CROP-La Presse prédit l'extinction du Bloc
24 août 2014
Pendant ce temps, des « jovialistes » s’excitent avec leur « génial libellé » d’un hypothétique prochain référendum. J.P.B.
Yesssssssss!
Tueries et pouvoir
Je vous dis à genoux
Si le P.Q. est sérieux...
sur un nouveau sentier!
Le vote anglo allié indéfectible du PLQ
Le temps des épaulettes
Qui cette fois ? Pierre Craig ?
Ah ben ta...
Le remaniement de l'article #1 selon Pierre Cloutier
Drainville et Lisée ont un tipeu beaucoup raison
Retour sur un champ de ruines
Les médias et le West Island ont suffi!
Les vieux cuisiniers
Au P.Q. de s'enligner en conséquence
Passer à autre chose...
24 août 2014
Pendant ce temps, des « jovialistes » s’excitent avec leur « génial libellé » d’un hypothétique prochain référendum. J.P.B.
Yesssssssss!
23 août 2014
« Il faut s’unir plutôt que se chamailler » dites-vous, Louis Champagne. Je crois que vous avez raison. Mais il arrive parfois qu’il faut se chamailler beaucoup pour s’unir un peu.
Le Bloc est maintenant libéré du dauphin à Jacques Parizeau. Soit dit, j’aime Jacques Parizeau, malgré que la presse et l’ensemble des médias du West Island se servent de lui pour que les indépendantistes brassent vous savez quoi. J’aime surtout que le nouveau chef du Bloc provienne de la S.S.J.B. Contrairement au « dauphin » qui n’a jamais manqué de se moquer des « nounous », il me semble que Mario Beaulieu ne sera pas craintif de s’adresser à Nous. Je crois que ce gars-là va dire la vérité. La vérité, c’est que je l’espère plus que je ne le crois.
Malgré, donc, qu’il provienne de la S.S.B.J., si Mario Beaulieu veut entretenir l’électorat uniquement d’indépendance, je craindrais beaucoup qu’il ramène le Bloc exactement là où se sont retrouvés le P.I. et O.N., dont l’immense légitimité ne leur est d’aucune utilité politique.
On ne peut pas perdre tous les rounds et espérer gagner le Combat.
21 août 2014
Le piétinement de l'option souverainiste n'a jamais eu besoin des "conditions gagnantes" pour "jambetter". Deux référendums perdus ont plombé davantage notre Cause que toutes les astuces politiciennes.Et c'est rigoureusement vrai que quelque chose s'est brisée lors du référendum de 1995.Ce n'est pas "le Québec" qui a perdu son élan, c'est Nous qui avons perdu quelque chose, précisément dans ce que Nous avons de plus précieux : la confiance dans notre identité de majoritaires.
21 août 2014
@ Pierre Cloutier.
Ce mépris et cette arrogance que vous manifestez, ce procès perpétuel que vous faites encore à Pauline Marois, qui est allé sur Vigile bien plus loin que de la traiter de vieille picouille, ce minable procès que vous faites inutilement à l’intérieur du mouvement indépendantiste, cette détestable façon que vous avez de toujours dresser les indépendantistes les uns contre les autres, cela ramène toujours votre petite personne à l’avant scène, comme si étiez le procureur de la vertu indépendantiste.
Prenez donc votre place, s’il vous plaît. Et apportez donc sur Vigile le ton formidable que vous avez déjà fourni à l’égard du scandale des PCAA……plutôt que de toujours ressasser des cendres.
La Marche de l’Indépendance se continue. De fait, elle s’est toujours continuée, même si elle a tourné en rond longtemps. Précisément, vous n’êtes pas le seul empêcheur de tourner en rond sur Vigile, ni le seul qui espère. Fa que…
Fa que, comme disait un certain Dédé, enligne-toé donc s’tie !
21 août 2014
@ Pierre Cloutier.
