Quand la manipulation est orchestrée de manière systématique, la force de la vérité fait découvrir l’intention cachée derrière le masque de l’incohérence véhiculée tentant d’annuler la crédibilité argumentée.

Ainsi l’on retrouve des manipulations qui s’enchaînent dans des commentaires émis suite à certains de mes articles. Par exemple :
« Toute la vérité sur le régime castriste sera bientôt dévoilée par le même peuple cubain
Quand Cuba, le goulag caribéen, deviendra dans un futur pas trop lointain un pays pleinement libre, démocratique et d’équité (non d’égalité comme le prêche la gauche caviar), nous découvrirons l’holocauste socioéconomique et culturel infligé au peuple cubain. Par exemple, l’« agriculture » cubaine est incapable de faire nourrir le peuple cubain puisque 80% des besoins alimentaires sont importés. C’est-à-dire, l’État autocratique communiste des frères Castro n’arrive pas à mettre sur pied une politique efficiente dans ce secteur socioéconomique vital pour la société cubaine ». Premier paragraphe de mon article En politique, la fiction dépasse souvent la réalité .
Dans les commentaires suivants l’on constate hélas les intentions manipulatrices de leurs auteurs concernant la littéralité de mes deux écrits présentés ici :

1). « "Toute la vérité sur le régime castriste sera bientôt dévoilée "..
C’est une très bonne nouvelle. Vos propos risquent de devoir se rajuster.
Il y a des volets complets de la politique et de l’Histoire qui semblent complètement vous échapper, M. Perez. » Serge Charbonneau
La référence concernant Le livre noir du communisme que je donne comme preuve irréfutable de cette idéologie perverse ne suffit-elle pas à M. Charbonneau, quand, afin de discréditer le contenu du texte, il écrit : « Il y a des volets complets de la politique et de l’Histoire qui semblent complètement vous échapper, M. Perez. »
2). D’autre part, Oscar Fortin affirme : « En attendant la grande révélation sur le régime cubain dont l’auteur (Jean-Louis Pérez) connaît le secret ».
En ce cas-ci, Il convient de rappeler ce que j’ai écrit : Toute la vérité sur le régime castriste sera bientôt dévoilée par le même peuple cubain (le soulignement en gras vient d’être ajouté pour marquer la différence entre mon affirmation et la sienne).

3). Du même auteur : « M.Perez, je suis heureux de vous relire sur Vigile. Je demeure toujours en attente des réponses aux questions que je vous ai posées suite à vos prises de position en faveur du coup d’État militaire au Honduras. » Oscar Fortin (fragment extrait du commentaire de ce dernier suite à mon article Cuba : le triomphe du mensonge et de l’indignité. LE SOCIALISME CONDUIT TOUJOURS AU COMMUNISME. Les ‘’cavaleuses’’, une profession menant à la ‘’liberté’’ ).
Par rapport à la destitution de M. Zelaya, ex-président de l’Honduras, M. Fortin m’accuse d’être en faveur du coup d’État militaire au Honduras , tandis que je n’ai jamais émis une telle affirmation, sinon que je me suis prononcé en faveur de la légalité émanant de la Constitution du Honduras. Légalité constitutionnelle que les néo-marxistes n’ont pas d’intérêt à respecter en raison du projet bolivarien du néo-communiste Hugo Chávez.
Concernant cette destitution, j’écrivais entre autre :
« Des leçons d’une trahison
Au Honduras deux possibilités sont débattues : suivre le chemin de la liberté ou celui de la servitude. Le dénommé « coup d’État » qui a délogé le président Manuel Zelaya du pouvoir a provoqué des réactions distinctes tant à l’intérieur du pays qu’à l’étranger.
La question fondamentale reste à savoir si ce qui est arrivé au Honduras fut réellement un coup d’État ou une destitution. Quand un citoyen viole la loi, il doit en assumer les conséquences. L’ex président de l’Honduras Manuel Zelaya n’avait pas respecté ce que stipule la Constitution de son pays, et pour cela il a été destitué de son poste de président.
Voici quelques articles de la Constitution de l’Honduras qui démontrent clairement la violation commise par l’ex président Manuel Zelaya :
Article 42. Le droit du citoyen se perd : Pour inciter, promouvoir ou appuyer la continuation ou la réélection du président de la République.
Article 239. Le citoyen qui a exercé la responsabilité du Pouvoir exécutif ne pourrait être président ou Désigné. Celui qui viole cette disposition ou propose sa réforme, ainsi que ceux qui l’appuient direct ou indirectement, cesseront immédiatement de leurs postes respectifs, et resteront inhabilités durant un période de dix ans pour l’exercice de toute fonction publique.
Article 272. Les Forces Armées du Honduras sont une Institution Nationale de caractère permanent, essentiellement professionnelle, apolitique, obéissante et non délibérante. Elles se constituent pour défendre l’intégrité territoriale et la souveraineté de la République, pour maintenir la paix, l’ordre public et le respect à la Constitution, les principes de suffrage libre et l’alternance dans l’exercice de la Présidence de la République. » Jean-Louis Pérez (passages extraits de mon article Manuel Zelaya, un autre qui voulait agir comme Hugo Chávez ).
4). Aux précédents commentaires s’ajoute ces autres accusations de Raymond Poulin quand il affirme : « M. Pérez est cependant cohérent : il appuie les USA, condamne Cuba plutôt que son agresseur, transforme Chavez en dictateur, fantasme sur le péril islamique, se focalise selon l’optique canadian, donc il nous ramène aux Canadiens français et non aux Québécois, s’en prend à tout ce qui n’est pas libéralisme néo-conservateur. Bref, il croit tout ce que croient les partisans de l’Empire, des oligarchies et du fédéralisme canadian... tout en se disant partisan de l’indépendance. Là, il tombe un peu dans la contradiction, mais personne n’est parfait... » (extrait du commentaire [de M. Poulin émis suite au dernier article cité->28191]).
Jean-Louis Pérez
Vive les pays et les nations libres de mercenaires de la politique et de traîtres de leur peuple
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