OUI Claude, pour en finir avec les putschs !

Vivement la GRANDE PAIX des braves

C'est la députation le maître du jeu. C'est elle qui fait et défait les chef,fes

Tribune libre

Cher Claude,
Une phrase a particulièrement attiré mon attention de créateur dans votre titre le plus récent s'en prenant à RBG
Pour en finir avec le "putsch".
Réponse à M. Barberis Gervais
Claude G. Thompson 12 février 2012


« M. Frappier est maître de son œuvre, nous n’en sommes que les artisans. »

Un créateur n'est maître de son oeuvre que dans l'intimité de l'atelier, dès qu'elle en sort, qu'elle naît au monde, il n'est maître que des suivantes, le temps qu'il les pense et qu'il matérialise sa pensée dans une nouvelle oeuvre, et ainsi de suite.
L'oeuvre de Bernard Frappier n'est dès lors plus que la sienne une fois qu'il fait naître au monde un lieu d'information, de documentation et d'échanges souverainiste. D'autant que la matière même de cette oeuvre n'est rien d'autre que toutes les contributions qui y sont accessibles et qui ne sont pas son fait.
Ce qui du reste pose problème, ce nouveau type d'oeuvre médiatique doit obéir à un éthique nouvelle puisque rien n'a pu empêcher à ce jour que semblable corpus constituant une valeur inestimable soit vendu par son éditeur SANS que les auteurs de l'oeuvre, les milliers de contributeurs, n'aient ni mot à dire, ni rétribution à recevoir. Ce qui contredit le respect de la propriété intellectuelle, un incontournable dans toute société avancée supposée civilisée. Des recours je crois ont été intentés par les « artisans » de ce site, avec raison. Il faudra donc créer du droit pour mettre à niveau le droit actuel. Ce qui nous permet de prévoir le coup et de réfléchir à ce que votre affirmation suppose, et qui est tout sauf approprié. Les auteur,es ont été lésé,es dans leurs droits de suite et de propriété intellectuelle, et vous les lésez en prétendant que Bernard Frappier est maître après DIEU sur son navire éditorial.
Il est tout à fait immoral qu'une telle chose dénoncée ailleurs se produise ici. Ce qui pose la question de la propriété du corpus en question, y compris la question de sa gestion éditoriale.
Si techniquement l'éditeur-fondateur de VIGILE.net est bien propriétaire de ces pages, de son nom de domaine, etc., il serait immoral qu'il soit propriétaire plénipotentiaire de son contenu qui n'est pas son fait. Les créateur,trices de ce contenu n'en sont pas que des « artisans », si tant est qu'il faille dévaluer, rétrograder le rôle des artisans dans notre société et accorder aux « artistes » un statut et des droits devant supplanter ceux des « artisans ». D'autant que... je répète, les contributeur,trices de VIGILE.net, sont bel et bien les seul,es vraie,s créateur,trices de l'oeuvre en question.
Si l'éditeur-fondateur est libre de choisir quels textes seront publiés ou pas, il n'est pas autorisé à faire de la fausse représentation et de la désinformation pour autant en affirmant qu'il s'agit d'une TRIBUNE LIBRE. À partir du moment il affiche être à la hauteur de cette prétention, il ne peut plus interdire de publication des contributions qui respectent les règles éthiques pré-établies mais qui ont l'heur de contredire trop efficacement les partis-pris éditoriaux de l'éditeur. Vous ne pouvez pas ignorer qu'il l'a fait jusqu'au 27 janvier dernier, plus de 50 fois en 2010 et 2011, seulement en ce qui me concerne. Ce qui est inadmissible, vous devez en convenir. Rien ne permet de contrer le fait que ça se reproduise encore.
L'éditeur a le droit d'interdire de publication dans ses pages ce qu'il veut, mais non seulement il n'est pas MAÎTRE de ce corpus, pas plus que PROPRIÉTAIRE, et s'il veut censure le débat entre souverainistes, il lui faut alors supprimer le mot « LIBRE » de son affiche « TRIBUNE LIBRE ». Ce qu'il n'a pas fait pendant les longs mois où il a, à l'insu des lecteur,trices et contributeur,trices de VIGILE.net manipulé l'information, pipé les dés du débat. Le lien de confiance a été brisé. Il faudra le réparer et rétablir.
Quant à votre charge contre les arguments de RBG, vous seriez plus crédibles de dénoncer leur éventuels travers sophistiques ( je ne les analyse pas ici ), si vous-même n'en usiez pas.
« ... Comme pour tous ceux qui ont failli devenir curés, il vous est resté ce vieux fond d’études en morale... »