Ce mépris et cette arrogance que vous manifestez, ce procès perpétuel que vous faites encore à Pauline Marois, qui est allé sur Vigile bien plus loin que de la traiter de vieille picouille, ce minable procès que vous faites inutilement à l’intérieur du mouvement indépendantiste, cette détestable façon que vous avez de toujours dresser les indépendantistes les uns contre les autres, cela ramène toujours votre petite personne à l’avant scène, comme si étiez le procureur de la vertu indépendantiste.
Prenez donc votre place, s’il vous plaît. Et apportez donc sur Vigile le ton formidable que vous avez déjà fourni à l’égard du scandale des PCAA……plutôt que de toujours ressasser des cendres.
La Marche de l’Indépendance se continue. De fait, elle s’est toujours continuée, même si elle a tourné en rond longtemps. Précisément, vous n’êtes pas le seul empêcheur de tourner en rond sur Vigile, ni le seul qui espère. Fa que…
Fa que, comme disait un certain Dédé, enligne-toé donc s’tie !
21 août 2014
Le défi des indépendantistes, ce n’est pas le programme. Cela n’a jamais été le programme. Le véritable défi qui nous est posé, c’est exactement le même qui Nous a toujours été posé : le West Island. C’est le discours, le problème, ce n’est pas le programme. C’est le Discours à tenir peu importe le programme, qui lui ne vaut pas mieux qu’une crotte de nez. Ce ne sont pas les bons ou les mauvais programmes du P.Q. qui ont tenu et qui tiennent l’Indépendance en échec, c’est le West Island à lui seul, cette gang qui parle très bien et écrit très bien aussi elle-même en français… mais qui peut compter surtout, hélas, mille fois hélas, et depuis toujours, sur un électorat captif anti-Québec.
Il n’y a d’électorat anti-Écosse en Écosse comme il y en a un anti-Québec ici. Cela n’est jamais dit à propos de la gang du West Island. C’est lui le premier, le West Island, qui tient le plus à la « Province de Québec », parce qu’un minuscule électorat anti-Québec a servi à lui fournir très longtemps l’impulsion nécessaire pour qu’il domine tout le Canada. Les Trudeau, père et fils, sont en droite ligne de cette triste clique.
Les Conservateurs sont une gang de pas-fins? Sans doute. Mais grâce au Bloc, ils ont ravi le Pouvoir au West Island et entendent en remettent à l’avenir en se servant du N.P.D. Pour eux, puisqu’ils sont absents au Québec, n’importe quoi alors au Québec plutôt que cette vieille clique du West Island, provenant du Québec mais qui reste virale en Ontario, qui n’ont jamais rien compris ni du Québec non plus que du Canada. Il suffit d’écouter le leader des libéraux pour reconnaître toute la fourberie du West Island.
Le défi des indépendantistes n’est pas de s’écrire un programme, c’est de surmonter le système établi à la seule fin de contenir les Tremblay d’Amérique. (Comment le faire sans s’appuyer sur Nous d’abord !?) Autrement dit, ce n’est pas parce que le Familly Compact s’est aboli quelque part qu’une clique a cessé toute activité chez Nous.
Hormis René Lévesque, absolument personne parmi les prétendants « libérateurs de peuples » péquistes, personne n’a jamais osé une seule fois affronter le West-Island. Et s.v.p., S.V.P, de grâce, s.v.p., lâchez-nous une bonne fois avec Jacques Parizeau et son dauphin, qui sont tous les deux adroitement récupérés et régulièrement utilisés par nos ennemis.
18 août 2014
Trop « radical » Mario Beaulieu ? Ben voyons donc ! C’est Gilles Duceppe qui s’est comporté comme un « ambassadeur » du Québec et qui voudrait une extension de mandat à Québec. La Province de Québec a toujours eu ses « ambassadeurs » à Ottawa ainsi que ses « représentants » au conseil des ministres. Mais ça, c’était la game des fédéralistes. Ben oui, ben oui, Gilles, la game des fédéralistes…
Bravo en faveur de Mario Beaulieu. Le Bloc n’a plus rien à perdre à devenir plus incisif.
