Dernièrement j’ai beaucoup moins parlé de l’indépendance du Québec car, plusieurs intervenants, dont Pierre Cloutier, Richard Le Hir et plusieurs autres couvrent le sujet abondamment et avec beaucoup d’aplomb. On me l’a reproché d’ailleurs. De toutes manières, peu importe ce que l’on raconte, quelqu’un va trouver le moyen de nous le reprocher. Une chose cependant ne doit pas être oubliée : Le Québec fait partie du monde et ce qui se fait ailleurs a, de près ou de loin, une influence sur nous. Certaines politiques pratiquées dans certains pays nous démontrent, illustrent la mauvais façon de procéder, la façon de s’enliser davantage et deviennent de vibrantes leçons de choses à ne pas faire. Il ne faut pas oublier non plus que certains autres pays se sortent de la spirale destructrice de l’oligarchie internationale des banquiers et des financiers, représentée par le FMI, la Banque Mondiale et les bureaux d’annotation à leur service. Un de ces pays est l’Argentine. Bien sûr, rien n’est parfait, mais une amélioration marquée sur ce qui a précédé.
J’ai reçu ce matin un texte signé par Ségolène Royal, candidate à la dernière élection présidentielle en France pour le Parti Socialiste et dont la campagne électorale a été mise en pièces par l’establishment médiatique au profit, bien sûr, du fieffé Nicolas Sarkosy, celui qui en France, comme Charest au Québec, tente de rabaisser, de désorganiser l’état pour le vendre à rabais à ses ti-zamis de la finance. Remarquons qu’ils ont tous les deux le même ‘’padrino’’, tonton Paul, de la corporation du pouvoir.
Si nous avions au Québec une personnalité assez solide, quelqu’un qui puisse se tenir debout, (suis-je naïf?) les méthodes utilisées en Argentine pourraient être adaptées à notre pays ou plutôt à notre futur pays. (….oui!) Prenez le temps de lire ce texte, c’est inspirant.
Ivan Parent