Vous vous attaquez ici clairement à sa personne, non à ses arguments. Cela n'a pas sa place dans un débat d'idée. Que la personne ait ou pas « failli devenir » curé, une attaque ad hominem caractérisée, ne fait que de manière sophistique disqualifier votre interlocuteur sans valablement contredire ses arguments, sans parler du procès d'intention que vous lui faite.
« ... on peut spéculer à vide » écrivez-vous. Effectivement ! Ce que vous faites vous aussi.
On peut le faire parce qu'il est pour l'heure impossible de démontrer par des preuves tangibles ( extraits de communications privées écrites ou orales ), que Bernard Frappier, Richard Le Hir, Pierre Cloutier, Gilles Duceppe et Bernard Landry, le SPQ libre ( qui s'est rallié ), pour ne nommer que ceux-là étaient de connivence pour ourdir un putsch contre Pauline Marois qui devait être effectivement engagé dès lors que Gilles Duceppe annonçait indirectement le fait qu'il sortait de sa retraite, tout en refusant de joindre l'équipe de Pauline Marois. On ne peut démontrer pour l'heure par de preuves tangibles que ces personnes savaient que Gilles Duceppe allait sortir de sa retraite à ce moment-là et que c'était le signal de départ pour les putschistes.
Par contre, « à moins d’habiter sur la planète Mars » ce dont « tous les Québécois,es » peuvent convenir, vous le premier,
- c'est que VIGILE.net avait pris fait et cause contre Pauline Marois depuis des années, et nommément, quand l'éditeur a publié un texte souhaitant la formation d'un autre parti et l'effondrement du PQ ;
- c'est que l'éditeur a pipé les dés du débat, quand on sait qu'il a interdit de publication nombre de contributions valides, ce, pendant des mois, comme vous le savez, et qu'il le fait encore, comme il l'affiche ouvertement en commentaire au texte suivant ( Les conséquences politiques du putsch raté - Louis Champagne - 2012 02 12 ) ;
- c'est qu’il y a eu concordance temporelle entre la publication de textes s'attaquant indirectement et directement à Pauline Marois via des attaques lancées contre son époux et l'annonce ensuite de la fin de la retraite politique de Gilles Duceppe ;
- c'est qu'on a même prétendu que la peu discrète richesse de Pauline Marois la disqualifiait quant à la défense de la cause de ce peuple, alors que la discrète richesse d'un Jacques Parizeau par exemple, ne le disqualifiait nullement ;
- c'est qu'il était question non pas tant d'enfoncer le programme de gouvernance soi-disant souverainiste dont ne s'est jamais distancié Gilles Duceppe, mais bien de faire d'énormes pressions pour que Pauline Marois démissionne afin de laisse le champ libre à Gilles Duceppe pour prendre la tête du PQ avant terme démocratique, ce, dans la plus grande des confusions pré-électorale, alors même qu'il ne s'est jamais distancié du programme tant décrié,
... il était question bel et bien de putsch, à savoir, faire en sorte que la députation force la démission Pauline Marois, puisque c'était le seul moyen de la faire quitter selon les statuts du PQ avant terme et avant les prochaines élections décisives à tenir à Québec.