14 mai 2014
'Eh oui, sous prétexte de détester seulement les séparatistes, lorsqu'on les décode froidement, ce sont bel et bien les Tremblay d'Amérique qui sont le plus détestés par les plus pourris du West Island. Des anti-Nous...Faut-il s'en surprendre? Des anti-Nous, il y en a même parmi nous, les indépendantistes.
L'indépendance n'est pas dans une impasse. Elle est en danger.
14 mai 2014
o Carlos Leitao, évoque l’existence d’un déséquilibre fiscal et s’attend à recevoir de l’aide d’Ottawa pour parvenir à réduire son déficit budgétaire. J.B.
Et il pourrait bien obtenir ce qu’un gouvernement indépendantiste a déjà reçu du temps du gouvernement Landry, mais n’aurait jamais-jamais reçu le gouvernement Marois. Qu’est-ce à dire ?
a) le gouvernement Landry avait déjà perdu tout ressort, ce qui est la situation du P.L.Q. actuel.
b) au contraire,le gouvernement Marois constituait une menace, mais bien faible, compte tenu de sa situation minoritaire.
Fait longtemps que les rouges ne sont plus des adversaires. Ce sont des ennemis de l’Indépendance, qui devraient être traités sans plus aucun ménagement.
14 mai 2014
Vous avez bien raison Gaston Carmichael.
Mais combien d’autres pourris comme Tremblay au Bloc, comme Mourani, comme Dorion, eh oui, l’anti-Nous en toutes circonstances, comme d’ailleurs son ancien camarade-chef, combien d’autres pourris dans le placard de Gilles the Bloc Duceppe ?
12 mai 2014
Les jeunes qui se réclament d’O.N. ne représentent personne parmi leur génération. La génération des 18-34 ans qui déserte le P.Q. ne s’est pas ralliée davantage à O.N. qu’à ce vieux P.Q. des boomers.
À la dernière élection, le Parti O.N. malgré pourtant la bénédiction du plus grand indépendantiste de tous les temps, a reçu moins de votes que lors de sa première participation, lors de l’élection précédente. O.N. est passé de 80,000 votes à 30,000 votes. Très manifestement, la génération des 18-34 ans n’est pas davantage à l’écoute des « jeunes » d’O.N. Pourquoi faudrait-il alors que les vieux péquistes se mettent soudainement à écouter de jeunes indépendantistes qui n’ont aucun ascendant ni aucune influence auprès de leur propre génération ?
C’est Lisée qui a raison. Et c’est encore Parizeau qui divague.
12 mai 2014
« La construction d’un État est un fait qui précède le droit. Cette construction est lente, mais permanente dans le temps. L’attente d’un mythique référendum est un piège mortel »
Fort bien. Tout cela est exact. Mais alors, comment espérez-vous vous y prendre pour continuer « cette construction lente », si le P.Q. ou n’importe lequel parti indépendantiste n’arrive jamais au pouvoir de la très provinchiale provinche de Québec ?
Si vous preniez l’exacte mesure de l’élection de 2014, vous admettriez qu’aussi bien le référendum que l’élection référendaire sont deux lignes qui ont été enfoncées par les médias fédéralistes et le P.L.Q. ensemble.
Certes, Pauline Marois et ses conseillers ont fait en 2014 la plus mauvaise campagne imaginable. Croyez-vous sérieusement, cependant, qu’en pleine campagne électorale, si plutôt que de dire « peut-être un référendum », elle avait dit quelque chose comme il n’y aura pas de référendum, nous comptons déclarer l’Indépendance du Québec dès notre élection, et par le fait même nous affranchir du pétrole le lendemain, pouvez-vous croire aujourd’hui cette pure fabulation que le P.Q. s’en serait mieux tiré ?
Manifestement, le déni existe. Il existe hélas un parti indépendantiste pour porter spécifiquement le déni indépendantiste. C’est celui que préfère Jacques Parizeau. Mais ce n’est pas le P.Q….et c’est très bien ainsi.
Personne ne suit Marcel Haché. Soyez le premier!