Depuis le début de la campagne, les amis fédéralistes de Jean Charest font
des pieds et des mains pour faire mal paraître André Boisclair ainsi que
ses candidats et toute la classe indépendantiste.
Par exemple l'affaire
Philpot, La Presse a sorti un titre condamnant monsieur Philpot à retirer
sa candidature: deux jours après, les Québécois ont bien vu que La Presse
avait voulu trainer M. Philpot dans la boue.
Ensuite ça été l'affaire des
"yeux bridés", cette fois-çi ce sont les journaux anglophones à s'en
prendre à André Boisclair: là aussi les fédéralistes hystériques ont
tenté de faire ombrage à monsieur Boisclair mais ils ont fait rire d'eux
par les Québécois.
Depuis le début de la campagne, le libéral Jean Lapierre
(son siège est encore chaud à Ottawa) que TVA a engagé pour qu'il se
promène en régions dans cet immense autocar (erreur de TVA) fait souvent
voir que seul le parti libéral peut gagner cette élection. Là encore,
vouloir trop sauver le parti de Charest, cela pourrait contribuer à rendre
le PQ plus sympathique à la population du Québec.
Peut-être que monsieur Charest devrait commencer à se méfier des
interventions de ses "amis" car AVEC DES AMIS COMME ÇA, IL N'A PAS BESOIN
D'ENNEMIS.
Fernand Lachaine
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