Quand la mafia médicale s'en mêle

Vacciner sa fille de 9 ans, un cauchemar pour les parents

Suis-je une bonne mère ou un bon père si je refuse le vaccin pour mon enfant?

Tribune libre

La vague de vaccination contre le VPH (le virus du papillome humain) est lancée dans nos écoles présentement. Beaucoup de parents se questionnent sur la pertinence de faire vacciner leur petite fille de 9 ans en 4ième Primaire et de 14 ans en 3ième Secondaire et une troisième fois, après, jusqu’à l’âge de 26 ans. Suis-je une bonne mère ou un bon père si je refuse le vaccin pour mon enfant? Le Ministère de la santé est en faveur, les médecins gynécologues aussi, les pharmaceutiques également… Mais, pour prendre une décision éclairée, les parents doivent avoir accès à une information détaillée sur les avantages et les inconvénients du vaccin Gardasil. Actuellement, ce n'est pas le cas.
Des faits troublants
- Le Gardasil n’est pas un vaccin contre le cancer du col de l’utérus, mais contre l’infection virale au VPH. Ce vaccin ne protège que contre 70 % des formes du virus pouvant causer un cancer et n’est d’aucune utilité contre d’autres MTS ou une grossesse non désirée.
- Le Gardasil n’a été testé que pendant 6 mois en 2006 par la FAD aux États-Unis et 2 mois par Santé Canada, au lieu de 4 ans pour les autres vaccins développés antérieurement.
- Il n’y a pas d’épidémie au Québec, au Canada, ni dans le monde entier.
- Faute d’études complètes, on ne connaît pas la durée précise de la protection de ce vaccin ni ses effets à long terme, parce que ce cancer prend des années à se développer.
- Presque la majorité des femmes peuvent attraper l’infection au VPH au moins une fois dans leur vie, et moins de 3% vont développer des cellules cancéreuses. Plus de 90% des femmes infectées l’éliminent naturellement de leur système.
- L’infection au VPH peut conduire au cancer du col utérin, et ce cancer arrive au 13ième rang des cancers les plus mortels au Canada, dont 80 femmes seront atteintes par année au Québec, comparativement aux 4 600 à 5 000 canadiennes frappées annuellement par le cancer du sein au Canada.
- Même vaccinées, des femmes peuvent développer un cancer du col de l’utérus, dû aux souches de VPH sur lesquelles le vaccin n'a pas d'effet.
Des questions inquiétantes

- Existe-t-il une alternative au vaccin Gardasil? Oui. Le test Pap a réussi à faire régresser le taux de mortalité du cancer du col utérin de l’ordre de 95% ces dernières années. Comme prévention, le vaccin n’exempte pas de faire régulièrement le test Pap.
- Qu’est-ce qui a poussé le gouvernement fédéral, en 2007, à dégager 300 millions de dollars sans consultation publique, dont 70 millions destinés au Québec, et qui coûte les yeux de la tête et dont l'efficacité n'est pas prouvée? En effet, ce vaccin est le plus cher au monde, car il comporte 3 doses de 135.00$ chacune par enfant vacciné.
- Que va-t-il se passer une fois les fonds épuisés? Va-t-on continuer à vanter les vertus de cette vaccination comme dans le cas du H1N1 et être obligé d’en détruire des millions de doses?
- Savez-vous qu’un rapport du National Vaccine Information Center américain estime que plus de 5 000 vaccinées ont dû consulter en urgence à cause de troubles cardiaques, syncopes, convulsions ou vertiges? Et qu’à ce jour, 29 décès de jeunes filles ont été répertoriées dans le monde pouvant être reliés au vaccin Gardasil, et que dire du décès d’Annabelle Morin de Laval, décédée à l’âge de 14 ans, quinze jours après avoir reçu le vaccin?
- Que fait-on des additifs conservateurs ajoutés dans les vaccins, quand il s'agit de chlorhydrate d'aluminium, du mercure et autres, sachant qu’ils peuvent aggraver les risques de maladies dégénératives du cerveau (Alzheimer, Parkinson)?
La mafia pharmaceutique
La mafia pharmaceutique ne date pas d’hier. J’ai découvert l’empressement du gouvernement fédéral à débloquer les 300 millions de dollars. Ken Boessenkool, un lobbyiste et ami du grand patron actuel, Dawn Graham, de Merck Frosst Canada, a été l’ancien conseiller à la santé du premier ministre canadien Stephen Harper. Combien les grands de ce monde mafieux se connaissent! Les pharmaceutiques ont fabriqué une peur sociale de mourir si l’on n’a pas été vacciné, en plus de renvoyer une image d’irresponsabilité aux parents qui refuseraient le vaccin Gardasil. Et demain, je vous le prédis, ce sera le tour du vaccin Cervarix de GSK, l’autre firme concurrentielle de GlaxoSmithKline Inc. que Santé Canada a approuvé le 3 février 2010. Après le H1N1, il faut bien que cette pharmaceutique fasse quelques profits.
Conclusion
Ne vendons pas la santé de nos filles aux labos pharmaceutiques! La prévention du cancer du col de l’utérus est déjà effectuée par les frottis de dépistage du Pap; nous savons que la vaccination n’est pas efficace pour prévenir tous les cancers du col utérin; que ses effets néfastes à long terme sont inconnus. Donc, on est en droit de considérer cette vaccination inutile, dangereuse et couteuse. En tout cas, il n’a rien de criminel ni d’irresponsable de ne pas faire vacciner ses petites filles de 9 ans et de 14 ans. C’est la conclusion à laquelle je suis arrivé.
Références
La Fédération du Québec
Les 7duquebec
Protégez-vous
Le Réseau québécois pour la santé des femmes
Raymond Viger