Ces gens-là s'entendaient à tort ou à raison sur un point essentiel, Pauline Marois devait quitter avant terme et contre son libre gré. Et, l'annonce de la fin de la retraite politique de Gilles Duceppe, confirmée par le fait qu'il a publiquement annoncé y retourner pour laver son honneur, devait, avant le Conseil national du PQ, permettre de renverser Pauline Marois et placer sur son trône Gilles Duceppe, sans avoir aucune espèce de début de commencement de preuve qu'il romprait avec la GOUVERNANCE COLLABO mise toujours de l'avant par la députation du PQ.
On comptait non pas tant sur le renversement de la gouvernance soi-disant souverainiste et sur UN Programme COMMUN d'État DÉMOCRATIQUE digne de ce nom, ni ne comptait sur une rupture d'avec isolationnisme péquiste qui carbure comme les autres à l'électoralisme partisan soliTAIRE, mais bien sur le MESSIE-SAUVEUR, Gilles Duceppe évinçant Pauline Marois, comme on a compté sur le MESSIE-SAUVEUR Lucien Bouchard évinçant Jacques Parizeau et avant eux sur le MESSIE-SAUVEUR Jacques Parizeau évinçant Pierre-Marc Jonhson, sur le MESSIE-SAUVEUR René Lévesque évinçant Pierre Bourgault, sans parler de Bernard Landry, André Boisclair et Pauline Marois qui n'ont jamais été perçu,es comme des MESSIES-SAUVEURS, beaucoup s'en faut.
Or, combien de temps allons-nous participer de près ou de loin à ces guerres de palais, qu'on soit ou pas dans la confidence des putschiste ? Nous y participons en prétendant qu'il n'y a pas eu putsch, qu'il n'y en a jamais eu ou qu'il est bon qu'il y en ait. Chaque fois nous nous divisons en pure perte en omettant d'aller au fond. Nous restons à la surface du visage lisse ou moustachu des personnalités sans nous attaquer au fond, à ce qui peut permettre à ces personnalités d'être les agents de changements TOUS et TOUTES utiles à leur manière, faisant sur UN même Programme COMMUN d'État DÉMOCRATIQUE l'UNION des forces DÉMOCRATIQUES citoyennes et politiques de ce peuple.
OUI, vous avez raison, le fait de parler de putsch ne félicite personne, ni les soi-disant putschistes, ni NOUS TOUTES et TOUS qui y participons directement ou indirectement en TOLÉRANT qu'on y recoure encore et encore, comme si on était incapables de se préserver de ce fléau. Pour s'en préserver, il faut DÉPERSONNALISER la question et ce n'est pas en s'en prenant au PQ-Marois qu'on le fait.
On s'en préserve en visant la bonne cible
Quel,le que soit la ou le chef,fe, c'est la députation qui fait les chef,fes. C'est donc à elle, qui est IMPUTABLE autant de jure que de facto devant l'Histoire de ce peuple, qu'il faut s'en prendre.
Si nous avions protesté, NOUS, le peuple souverainiste, contre le départ de Jacques Parizeau au moment où les apparatchiks du tout Québec souverainiste n'avaient d'yeux que pour le mirage Lucien Bouchard, nous n'en serions pas là encore, à vouloir l'un, contre l'autre. Qui l'a fait à l'époque ?
Il nous faut donc protester contre tout ce qui outre-personnalise le débat. Nous devons viser la bonne cible et cesser de perdre tant de précieuses énergies et du temps si compté à nous quereller sur des diversions TOTALEMENT IMPRODUCTIVES en s'invectivant les un,es les autres en pures pertes « divisives ».
OUI, il y a et il y a eu guerres de palais, putschs et tentatives de putschs. Cela ne valorise personne, mais cette pratique ne disqualifie personne n'ont plus pour peu qu'on décide de ROMPRE avec l'outre-personnalisation et la messiesauveurisation de notre lutte de LIBÉRATION nationale, qui n'est pas la militante nôtre, mais bien celle du PEUPLE SOUVERAIN du Québec.
