Vive le Québec qu'on aime!

Pourquoi pas un concours de textes nationalistes?

À la Saint-Jean-Baptiste

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Tribune libre

Pourquoi un organisme comme la Société Saint-Jean-Baptiste ne mettrait-elle pas sur pied un concours de textes nationalistes pour célébrer la Saint-Jean-Baptiste?

J'en propose déjà le thème: Vive le Québec qu'on aime!

Ce pourrait être des textes brefs d'une page ou moins qui seraient lus à voix haute par des comédiens, des politiciens, des citoyens, le jour même de la fête nationale, et pourquoi pas durant tout le mois précédent l'heureux événement dans tous les médias.

Les jeunes en composeraient à l'école et les réciteraient.

Tous les textes pourraient être lus sur les places publiques, récités à la radio, lors de la diffusion des grands spectacles télédiffusés les 23 et 24 juin, et durant la myriade d'événements entourant les célébrations un peu partout dans nos villes et villages.

Les journaux pourraient en publier un chaque jour à la une ou y consacrer une page entière spéciale à l'intérieur ou dans l'édition en ligne.

Ils pourraient être repris lors de la levée du drapeau québécois par les maires sur le parvis de l'hôtel de ville, ou les prêtres à la chaire de l'église. Sans oublier les humbles citoyens à qui on accorderait volontiers la parole et qui se succéderaient au micro toute la journée du 24 juin.

Et la foule répondrait à chaque déclamation à l'unisson par un "vive le Québec qu'on aime" sonore et bien senti.

Les textes rendraient hommage au peuple fondateur et à ses descendants, à la beauté de notre pays prêt à naître, à tout ce qui nous rend si fiers d'être Québécois d'ici. Les gens, les lieux, la culture, notre fier passé, nos traditions, nos accomplissements dans tous les domaines, notre joie-de-vivre communicative, notre élan collectif vers des lendemains meilleurs.

Ce serait la célébration du Québec tel qu'on l'aime, tel qu'on veut qu'il reste.

Ils pourraient être écrits avec poésie et lyrisme, ou dans les mots de tous les jours. Certains en feront des chansons.

Nul doute qu'on sera étonné de la participation enthousiaste de la population, et en quantité, et en qualité.

Un site web pourrait en regrouper l'ensemble et s'enrichir d'année en année.

Le Québec, notre patrie si chère à nos cœurs, mérite qu'on le célèbre par la parole, dans la belle langue française qui est la sienne et qui nous unit depuis toujours.

Répétons tous ensemble d'une seule voix: "Vive le Québec qu'on aime!"

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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    15 décembre 2016

    Monsieur Labrie
    Comme le dit si bien M. Corbeil, c'est bien dans les écoles qu'il faudrait commencer. Il faut rendre obligatoire l'enseignement de notre histoire, là je parle pour moi. Si les jeunes ne connaissent pas leur histoire, leur passé, ils risquent de perdre leurs repères identitaires et de devenir des mondialistes déracinés; c'est déjà très avancé au Québec! En parlant de la Société St-Jean Baptiste, pourquoi ne dénonce-t-elle pas avec véhémence cette immigration massive au Québec? Elle pourrait même alarmer les Nations Unies de ce génocide bien planifié par les fédéralistes "canadian", les fédéralistes Québécois (pensez à Couillard) et les mondialistes pour nous diluer et nous assimiler au Québec.
    Face à des partis politiques qui nous vendent et nous trahissent à la journée longue, le peuple québécois est acculé au mûr et il devra trouver une solution bientôt urgente sinon nous disparaissons comme peuple. Vous rappelez-vous de la chanson de Pauline Julien: MOMMY! MOMMY! C'est ce qui se prépare, actuellement, au Québec et n'oubliez pas qu'il n'y a pas de point de retour. La seule solution, c'est l'indépendance du Québec! On se prend en main ou on crève collectivement en s'assimilant dans le pays des autres. Être ou ne pas être? Voila la question primordiale. Mon choix est fait depuis longtemps.

    INDÉPENDANCE OU ASSIMILATION!
    André Gignac 15/12/16

  • Yves Corbeil Répondre

    14 décembre 2016

    Pourquoi, on aurait pas un parti qui prépare la séparation intensivement et sans relâche, l'explique en détails à toutes les étapes dans chaque régions et y met le paquet pour vendre le concept du mieux vivre chez nous au lieu d'être des locataires éternels de la province d'un autre pays.
    Ce que vous proposez M.Labrie c'est bien mais moi je trouve que des humoristes on en a assez au Québec pis il y en a même qui donnent leur show à Ottawa pour gagner leur croûte car dans le plan nord ya pas assez de spectateurs.
    Moi je serais en faveur d'un vrai système scolaire Québécois au lieu de ce qui se fait, non en faîte de tout ce qui se défait à Québec depuis des décennies.
    L'histoire qui explique les racines d'un peuple et le parcours de celui-ci dans le temps, c'est à l'école qu'on devrait et doit l'enseigner pas à TV ou sur une scène près de chez vous. Après ça on pourra faire des rassemblements avec des gens au courant pas juste des fêtards une fois par années.
    En attendant, il faut faire quelque chose pour tarir la source de la bête libéral qui se nourrit de réfugiés et d'immigrants déplacer par les guerres des voleurs de territoires et vendeurs d'armes.
    Réveillons-nous avant de devenir la minorité visible, c'est presque fait à Montréal.