Élection paradoxe et leçon simplexe
2 mai 2011, un vote référendaire québécois non commandité par les politiciens
Le prochain dans quinze ans?
L'élection du 2 mai dernier fera cas d'école. A date, je note avec étonnement que les commentateurs médias et bien des analystes sont versés une fois de plus dans la complaisance. On ne fait que faire dire à ce scrutin ce qu'on veut faire entendre! Ça. c'est aussi quelque chose à comprendre. Ce scrutin s'avère d'abord une boîte à paradoxes. Le gouvernement minoritaire de Harper est tombé pour «outrages au parlement»...