Pour en finir avec la corruption fédéraliste
29 avril 2013
Il n’y a rien de changé chez les fédéralistes. Je parle des éléments "actifs".
Cependant, ce qui est changé radicalement, c’est la position des libéraux. Je parle évidemment ici des éléments "actifs" chez les libéraux (pas de leur électorat anglo, emmuré, ou abusé, chez Nous) qui, après avoir mis un genou par terre lors du départ de ses éléments les plus progressistes- je parle de ceux qui sont à l’origine du P.Q.- ce P.L.Q. qui s’est inféodé ensuite de plus en plus au West Island, en mettant un deuxième genou par terre. Nous y sommes.
Ces fédéralistes-là, ces libéraux-là, ces collabos-là, qu’ils soient d’ici ou de l’Ontario, sont prêts à signer la félonie de 1982 sans même aucun signal récent provenant d’Ottawa et, en ce sens, ils se sont coupés de la nation.
Et c’est d’abord parce qu’ils se sont coupés de la nation qu’ils puent autant. Les 10 années du gouvernement Charest en témoignent, qui empestent à la Commission Charbonneau.
Car c’est bel et bien cette gang d’"actifs" pour eux seuls qui voudraient bien Nous faire croire qu’ils travaillaient pour Nous. Et vous verrez Coderre et Deguire essayer de Nous faire croire que même à genoux et puants, ils sont de grands combattants.
Vivement un grand vent. Un grand coup de balai. Un Redressement…