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Marius Morin130 articles

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interpellé par l'actualité socio-politique

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7 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    18 octobre 2010

    Annabelle Morin est décédée 16 jours après la seconde injection du Gardasil , alors que 16 jours après la première injection, elle avait fait une réaction neurologique majeure, nécessitant une hospitalisation. Normalement, si la pharmacovigilance avait fonctionné, étant donné que cette vaccination avait été faite sans même le consentement des parents dans le cadre scolaire (vu qu'Annabelle avait 14 ans)et que cet accident neurologique avait été signalé à l'infirmerie de son école, ce premier accident neurologique aurait du être une contre indication formelle de recevoir la seconde dose ( qui lui fut fatale ). Cependant, je soulignerai avec inquiétude que le cas d'Annabelle n'est toujours pas répertorié dans les accidents post Gardasil, vu que le coroner à cette date, près de deux ans après sa mort, n'a toujours pas communiqué à la famille les causes de la mort de leur fille.
    Santé Canada , considérant donc sans doute que statistiquement il n'y a pas d'effets secondaires graves, a même donné son autorisation pour la commercialisation de ce vaccin pour les jeunes garçons au Canada. On est donc en droit de se demander combien d'Annabelle Morin nous cache t on ainsi dans les méandres de l'administration médicale... et combien en faudra t il d'autre au Québec pour qu'enfin les autorités de santé prennent en compte ces "accidents" ( qui ne sont pas du tout imprévisibles, vu que nous en sommes à près de 90 jeunes filles décédées dans le monde entier à l'heure actuelle.)
    En France, le 31 août 2010, le législateur a enfin réagit et a décidé que la publicité pour ce vaccin serait désormais interdite, vu que il a considéré que l'efficacité de ce vaccin n'était pas prouvée. Il était temps ! Cela faisait pas mal de décennies que la France avait pour habitude de dépenser des fonds publics pour faire de la publicité qui ne coûtait pas un sou aux fabricants de vaccins, en lançant de grandes campagnes aux frais du contribuable.
    Quant au rapport que cela peut avoir avec l'indépendance, cher Monsieur Cloutier, c'est que si indépendance vous faites, je vous souhaite grandement de la faire aussi indépendante de l'industrie pharmaceutique, vous savez, celle qui a eu à coeur lors de la fausse pandémie de 2009 que 55% des Québécois soient vaccinés contre 45% de l'ensemble des Canadiens Anglophones et moins de 8% des Français de la vieille Europe... ils auraient bien aimé que les français ne soient pas aussi méfiants à l'encontre de ce vaccin AH1N1 dont ils nous ont rabattu les oreilles, mais bon , que voulez vous, le français est emmerdeur, il se fait vacciner à 50% contre l'hépatite, suite à quoi le nombre de scléroses en plaques triple en France, et le brave citoyen français en arrive à se méfier.. je vous demande un peu.
    Une autre particularité du vieux continent, ce sont les obligations vaccinales contre le DTPolio, alors que le seul vaccin DTPolio sur le marché en France a été retiré des ventes pour réactions allergiques trop nombreuses et que le seul autre existant n'a pas reçu d'AMM pour les enfants de moins de 6 ans. Ce faisant, la loi française, décidément qui n'a pas fini de nous étonner avec ces contradictions, protège l'état français, parce que lorsqu'un parent consciencieux fait faire le DTP ajouté aux autres vaccins hexavalents ou pentavalents sur le marché français, si son enfant a le malheur de faire un accident post vaccinal, alors le législateur a tout le loisir de prétendre qu'il est possible aussi que les effets secondaires graves se sont produits à cause des vaccins non obligatoires... Les familles des victimes n'ont plus qu'à intenter une action en justice contre les multinationales multimilliardaires et capables de se payer des procédures interminables avec des flopées des meilleurs avocats.. autant dire que les victimes n'ont plus que leurs yeux pour pleurer.
    Il se trouve cher Monsieur, que j'ai suivi d'assez près la campagne lors de l'élection de votre dernier premier ministre, et que les arguments du PQ, entre autres, parlaient de réduire les attentes aux urgences à moins de 24 heures... Je me suis dit à la connaissance de cet élément singulier dans le programme, que nous étions mal logés en france avec la médecine, mais qu'on en était tout de même pas réduit à ça. Et vu que Madame Marois a contribué à mettre par terre le système de santé au Québec en licenciant en masse du personnel, il y avait sûrement de quoi aller fouiller dans les intentions des différents candidats aux élections concernant le dossier considérable de la Santé....
    Si vous parvenez un jour à votre liberté et je vous le souhaite, libérez vous également de ce joug de l'industrie pharmaceutique qui fait tout et n'importe quoi avec notre santé sur toute la planète....

