Entre la pensée anticoloniale marxiste des années soixante et le nouveau mouvement « décolonial », que reste-t-il de la gauche nationaliste au Québec ?
Une critique du dernier livre de Pierre Dubuc, « Dans quel camp êtes-vous ? ».
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La grille d'analyse anticoloniale des années 1960 est totalement dépassée
Entre la pensée anticoloniale marxiste des années soixante et le nouveau mouvement « décolonial », que reste-t-il de la gauche nationaliste au Québec ?
Une critique du dernier livre de Pierre Dubuc, « Dans quel camp êtes-vous ? ».
Réflexion sur le Québec en devenir
VIDÉO
Éditorial de juin 2023
CONSTITUTION
CONSTITUTION
L’Europe ne doit pas laisser l’initiative d’un rapprochement entre la Russie et l’Ukraine aux États-Unis de «l’aspirant Nobel de la paix» Donald Trump
Une étonnante affirmation de Suzanne G. Chartrand dans «Le Devoir»
Pour les industriels du doublage, le temps est venu de faire profil bas
«Le Devoir» doit nous entretenir des meilleurs livres au Québec
7 milliards de pauvres miséreux qui savent faire pitié se pressent à nos frontières
Qu'ils changent et améliorent leur propre pays s'il ne répond pas à leurs attentes
Ministère de la Santé
Le Parti québécois (2/2)
De Lucien Bouchard à Paul St-Pierre Plamondon
Le Parti québécois (1/2)
De Lucien Bouchard à Paul St-Pierre Plamondon
Le Oui en forte hausse chez les jeunes
À nous de les convaincre de l'urgence nationale d'agir
L’hypocrisie, le cynisme et la corruption institutionnalisée, les moyens déprédateurs des fonds publics par des politiciens antipatriotes
La démocratie totalitaire s’est imposée en Occident par l’absence d’un système de démocratie directe
Le Parti québécois (2/2)
De Lucien Bouchard à Paul St-Pierre Plamondon
Le Oui en forte hausse chez les jeunes
À nous de les convaincre de l'urgence nationale d'agir
Pour les industriels du doublage, le temps est venu de faire profil bas
Coalition avenir Québec
Chronique de Rémi Hugues
MOYEN-ORIENT
Leçon de théorie politique tirée du Printemps arabe
Chronique de Pierre Gouin
Le pouvoir du peuple
Justice ou charité
Chronique de Gilles Verrier
LA GRANDE ALLIANCE
La relation exemplaire franco-amérindienne
VIDÉO
DÉCLIN ÉCONOMIQUE
Une baisse du niveau de vie n'est pas une certitude, mais peut devenir possible, voire prévisible, si les politiques publiques sont mal conçues.
ÉTATS-UNIS
L’Europe ne doit pas laisser l’initiative d’un rapprochement entre la Russie et l’Ukraine aux États-Unis de «l’aspirant Nobel de la paix» Donald Trump
Une étonnante affirmation de Suzanne G. Chartrand dans «Le Devoir»
Pour les industriels du doublage, le temps est venu de faire profil bas
«Le Devoir» doit nous entretenir des meilleurs livres au Québec
Il faut une question simple au prochain référendum
« Voulez-vous que le Québec devienne un pays indépendant ? »
7 milliards de pauvres miséreux qui savent faire pitié se pressent à nos frontières
Qu'ils changent et améliorent leur propre pays s'il ne répond pas à leurs attentes
2 mesures proposées
Prenons le taureau par les cornes
Invasion migratoire, tiers-mondisation de l’Occident
La grande déchiqueteuse diversitaire à l’oeuvre
Le Parti québécois (2/2)
De Lucien Bouchard à Paul St-Pierre Plamondon
Ministère de la Santé
Réplique au président Trump
Poussons une absurdité à l'inverse
Accord commercial avec les États-Unis
Réflexions personnelles
Les types d'immigrants à écarter à tout prix
23 caractéristiques
L'entrisme islamique, c'est non
Entrisme islamique dans les écoles, mairies, députés, fonctionnaires, entreprises
Des étrangers qui le resteront à jamais
Ajoutez-en 100 000 de plus comme eux, et je n’en verrai pas plus
Des étrangers qui le resteront à jamais
Ajoutez-en 100 000 de plus comme eux, et je n’en verrai pas plus
7 milliards de pauvres miséreux qui savent faire pitié se pressent à nos frontières
Qu'ils changent et améliorent leur propre pays s'il ne répond pas à leurs attentes
Éducation
Les censeurs médiateurs du journal « Devoir »
L’hypocrisie, le cynisme et la corruption institutionnalisée, les moyens déprédateurs des fonds publics par des politiciens antipatriotes
La démocratie totalitaire s’est imposée en Occident par l’absence d’un système de démocratie directe
L'entrisme islamique, c'est non
Entrisme islamique dans les écoles, mairies, députés, fonctionnaires, entreprises
Des étrangers qui le resteront à jamais
Ajoutez-en 100 000 de plus comme eux, et je n’en verrai pas plus
Les types d'immigrants à écarter à tout prix
23 caractéristiques
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1 commentaire
Éric F. Bouchard Répondre
15 juin 2019Ce que vous reprochez à Pierre Dubuc, on pourrait le reprocher à tous les discoureurs du néonationalisme québécois. Qu’ils soient progressistes ou conservateurs. Car pour traiter de décolonisation au Québec, il faut évoquer la nation canadienne-française. C’est elle qui fut conquise puis colonisée, c’est-à-dire soumise à la fois politiquement et économiquement, et qui fut dès lors en butte à un cadre colonial favorisant une mise en minorité et une assimilation qui se poursuivent toujours. Or, en devenant Québécois, nous avons, c’est vrai, refusé de poser en victime, mais au prix de la réalité historique. Tout commentateur de la société québécoise se trouve dès lors forcé d’user de concepts bidon (« majorité historique » par exemple) pour tenter de défendre l’idée d’un Québec français.
En somme, Dubuc comme bien d’autres, se doivent de réintroduire une nuance sociétale remplaçant notre réalité nationale abolie par la québécitude, afin de maintenir un combat aujourd’hui purement civique, voire rhétorique, sur lequel ils fondent toujours leur carrière.
Car devenir Québécois, c’était régler le problème de la nation canadienne-française en l’unissant avec le colonisateur présent dans le Québec. Être Québécois, c’est d’ailleurs toujours faire corps avec lui, s’effacer en lui, en espérant gagner un peu de sa normalité et de son prestige.
Vous ne me croyez pas? Prenons alors un exemple tiré du commerce et de la finance. Laissons de côté la Caisse de dépôt qui n’a pourtant plus rien de l’outil pensé pour favoriser l’émancipation économique des Canadiens-Français; laissons aussi les actuelles HEC qui seraient obscènes aux yeux d’un Esdras Mainville ou d’un François-Albert Angers; parlons seulement du Board of Trade of Montreal (1822) devenu moribond dans les années 1980 face à la dynamique Chambre de commerce du District de Montréal fondée pour et par les Canadiens-Français en 1887. Qu’est-il arrivé pensez-vous? De quoi la québécitude a-t-elle alors bien pu accoucher?
Plutôt que de laisser mourir le Board of Trade comme il eût été naturel de le faire, on a fusionné avec lui en 1992, l’année même du 350e, pour donner naissance à une nouvelle institution bilingue dont l’histoire remonte à 1822...
Allez-y voir aujourd’hui à la Chamber of Commerce of Metropolitan Montreal : vous y constaterez toute l’actualité d’une aliénation coloniale que vous semblez remettre en question ici.