Il est grand temps qu'on détourne nos regards des « palais branlants » du sommet pour les tourner vers la base, vers LE PEUPLE. Et on ne peut le faire mieux qu'en mettant de l'avant la PRIMAUTÉ effective de la SOUVERAINETÉ DÉMOCRATIQUE de ce peuple qui est foulée aux pieds par un État du Québec/Canada à la démocratie tronquée de la base au sommet, qui n'est rien d'autre qu'une DICTATURE d'OCCUPATION que seul LE PEUPLE SOUVERAIN du Québec a l'autorité DÉMOCRATIQUE de RENVERSER démocratiquement.
Ce, dès lors que nous FAISONS l'UNION de nos forces DÉMOCRATIQUES, à commencer par les NÔTRES, citoyennes. À commencer par le faire de proche en proche, en cessant de nous entrexcommunier ou entrencesser mutuellement en pure perte, ce, par delà nos affinités électives, nos inimitiés, nos détestations personnelles. Comment être crédibles pour l'exiger des autres, l'exiger des partis, si NOUS-MÊMES sommes INCAPABLES de transcender cette contingence ACCESSOIRE, pour ENFIN nous concentrer sur l'ESSENTIEL.
- En l'occurrence, ROMPRE avec la GOUVERNANCE COLLABO qui a cours ici depuis 253 ans.
- En l'occurrence, faire pression sur les seuls maîtres du jeu à savoir : notre députation en exercice et candidate, dans et hors les partis, autant dans le PQ que dans QS, l'ON, le PI, les Verts et les démocrates des sans-partis.
Nous restent encore ± 8 longues semaines avant la mi-avril. Il faut apprendre à bouger vite, à nous retourner sur un 10 cents. Il faut innover, être créatif, sortir des ornières débilitantes de l'électoralisme partisan et de la personnalisation du politique. Nous POUVONS le FAIRE.
RBG n'est pas sans faute, personne ne l'est. Sa plus grande faute est de refuser de faire l'UNION de nos forces citoyennes et politiques. De persister à défendre une indéfendable politique INCAPABLE de faire l'UNION de nos forces et qui fait l'erreur grave de croire qu'on peut s'en passer de cette UNION. En cela, il n'est que pareil à Pierre Cloutier, Richard Le Hir et Bernard Frappier qui s'en passe également très bien de cette UNION.
Personne n'est à l'abri de l'erreur qui nous fait viser la mauvaise cible
Il faudra tôt ou tard, le plus tôt sera le mieux, la FAIRE cette INDISPENSABLE UNION des forces citoyennes et politiques de ce PEUPLE, à défaut, nous qui sommes INCAPABLES de la faire, NOUS ne faisons que trahir ce peuple, que trahir sa lutte de LIBÉRATION. Ce qui nous disqualifie d'office.
CQFD
- pas question d'appuyer quiconque qui REFUSE, ÉLOIGNE, CONTRE, ENTRAVE l'UNION des forces DÉMOCRATIQUES citoyennes et politiques de ce peuple ;
- pas question de voter ni pour le PQ, QS, l'ON, le PI qui tous prévoient former SEULS, un autre GOUVERNEMENT COLLABO de plus qui ne prévoit tolérer que s'applique un État de dictature d'occupation canadianisatrice SANS prévoir APPELER ce peuple à l'INVALIDER sur SON sol et sous-sol national et pour VALIDER un État dont les Actes constituants sont approuvés par le PEUPLE SOUVERAIN du Québec, à savoir : la RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE du PEUPLE SOUVERAIN du Québec ;
- pas question de voter ni pour la députation en exercice et candidate du PQ, de QS, de l'ON, du PI et indépendante, car elle prévoit toute agir UNILATÉRALEMENT sans PROGRAMME COMMUN d'État DÉMOCRATIQUE capable de faire l'UNION des forces démocratiques de ce peuple.