  • Archives de Vigile Répondre

    17 octobre 2010

    Autant que je sache, lors des essais cliniques de ce vaccin, sur 2000 femmes testées, 7 sont décédées pour une "raison restée inexpliquée" et plus de 70% des femmes reconnaissaient une incidence notable sur leur état de santé. On peut se demander comment avec des résultats pareils de tests, les autorités officielles de santé de nos pays dits démocratiques peuvent encore donner les autorisations de mises sur le marché...

  • Archives de Vigile Répondre

    17 octobre 2010

    Qu'est ce que ça vient faire avec l'indépendance du Québec?
    Pierre Cloutier

  • Marie-Hélène Morot-Sir Répondre

    15 octobre 2010

    Désolée le lien ne s'est pas affiché correctement,
    dans le moteur de recherche Google, il faut écrire :
    Légifrance.gouv.fr gardasil
    puis cliquer sur " détail d'un texte" la page s'affichera cette fois, avec la législation du 31 août 2010

    Deuxième solution écrire dans le moteur de recherche Google:
    légifrance.gouv.fr
    puis lorsque la page s'affiche, dans "recherche" de ce site écrire "gardasil"

  • Archives de Vigile Répondre

    15 octobre 2010

    Voici le vrai film : Silence on vaccine, ça fait réfléchir. On peut aussi être un bon parent en protégeant la fertilité, la vaccination ne va pas du tout en ce sens !
    http://www.mtl911truth.org/?p=2201&langswitch_lang=fr
    Aussi une réponse à une vaccination indésirée :
    http://le-cri.info/?p=175

