La persévérance comme gage de succès
9 août 2024
Bonjour M. Marineau,
Bravo pour votre texte; je ne puis qu’être entièrement d’accord avec votre réflexion.
Pour le pourboire, il faut recommander de ne pas succomber à la facilité en ajoutant celui-ci par un pourcentage sur la facture lorsqu’on paye par carte de débit ou de crédit : il faut idéalement toujours le donner en argent sonnant à la personne qui a donné le service.
Quant à la persévérance scolaire, je travaille actuellement sur un projet qui malheureusement ne verra pas le jour avant des années : l’enseignement de «l’amour, l’art d’aimer» aux adolescents à même leur cursus scolaire du secondaire.
À cette fin, j’ai écrit deux conférences qui se retrouvent facilement sur mon blogue : http://francoischampoux.wordpress.com/ sous les titres suivants :
L’amour, l’art d’aimer; conférence 1, 23 décembre 2023
L’amour, l’art d’aimer; conférence 2, 23 décembre 2023
J’ai tenté de sensibiliser les universitaires de haut niveau à ce défi, mais ça ne lève pas; seule une professeure d’un CÉGEP a répondu favorablement à ce projet, mais encore là, le tout s’est arrêté à des expressions «POUR» le projet. Il faut des actions, des engagements politiques à orchestrer cet enseignement; il faut en parler, dialoguer sur ce sujet jusqu’à se convaincre (ou non) de sa pertinence. Sans actions, sans débats sérieux, le tout demeurera lettre morte, que de bonnes intentions sans résultats concrets! Et les taux de décrochages scolaires, de violences psychologiques et même physiques, de suicides des ados, etc. vont croître et la dangerosité de notre monde va poursuivre sa progression.
Une loi contre harcèlement psychologique ne peut être suffisante; ça prend de vraies actions pour contrer positivement un fléau de violence. Les bonnes intentions ne peuvent suffire.
François Champoux, Trois-Rivières