Voilà ce sur quoi peuvent s'entendre nos forces citoyennes mettant de l'avant l'UNION de leurs forces. À défaut, l'électoralisme partisan achèvera de faire s'effondrer la lutte de LIBÉRATION de ce peuple.
Les états-majors, la députation, les apparatchiks croient que nous allons encore marcher dans leurs chantages électoralistes respectifs, malgré l'avertissement donné le 2 mai par ce peuple, et donné surtout par les souverainistes eux-mêmes qui ont refusé de suivre les solennels mots-d'ordres de ses chef,fes en exercice et historiques. Gilles Duceppe, Pauline Marois, mais aussi Jacques Parizeau lui-même, et autres Gérald Larose.
METTRE FIN à la DIVISION
Dans VIGILE.net, nous avons pu chacun,e faire ces dernières années la connaissance de personnes que nous ne connaissions pas, que nous ne pouvions connaître, de partout au Québec, nous avons pu nous jauger, nous apprécier, nous détester aussi. Cet immense et virtuel vivier doit se prolonger dans des rencontres de pleins pieds et de vive voix. On ne peut se connaître vraiment à défaut, ni COMMUNIQUER vraiment.
Nous ne nous méfions pas assez de la virtualité. Elle a ses mérites et un immense et colossal travers, elle ne peut remplacer le contact et la communication directe. Comme nous prônons une ACTION DIRECTE, il faut passer aux Actes.
La COMMUNICATION est le nerf de la guerre
Nous DEVONS donc cesser de nous contenter de COMMUNICATION TRONQUÉE par la virtualité. Il faut des occasions de RENCONTRES autres que virtuelles.
Les États généraux du PEUPLE SOUVERAIN du Québec en serait une, mais pas suffisante, trois jours ne seront pas suffisants.
Il faut faire La GRANDE PAIX des braves, comme l'ont faite les Premières nations qui autrement s'égorgeaient mutuellement, ce que nous faisons allègrement métaphoriquement.
L'urgence de la situation le commande. Il faut y travailler, multiplier les occasions de VRAIES rencontres, à la base comme au sommet, pour DISCUTER ce qui doit l'être afin de trouver comment nous mettre d'accord. Ce ne sera pas facile, mais on ne pourra en faire l'économie. SANS ACCORD, il n'y a pas de petite musique capable de rythmer d'un seul pas la libération des peuples.
Cette commission citoyenne pourra donner l'exemple. NOS ÉLITES POLITIQUES doivent cesser de vouloir AGIR seules séparément l'une de l'autre. Il faudrait les enfermer quelque part et les séquestrer pour qu'elles se parlent, tant et aussi longtemps qu'elles ne se seront pas entendues pour toutes endosser sous VRAIE et MULTIPARTITE COALITION NATIONALE - Démocratie et Souveraineté du Québec, UN même Programme COMMUN d'État DÉMOCRATIQUE prévoyant sans délai ni condition APPELER ce peuple à USER de SES nobles et PLEINS POUVOIRS et DROITS démocratiques seuls capables de mettre fin à 253 ans de GOUVERNANCE COLLABO d'une DICTATURE d'OCCUPATION qui foule aux pieds la SOUVERAINETÉ DÉMOCRATIQUE de ce peuple.
La VIGILE de l'An 1 en serait une. Ce prochain samedi 18 février, 14h, nous soulignerons à Québec 1 an de commission citoyenne PLACE du PEUPLE SOUVERAIN du Québec ( dont on nous expulse chaque semaine depuis le 23 juin 2011 ).
C'est une occasion... pourquoi ne pas la saisir !?
Une occasion de rencontre en terrain neutre, une occasion de VRAIE rencontre trans-partisane, trans-idéologique, égalitaristes et trans-générationnelle. Ça tombe bien, c'est à Québec que ça se passe, la Capitale nationale du PEUPLE SOUVERAIN du Québec qu'on veut libérer.
Andrée Ferretti sera des nôtres, que RBG que je n'ai jamais rencontré et que je crois à tort connaître via VIGILE.net, vous que je connais peu, nous nous sommes rencontrés qu'une brève fois, que MM Gilbert Paquette, Richard Le Hir, qui se sont déplacés déjà, que Pierre Cloutier, Bernard Frappier et tant d'autres soient des nôtres pour fraterniser, se PARLER, pour s'entendre, n'est-ce pas un pas dans la bonne direction CONCORDATAIRE qu'il nous faudra prendre quoiqu'il arrive, à défaut, il n'arrivera rien de ce que nous prétendons espérer, et tout ce contre quoi nous nous battons.
Ce, à l'heure où QS et le PQ refusent encore sous tous fallacieux prétexte de TROUVER COMMENT faire l'UNION des forces démocratiques de ce peuple. Le derniers en date serait selon Amir Khadir, le temps compté et la « sincérité des engagements ».
Bien sûr que le temps et compté, voilà pourquoi il faut AGIR. Nous pouvons le faire dans la « sincérité » de nos « engagements » envers ce peuple. Et cette sincérité peut transcender toute chose y compris la confusion actuelle, s'il n'est pas seulement question d'alliance électorale, mais bien d'alliance politique radicalement DÉMOCRATIQUE capable de permettre à ce peuple d'USER sans délai ni condition de SES nobles et PLEINS POUVOIRS et DROITS démocratiques par delà la gouvernance de l'État plus à gauche ou plus à droite, ce, pour peu qu'une députation coalisée dans et hors les partis s'ENGAGE à l'APPELER ce PEUPLE SOUVERAIN à trancher selon son bon plaisir Souverain, entre DICTATURE d'OCCUPATION canadianisatrice et DÉMOCRATIE.
Pourquoi M. Khadir n'accepte-t-il pas de se déplacer pour en parler avec nous ce samedi 18 février, puisque le temps est compté puisqu'il endosse le principe du Dispositif de proportionnelle pragmatique que nous mettons de l'avant ?
Amitiés citoyennes
Luc A.
Opération VIGILE du samedi | la PAROLE CITOYENNE en Acte | Québec | Montréal | Mont St-Hilaire | un temps à Cowansville et Gatineau


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