On ne vote plus pour un candidat, mais pour un groupe d'appartenance
En appliquant concrètement quelques principes d'analyse de psychologie sociale, on est à même d'observer qu'on ne vote plus pour un candidat, ni pour un parti, ni pour un programme électoral, mais bien en fonction du groupe d'appartenance auquel on s'identifie, et contre un autre auquel on ne veut pas être associé. Le phénomène observable était on ne peut plus clair lors des interminables élections américaines (quan...