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Premier bilan du gouvernement de François Legault

Que penser de la CAQ ?

Chronique vidéo d'Alexandre Cormier-Denis

Une courte analyse nationaliste de la première session parlementaire du gouvernement de la CAQ. Malgré les apparences, le gouvernement Legault n’a pas opéré une rupture radicale avec l’ancien régime libéral.



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1 commentaire

  • Éric F. Bouchard Répondre

    24 juin 2019

    Vous êtes sérieux? Aller, individuellement, dans les assemblées caquistes défendre l’idée qu’il faille préserver une majorité de Canadiens-Français au Québec! Vous voulez quoi, qu’on se fasse tous lyncher? Il n’y a pas plus conformiste qu’une assemblée ou qu’un député caquiste, parce qu’il n’y pas grand-chose de plus vide. Vous le dites vous-même, la CAQ n’a pas d’armature intellectuelle. C’est un parti qui surfe au gré des sondages, des médias ou des chambres de commerce, et c’est pourquoi son bilan s’avère si néfaste après une seule session.


    Comprenez-moi bien, il fallait voter CAQ pour remettre au pouvoir un gouvernement dont la victoire soit à nouveau redevable à l’électorat canadien-français, mais il était ensuite crucial de constituer un lobby capable de défendre les intérêts de cet électorat. Précisément ce que, à quelques-uns, nous proposons à Vigile de former depuis près de deux ans.


    En québécitude, sans contre-discours nationaliste canadien-français, la CAQ ne pourra jamais agir pour nous : comme tous ses prédécesseurs, elle ne fera que renforcer le multiculturalisme et le bilinguisme en appauvrissant toujours plus l’identité canadienne-française. Ce qu’elle vient de faire précisément, et avec bonne conscience, car recevant l’assentiment de tous les ténors du nationalisme québécois. Ces derniers ne mettent ainsi plus de gants pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes, ils ne se gênent plus pour entretenir une équivoque qui, au final, ne sert qu’un Québec post-national.


    Vous aurez sans doute remarqué la flagornerie exaltée des derniers textes de MBC (et de la plupart des donneurs de leçons de la Québécorsphère). Entre votre bilan et le sien, y’a de la marge, comme on dit. À tout le moins, espérons pour lui qu’avec ça, il l’obtienne enfin son poste à la 5e section de l’INRS.


    Alors on fait quoi? Agir peut-être, agir enfin.