à McGill partent chaque année, ceux des trois autres universités, Laval, Sherbrooke et UdeM restent.

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Je tiens à dire ceci: l'immigration n'est plus seulement une affaire montréalaise.
    Depuis une quinzaine d'années de nombreux réfugiés ont été dirigés dans les régions.Actuellement il s'agit surtout de réfugiés en provenance du Népal et/ou du Bhoutan. Il y eut beaucoup de réfugiés en provenance de Colombie pendant une dizaine d'années.

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Le développement d'une société n'est pas qu'une affaire d'économie matérielle. C'est davantage une affaire de compatibilité sociale. Les valeurs humanistes sont de loin beaucoup plus importantes que les valeurs matérielles, ces dernières n'étant utiles que dans la mesure où elles permettent davantage le déploiement des premières. Mieux vaut une petit Québec vivant dans l'harmonie qu'un grand Québec vivant dans la division. Le grand Canada n'est-il pas un exemple évident de "La Tour de Babel"?

  • Stéphane Sauvé Répondre

    2 février 2014

    IMMIGRATION au Québec si et seulement si :
    1. Le nombre est rigoureusement justifié (à travers des études indépendantes dignes de ce nom) ;
    2. Des politiques d’intégration solides sont mises en place (et dont les résultats sont suivis sur une base annuelle) ;
    3. Le Québec a la TOTALE compétence dans ce domaine ;
    4. Les prochains immigrants s’établissent ailleurs que dans le grand Montréal ;
    5. Les immigrants acceptent la « nouvelle » constitution québécoise et sa charte des valeurs ;
    6. Les immigrants sont parrainés par des Québécois qui s’engagent à payer à même leur revenu les contributions d’assistance sociale (pendant 5 ans) si les nouveaux immigrants ne se sont pas trouvé d’emplois ;
    7. S’engage à parler français à l’intérieur de 36 mois (avec un appui diligent de l’État et une évaluation du niveau de français à mi-parcours et à la fin des 36 mois) ;
    Si ces les conditions sont en place pour que ce qui précède se réalise, alors une immigration cohérente est possible.
    Nous aurons alors une immigration qui contribue à l’enrichissement de la société Québécoise et bien entendu, à l’épanouissement des immigrants).

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Concentrer l'immigration venant des 60 pays francophones est une très mauvaise idée à cause de l'islamisme et de la race . Tous les immigrants doivent se franciser suivant l'unique langue nationale du Québec et des francophones et des francophiles il y en a dans tous les pays du monde . Comme exemple aux USA il y a au moins 34 millions de citoyens qui parlent français .
    L'immigration est rentable pour une nation lorsqu'il y a intégration et est mortelle à long terme pour une nation lorsqu'il y a ghettoïsation .
    Le Québec devrait contrôler 100% de son immigration sinon ce sera la MORT de notre Nation francophone à très court terme et ceci à cause de l'avortement . Il s'agit de visiter une garderie pour s'en rendre compte .
    MICHEL GUAY

  • Archives de Vigile Répondre

    2 février 2014

    Pour évaluer les véritables coûts de l’immigration il faut comparer les coûts sociaux de l’immigration à ce que la mise au monde ici au Québec de ces immigrants aurait coûté à notre société. Prenons un immigrant qui arrive ici par exemple à 25 ans avec une formation équivalente à un cégèp professionnel. Quels seraient les coûts totaux, privés et publics, pour notre société si on avait dû mettre cet immigrant au monde ici et le former de la maternelle jusqu’à un cégep professionnel ou l’université ?...
    Mettre au monde un immigrant ici. C'est une proposition mal formée, mais prenons la comme si vous voulez écrire les enfants de l'immigration. L'industrie de la poussette survit grâces aux immigrants, en particulier les Maghrébines.
    Pourquoi ? Sans doute parce que le féminisme n'a pas réussit à percer dans leurs communautés pour convaincre les Muslimas de cesser d'être des poules pondeuses. C'est une victoire du féminisme d'avoir cassé le moteur interne de reproduction des Canadiens-Français (et des autres Occidentaux).
    Alors nous passons à la sous-traitance en important des pondeuses. Et les économies réalisés s'effaceront avec les enfants de cette immigration qui n'assimileront point nos valeurs puisque nous sommes de moins en moins pour les assimiler, voire les intégrer.
    Mais admettons qu'une société efficace et économe se fonde sur l'immigration des talents plutôt que leur formation.
    Est-ce vraiment aux pays sous-développés de former des professionnels pour qu'ils puissent venir se dénicher de belles opportunités de carrière ici ?
    Le film "La couleur du temps" de Champoux met en exergue notre Révolution Tranquille qui a siphonné la crème des professionnels d'Haïti pour boucher les trous dans le secteur public, pendant que l'état haïtien était secoué d'un malaise de dictature. Résultats : l'État haïtien s'est écroulé et les Macoutes ont dominé. L'abandon a pérennisé le problème haïtien et c'est maintenant les couches basses qui émigrent en masse. Nous pouvons essayer de les intégrer, mais oubliez l'assimilation à l'identité québécoise. Ils ont développé leur propre identité et vivent dans des quasi-ghettos, attachés à leur identité et mode de vie.

    Moralement, je ne peux pas cautionner le brain-drain sachant ce qu'il advient des états siphonnés alors qu'ils sont en développement.
    Mais surtout, pourquoi lutterais-je pour un pays alors que ma nation abandonne la lutte pour sa survie en se métissant via les mutations de peuples, voire en se faisant carrément remplacer ?
    Laisser le français en héritage aux arrivants ? Si une communauté domine suffisamment, le français va prendre le bord. Est-ce que le latin a survécu aux invasions barbares ?
    Il est revenu comme langue administrative et de liturgie sous Charlemagne. Mais il ne s'est point maintenu comme langue vivante. Et les invasions barbares ont commencé lorsque les Romains voulaient boucher leurs trous, principalement dans l'Armée.

