Les Écossais prêts à tenir un autre référendum rapidement
Les écossais pourraient être rappelés aux urnes si Londres ne tiens pas ses promesses de partage de pouvoirs tenues lors de la campagne référendaire.
À lire sans faute si vous maîtrisez l'anglais
Jean Chrétien s'adresse à la nation écossaise et leur fait part de son expérience en matière de «réconciliation», ayant été au cœur de deux référendums sur l'indépendance.
Infranchissable, peut-être. Incontournable, certainement pas
Au lendemain du référendum écossais, notre barde national Gilles Vigneault a dit trouver dommage que le verbe avoir l’emporte une fois de plus sur le verbe être.
« Sortir le projet souverainiste du registre du rêve et de l’idéal pour le ramener dans celui de la realpolitik »
Géopolitique 101
L'occasion manquée
On ne fera pas la souveraineté du Québec par procuration. Certes, il aurait été intéressant de voir la dynamique politique qui aurait résulté d'un Oui gagnant en Écosse. Mais au-delà des résultats, il fallait se demander en quoi la leçon écossaise pouvait (et peut encore) servir notre cause. Malheureusement, ce fut une autre de ces occasions manquées.
Une situation très compliquée après le NON
En promettant, dans la panique pré-référendaire, une dévolution de pouvoirs à l'Écosse, les Anglais se sont mis dans de beaux draps.
Il vient de comprendre !
Alex Salmond avance l'idée de l'indépendance Écossaise sans la tenue d'un autre référendum.
«Le temps joue pour les indépendantistes»
Dans le cas où Londres ferait défaut sur ses promesse à l'écosse, s'enclencherais un deuxième référendum largement favorable au OUI.
Et ça ne fait que commencer...
Le premier ministre britannique David Cameron a rencontré hier la direction du Parti conservateur pour tenter d'apaiser les tensions provoquées par le référendum sur l'indépendance de l'Ecosse, écrit lundi le quotidien Novye Izvestia.
Un (autre) référendum paqueté ?
Que reste-t-il des valeurs occidentales ? Rien. Pas même le petit lambeau de semblant de démocratie qu’était le vote. Que n’avons-nous entendu, d’un ton méprisant, sur les ‘’républiques bananières’’, ou sur les ‘’dictateurs’’ élus à 99% ? Comme c’était réconfortant de penser que cela ne se passait que de l’autre côté des mers, chez les peuples démocratiquement ‘’immatures’’.
Le NON écossais introduit le ver de la désunion au Royaume-Uni
Connaissez-vous les Corniques? Les 500 000 habitants des Cornouailles, descendants d'un peuple celtique dans la pointe sud-ouest de l'Angleterre, ont une administration régionale. Mais pourquoi n'auraient-ils pas leur propre Parlement, avec pouvoirs dévolus, comme les Écossais?
Les causes de l'échec
Le jour du scrutin et le lendemain, j’ai sondé au-delà de 2000 personnes ayant voté au référendum écossais. Les résultats nous aident à comprendre ce qui s’est passé et quelles en sont les raisons.
Pourquoi ne sommes-nous pas surpris ?
Manœuvres douteuses (vidéos ci-dessous), alarmes d’incendie intempestives, des gens qui votent pour d’autres, etc. Il était écrit que l’Ecosse ne devait pas accéder à l’indépendance par référendum.
Les Écossais n'en sont pas à leur première gueule de bois
Les indépendantistes écossais avaient la gueule de bois, vendredi, au lendemain de la victoire convaincante du Non avec 55,3 % des voix. Le premier ministre Alex Salmond, qui a dirigé avec brio la campagne du Oui, a pris tout le monde par surprise en annonçant sa démission.
Salmond : La campagne pour l'indépendance de l'Écosse continue
Le leader indépendantiste Alex Salmond a annoncé vendredi qu’il allait démissionner de son poste de premier ministre d’Écosse et de la tête du parti national écossais SNP, quelques heures après la large défaite du Oui à l’indépendance au référendum d’auto-détermination.
C'est NON. À la prochaine fois
Les indépendantistes écossais ont manqué leur rendez-vous avec l’histoire. Le Non a remporté une victoire sans équivoque au référendum de jeudi, sauvegardant une union politique vieille de 307 ans avec le Royaume-Uni.
La roue du changement s'est mise à tourner
Près de 4,29 millions d’Écossais sont appelés à voter pour décider de leur indépendance. La campagne a été passionnée jusqu’à la dernière minute, au point où certains craignent des divisions durables. Reportage de notre envoyé spécial à Édimbourg.
