Le PQ, muet sur la souveraineté, attendrait d'être "le gouvernement de TOUS les Québécois" pour en faire la promotion... Un discours déshonorant! Faux! Lourdeau! Irresponsable! Stop, on va devenir méchant! Que le PQ médite "La légende du Chien d'Or". Raymond Archambault, tais-toi!!! FERME-LA!!!
«Mme Marois se débrouille très bien avec son image», ajoute M. Archambault
Le Canada serait donc une entreprise en train de perdre son marché québécois parce que le produit offert ne correspond plus aux intérêts des Québécois... surtout parce que cette clientèle est méprisée du haut en bas de la pyramide canadian!
Si le PQ était une entreprise, on pourrait dire qu'il a quatre problèmes?: son PDG, sa marque, son produit, et son marché.
C'est la fin!
Mme Marois n’a plus autant d’ascendant sur les troupes. Au dernier conseil général, quand elle a rappelé aux militants qu’elle ne les avait « pas lâchés », Mme Marois a aussi lancé : « Des fois, je me demande pourquoi je fais tout ça. » Le vétéran François Gendron a lancé clairement : « Nous aussi ! »
S'il faut savoir raison garder, il faut aussi être vigilant. Les bouleversements de la dernière année ont libéré des forces longtemps brimées. Le meilleur comme le pire peut en surgir.
Rêve californien, réalité québécoise.
«Pour bien des gens, consulter un médecin est un luxe, dit-il. Jamais je n'aurais imaginé qu'il y avait autant de gens dans le besoin.»
L'injustice dénoncée par les «indignés» de Wall Street n'a rien à voir avec la réalité au Québec.
100% intox!!! Les pourris tentent de "socialiser" la culpabilité... En retard d'une guerre, le bonhomme. Des "erreurs de jugement et/ou des manquements éthiques"?, osez-vous dire. Des crimes, oui, par des criminels pour qui la puissance et l'éthique ont divorcé depuis 500 ans. Réveille, bonhomme!
Les intermédiaires financiers essaient d'offrir aux emprunteurs et aux investisseurs des produits financiers adaptés à leurs besoins.
Devant le gâchis qu'a causé Jean Charest, il ne reste plus qu'une chose à faire. Exiger que cette commission en soit une en bonne et due forme, selon la Loi sur les commissions d'enquête, avec pleins pouvoirs.
«Il n'y a pas de précédent judiciaire d'une telle contamination de la preuve causée par une commission d'enquête», lance-t-elle. M. Charest lui-même n'a pas réussi à trouver un exemple.