Quand l’élève et la CLASSE dépassent nos maitres politiques dans ce cours « Finances publiques 101 »

L’idée de la CLASSE de ramener cette taxe sur le capital à 0,07 % et taxer les banques tel que proposé il y a quelques semaines déjà par Québec solidaire, demeure une solution incontournable. Cette alternative exige cependant un courage politique totalement absent chez nos élus et encore plus chez ce nouveau Club des ex que sont les Bouchard, Facal, Forget et compagnie. L’idée est pourtant contemporaine, d’une extrême lucidité tout en faisait appel à une véritable solidarité.
Mieux imposer: non pas une idée du Black Bloc mais de Warren Buffett, 7e plus riche financier au monde

Hier par exemple le réputé auteur américain Stephen King interpelait ses pairs en Floride car il ne comprenait pas que son gouvernement, celui d’Obama, ne l’imposait pas à 50 % au lieu de 28 % : http://www.express.be/joker/fr/platdujour/stephen-king-taxez-moi-m/167280.htm

Même le présidentiable François Hollande envisage un taux d’imposition de 75 % pour certains fortunés de France : http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/02/28/tranche-d-imposition-a-75-ce-que-signifie-la-proposition-de-m-hollande_1649139_1471069.html
Quel leader ou élu politique à l'Assemblée nationale osera avancer un tel taux d'imposition progressif?
De là, l’idée des "règles Buffett" promue depuis longtemps par le richissime Warren Buffett, l'oracle d'Omaha et proche conseiller économique du Président Barack Obama mais concept économique freiné toujours par ces conservateurs républicains de droite bien présents au Sénat US; une idée que se refuse aussi ces mêmes élus qui siègent sur les différentes banquettes de l’Assemblée nationale du Québec (et à la Chambre des communes à Ottawa) tout comme ceux qui flairent le Pouvoir ou sont en réserve de la République comme le « nini » François Legault!
Quels autres leaders autres que ceux de Québec solidaire oseront se lever en chambre ou même publiquement et avoir ce courage de défendre de telles règles d’imposition progressives qui sont inévitables au Québec? Seuls les contribuables ouverts à de meilleurs services de santé et d'éducation supérieure en sortiront gagnants.