  • Archives de Vigile Répondre

    15 octobre 2010

    Le lien que nous a donné Mme. Morot-Sir ne fonctionne pas, c’est dommage. Ce sera sans doute corrigé dans peu de temps. Tous les vaccins ont des effets secondaires dont certains dangereux. Il est pourtant connu que les pharmaceutiques s’allient avec les autorités de plusieurs pays pour répandre plusieurs vaccins dont certains sont dangereux. Vous parlez de mafia médicale et malheureusement nous en avons eu la preuve récemment lors de la supposée pandémie. Évidemment certains médecins sont honnêtes et compétents. C’est comme les curés, il y en a des bons, ils ne sont pas tous pédophiles. Les pharmaceutiques par contre n’ont aucune éthique sinon le profit. Je vous inclus ci-après un texte déniché sur internet. Certains crieront au complotisme, le mot parfait pour ne pas avoir le courage de chercher, mais justement, j’invite tout le monde à chercher les vraies réponses. Voilà le texte :
    ………………………………………………………………………………………………………………………….
    Les effets sont les mêmes que ceux du fameux vaccin contre l'hépatite C, or les deux vaccins renferment de l'aluminium, lequel avait été pourtant mis en cause concernant les séquelles du vaccin contre l'hépatite C, vaccin qui fut quasi imposé aux collégiens dans les années 90. Mon sixième sens me fit refuser ce vaccin pour mon enfant, et j'ai bien fait, car l'une de ses camarades est en fauteuil roulant désormais.
    On dirait que le Gardasil est le recyclage du vaccin anti hépathite C, d'ailleurs les deux laboratoires concernés, l'un français l'autre américain sont les mêmes pour les deux vaccins.
    "6.06.2009
    Nouveaux signalements d’effets secondaires graves et de décès suite au Gardasil, rendus publics par Judicial Watch
    L’association conservatrice Judicial Watch, qui se définit comme un chien de garde (watchdog) en matière de corruption des puissances publiques des Etats-Unis, a publié le 22 juin un nouveau rapport sur les effets secondaires du Gardasil notifiés en 2008 au VAERS (système américain de recueil des effets indésirables de tous les vaccins), puis transmis à l’agence du médicament (FDA).
    Dans un communiqué au titre spectaculaire, Judicial Watch indique que « les nouveaux documents [qu’il] a obtenu font état de 28 morts liées au Gardasil en 2008 », après les 17 décès notifiés en 2007. Il est question de 6.723 effets indésirables signalés en 2008, dont « 1.061 sont évalués comme "graves" et 142 "mettent en jeu le pronostic vital" ».
    Le nombre total de décès s’élèverait ainsi à 47 depuis la mise sur le marché du vaccin. Sur les 47 décès, 41 sont intervenus dans le mois suivant la vaccination, dont 17 dans les deux semaines suivantes, indique le communiqué du chien de garde. La cause du décès est toujours inconnue.
    Rappelons que les autorités de santé américaines (FDA, CDC), de même que celles européennes (EMEA) ou françaises (AFSSAPS), affirment toujours qu’on ne peut pas prouver de façon définitive l’existence d’un lien de causalité entre les décès ou certains effets secondaires graves et le Gardasil. La même chose figure sur le site de VAERS lui-même, qui rappelle que les notifications n’ont pas fait l’objet d’une évaluation.
    Cela dit, l’argument n’est pas suffisant ; il peut toujours être retourné, puisqu’il n’est pas non plus possible de prouver qu’il n’y a pas de lien… Pharmacritique a toujours fait siennes les positions de la revue allemande indépendante « Arznei-Telegramm », qui n’est pas antivaccinaliste. en ce qui concerne plus particulièrement les effets secondaires, et sans préjuger de la causalité, ces signalements doivent constituer un fort signal d’alerte.
    Les notifications faites au VAERS depuis juin 2008 font état de 235 cas d’invalidité permanente, de 29 nouveaux cas de syndrome de Guillain-Barré et de 147 cas de fausse couche.
    62 signalements portent sur des verrues apparues après la vaccination par Gardasil. 21 jeunes femmes ont eu des verrues ailleurs que sur les organes génitaux, et notamment sur le visage, les mains et les pieds, et même sur tout le corps, dans un cas.
    Le dossier énumérant les décès et les effets secondaires peut être consulté sur Judicial Watch. L'association met en avant plusieurs exemples :