Avantage au OUI
Le camp du Oui est en train de remporter la guerre des publicités. Voici un florilège des meilleures affiches de la campagne.
En 1995, Ottawa avait payé la modique somme de huit millions de dollars pour louer tous les panneaux publicitaires Mediacom disponibles au Québec. Ceux-ci n’ont que partiellement promu le fédéralisme, la plupart des publicités se contentant de vanter les services des ministères.
Les chances du OUI
Les deux camps sont confiants face au référendum de demain, chacun pouvant croire qu'il est en tête dû à de multiples sondages. Les deux camps possèdent aussi des atouts moins évidents.
Une maturité politique enviable
ÉCOSSE
Une organisation appuyant l’indépendance de l’Écosse craint des représailles de Londres si jamais le Non gagne
Alors que les milieux d’affaires multiplient les prophéties apocalyptiques au sujet de l’indépendance de l’Écosse, les petites et moyennes entreprises se rangent résolument dans le camp du Oui et craignent des représailles de Londres si le Non devait l’emporter.
Écosse : les fondements du YES
On roule quoi ? Un mille vers le nord. À travers la brume, on distingue trois drapeaux bleus et une borne : « Scotland ». Autrement, la ligne imaginaire qui sépare l'Angleterre et l'Écosse n'a de frontière que le nom.
Lysiane Gagnon étrangement sereine dès lors qu'il ne s'agit pas du Québec
Le Québec vivant ces jours-ci à l'heure écossaise, nombre de commentateurs ont conclu un peu vite que contrairement aux souverainistes québécois, les indépendantistes écossais pratiquaient un «nationalisme civique», axé sur l'économie plutôt que sur la culture, sur les questions sociales plutôt qu'identitaires.
Tous les espoirs sont permis
Le plan méthodique des indépendantistes porte ses fruits
Par un beau samedi après-midi d’automne, une dame attend les clients à la sortie d’un supermarché, rue Portobello, au nord d’Édimbourg. Une pile de dépliants du Oui à la main. «Votez pour l’avenir de vos enfants ! Une occasion comme celle-là n’arrive qu’une fois dans la vie !»
Les petits jeux vicieux de la perfide Albion
Le camp du NON déclare qu'il contestera le résultat du référendum dans le cas d'une victoire du OUI.
Petite leçon de savoir-vivre
Les Québécois ayant passé des décennies à se battre sans succès pour obtenir leur propre pays se retrouvent désormais à vivre passionnément à travers les Écossais.
Encore le coup de la Brinks!
RÉFÉRENDUM
C’est comme si l’écho du référendum québécois de 1995 résonnait sur les vieilles pierres d’Édimbourg. À cinq jours du vote sur l’indépendance de l’Écosse, la panique s’est emparée du camp du Non, qui mène une campagne de peur sur les risques d’une rupture avec le Royaume-Uni.
À l’approche de l’Halloween…
PERSPECTIVES
Lorsqu’on menace de briser un pays, on soulève tout de suite un débat émotif où les arguments économiques prennent souvent toute la place, quitte à ce qu’ils disent, parfois, n’importe quoi.
Le référendum écossais aura aussi des conséquences sur le processus québécois
Chacun retient son souffle. Pour Madrid et Barcelone, le référendum écossais est plus qu’un événement majeur de la vie politique britannique et bien davantage qu’un casse-tête pour l’Union européenne (UE).
Petit message aux fédéralistes indécrottables, vendus à des intérêts autres que ceux du Québec et des Québécois
Qui aurait pu croire ?
Rien ne résistera à l'avalanche de l'histoire lorsqu'elle se mettra à déferler
Plus que huit jours avant le référendum de l’indépendance de l’Écosse, et tous les sondages pointent vers un résultat très serré, à l’image de celui du Québec en 1995, alors que personne il y a encore trois mois ne donnait de grosses chances au camp du OUI tant l’écart entre les deux options semblait presque insurmontable en faveur du NON.
L’effet de contagion d’un OUI écossais
The Catalans and Basques will be watching carefully; and further afield, separatists in Flanders, northern Italy and elsewhere will be jumping up and down with joy if Scotland votes for independence
GÉOGRAPHIE
L'auteur de sa biographie le confirme dans une dédicace
Que le mouvement Pro-vie soit renommé Pro-naissance
Tout être humain conçu mérite de venir au monde
Politique québécoise
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Photo ci-contre, de gauche à droite : Félix-Antoine Duval, Sophie Deraspe et Mathyas Lefebure.
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