  • François Ricard Répondre

    2 février 2014

    "...on ne réalise pas que seule une immigration plus forte et bien intégrée peut permettre à notre économie et à notre culture de continuer de croître d’une façon générale..."
    Voilà où le bât blesse: une immigration bien intégrée. Le nombre d'immigrants que nous admettons annuellement est de beaucoup supérieur à notre capacité d'intégration. C'est l'évidence même.
    Aussi il ne faut pas prendre l'immigration comme une panacée à tous les problèmes.
    Nos régions se vident. On y trouve beaucoup de chômeurs. Ça va donner quoi d'y envoyer des immigrants?
    Nos médecins nous quittent. Leur formation nous coûte cher. L'immigration ne résoudra en rien ce problème.
    Le Québec est trop petit pour être souverain. Alors faudrait-il enlever la souveraineté à des pays comme la Suisse, la Bulgarie, la Slovaquie, l'Autriche, la Finlande, le Danemark et combien d'autres? Tous des pays moins populeux que le Québec.
    Nous avons d'excellents démographes. Nous avons d'excellents sociologues. Nous avons d'excellents économistes. Pourquoi ne pas former une équipe de gens spécialisés qui pourrait nous dire de façon plus exacte de quelle immigration nous avons besoin, qui pourrait nous définir clairement les conditions pour une intégration optimale des immigrants.

  • Jean Lespérance Répondre

    1 février 2014

    Au Québec, en ce moment où on vit une crise économique et financière grave, on ne peut pas accueillir 50,000 immigrants par année. Il y a déjà trop de chômage et les coûts sociaux sont trop énormes. Le gouvernement fédéral par l'entremise de Charest, l'ancien PM, acceptait beaucoup d'immigrants ici pour noyer le vote francophone pour rester au pouvoir. Le jeu de la politique allait à l'encontre de l'économie. Pensez ce que vous voulez, c'est ça la réalité.
    Maintenant que le PQ est au pouvoir, on doit limiter l'immigration pour réduire le chômage.
    Pour vous donner un exemple, quand une famille en arrache et est sur le chômage, ce n'est pas le temps d'inviter du monde et de faire des grandes fêtes. On n'a pas besoin d'être économiste ni démographe pour comprendre une chose aussi basique ou aussi simple que ça.
    Et même si on était capable d'en accueillir plus, les musulmans qui ne veulent pas s'intégrer sont un problème qui va envahir nos cours de justice. C'est vraiment un mauvais temps pour l'immigration.

  • Archives de Vigile Répondre

    1 février 2014

    Èn effet ..très belle immigration francophonne de qualité en provenance du Magreb et méchante belle brochette d'agitateurs islamistes et de revendicateur de charria
    Faut aimer courrir apres le trouble et vouloir avoir des problèmes
    Elsy Fneiche l'islamiste collaboratriste de Gesca ,l'iman Jazeri ,Adil Charkaoui, Samira Laouini . Amed Ressam , Rima Demanins qui est l'autre Rima chez Gesca ,l'iman Ali Sbeiti, Foudil Selmoune de la maison de la charria de Brossard , l'iman Salem Elmanyawi, un infatiguable promoteur de projet de charria islalmiste en Ontario avec Charles Taylor et au Québec

  • Archives de Vigile Répondre

    1 février 2014

    Je n'ai rien contre l'immigration et les immigrants en autant que tous et toutes savent dès le départ que le Québec est un "pays" laïc, dont les grands principes sont la neutralité de l'État, la séparation des religions et de l'État, le caractère laïc des institutions publiques, l'égalité homme-femme et la primauté du français.
    Ceux qui acceptent ces principes et qui veulent s'intégrer à ces valeurs sont les bienvenus. Ceux qui refusent, comme les intégristes musulmans, n'ont qu'à rester chez eux.
    Me semble que c'est simple à comprendre. Il y a une limite à vouloir faire entrer chez nous des gens sous prétexte qu'ils parlent français et qui viennent ensuite nous empoisonner la vie avec leurs exigences religieuses et leur combat politico-religieux.
    Ce n'est pas une question de race, de couleur, de nationalité, c'est une question de religion et surtout d'intégrisme religieux, particulièrement l'islam politique.
    On commence à en avoir ras le bol. Au plus vite la charte et un meilleur contrôle sur les postulants à ce niveau. Sinon, dans 5-10 ans, il sera trop tard et on se prépare à avoir de sérieux problèmes comme l'Europe en a actuellement.
    Pierre Cloutier

  • Archives de Vigile Répondre

    1 février 2014

    Je doute que publier l'adresse et le No de téléphone de m. Capuano soit une brillante idée.
    Quand au contenu du texte, j'aurais des critiques à adresser, mais plus tard.
    Occupez-vous d'effacer les renseignements trop personnels.

  • Archives de Vigile Répondre

    1 février 2014

    Je suis pour l'immigration. Mais il y a aussi effort à faire pour sortir le Québec vieillissant de la démographie malthusienne.
    http://fr.gloria.tv/?media=546541

  • Archives de Vigile Répondre

    1 février 2014

    Je n'ai rien contre l'immigration. Je veux juste pas que le Québec devienne le Québécistan.
    L'Islam n'est pas une religion pacifique.
    http://fr.gloria.tv/?user=98223