    • une femme a développé un cancer du col de l’utérus par les deux sérotypes de papillomavirus contenus dans le vaccin, et ce 15 mois après la vaccination complète, et se demande si le Gardasil est responsable de l’évolution aussi rapide en cancer. (L’argument sous-entendu étant que, habituellement, une dysplasie met une vingtaine d’années, voire plus, à évoluer vers un cancer) ;
    • une jeune fille qui a développé un syndrome de Guillain-Barré - maladie démyélinisante, neuropathie périphérique -, après la deuxième dose de Gardasil. Elle a dû avoir recours à des béquilles ou à un fauteuil roulant pour se déplacer. A cela s’ajoutent des troubles respiratoires, des migraines sévères, des gonflements du visage et des poignets. Après deux hospitalisations, la jeune fille n’a pas récupéré ;
    • une jeune fille de 19 ans sans antécédents médicaux récents a commencé à souffrir, onze jours après la vaccination, de réactions agressives, douleurs articulaires, épilepsie partielle complexe et convulsions, fatigue, sensations anormales, crises épileptiques de type « grand mal », douleurs musculaires, nausées, syncope, tremblements, somnolence, état post-ictal (automatismes, agitation et autres réactions pouvant survenir après des crises d’épilepsie) ;
    • une jeune fille est décédée de cause inconnue dans l’ambulance, alors qu’on l’amenait à l’hôpital pour soigner une complication intervenue deux semaines après la deuxième dose.
    Le président de Judicial Watch, Tom Fitton, a demandé à juste titre qu’il y ait une pause dans la campagne publicitaire et le battage médiatique de Merck, soutenus par des hommes politiques et par les autorités sanitaires, afin de permettre une étude scientifique de ces effets indésirables. Avant de vacciner des adolescentes encore plus jeunes.
    Le compte-rendu du précédent rapport de Judicial Watch, assorti de commentaires toujours actuels, peut être lu dans cette note.
    Remarques de Pharmacritique
    Rappelons que le Gardasil est censé protéger contre deux sérotypes de papillomavirus (HPV 16 et 18) sur les seize considérés comme à haut risque oncogène, ainsi que contre deux autres (HPV 6 et 11) sur la centaine de virus papilloma dits à bas risque et susceptibles de provoquer des verrues. Les critiques qui n’ont pas de position partisane quant aux vaccins en général - et ce sont les seuls que Pharmacritique prend comme arguments - reprochent à Merck, Sanofi-Pasteur MSD de faire de la rétention d’information. Ils reprochent aussi aux autorités sanitaires d’avoir autorisé le Gardasil – comme le Cervarix de GSK, d’ailleurs - sur une base scientifique très incomplète et sans preuve de l’efficacité et de l’innocuité de ces vaccins, notamment quant au soupçon de possible remplacement sérologique de certaines souches virales par d’autres, plus difficiles à neutraliser par le système immunitaire.
    Un soupçon existe aussi quant à un éventuel nombre plus élevé de dysplasies moyennes et de haut grade (CIN 2 et CIN 3), mais, contrairement à ce qu’on a pu lire à beaucoup d’endroits, ce soupçon n’est pas vérifiable selon les chiffres donnés par Merck et Sanofi Pasteur MSD et selon les analyses de la FDA, puisqu’il ne s’agit que d’un sous-groupe, et que les résultats sont uniquement numériques et n’atteignent pas une puissance statistiquement significative.
    Il est certes possible que les laboratoires aient fait de la rétention d’information là-dessus aussi, et Pharmacritique a remis en question les arguments assez étonnants avancés par Merck pour justifier ces résultats partiels. Mais les critiques ne devraient pas se tromper dans la lecture des statistiques et faire des généralisations hâtives, sous peine de discréditer l’ensemble des arguments. Surtout lorsqu’il s’agit de médecins, dont on attend plus de discernement et de précautions sur cet aspect-là aussi

  • Marie-Hélène Morot-Sir Répondre

    15 octobre 2010

    Monsieur Morin, merci de votre texte permettant la réflexion, de même cette nouvelle loi française qui peut y aider:
    La loi française dénonce et refuse les prescripteurs de Gardasil…Reste encore le retrait du marché de ce vaccin par l’AFSSAPS ? Souhaitons que Santé Canada suive ..


    www.legifrance.gouv.fr%2FaffichTexte.do%3Bjsessionid%3D%3FcidTexte%