la confiance envers les médias officiels se dégrade, c'est un fait.
Les médias d'information traditionnels sont pris de panique devant l'exode du public vers des sources de renseignements alternatives. J'avance 3 hypothèses pour expliquer ce phénomène contemporain, suivies d'une piste de solution.
Explication 1:
Selon moi, la principale raison est que les médias traditionnels acceptent de se plier devant les idéologies douteuses ambiantes qui cherchent à contrôler la pensée ou à reformater les esprits selon leurs lignes directrices.
En effet, ces médias s'agenouillent servilement devant toutes sortes d'idéologies nuisibles qui les baîllonnent, comme le politiquement correct, la pensée unique, la bien-pensance, le wokisme, le non-genré, la diversité, le multiculturalisme, l'extrémisme écologique. Ils se sentent obligés de les présenter comme étant la seule "bonne" voie à suivre, la seule acceptable pour tout honnête homme. On censure l'expression de toute divergence d'idée. Si on pouvait vous interdire de penser autrement, on le ferait.
Mais par bonheur, un certain éveil est en train de se faire, et de plus en plus de gens partout en Occident ont pris conscience de la nécessité de se méfier de ces idéologies alambiquées, et se détournent des médias qui les prônent de manière propagandiste.
Voir le reste des autres: Quelles sont les 12 idéologies et autres virus de la pensée à combattre en 2024?
Explication 2:
De plus, jamais les journalistes n'oseront expimer un point de vue qui pourrait faire sourciller, offenser ou contrarier les susceptibilités exagérées des différents lobbies pancarteux comme les LGBT+, les activistes écolos anti-tout, les néo-féministes castratrices radicales, les autochtones victimaires exigeant réparation à coups de millions. Tous ces groupes d'influence avides de vitrine et habiles en manipulation médiatique ont entrepris de contrôler l'opinion publique pour que seul leur message fortement biaisé ait droit de cité, sinon prenez garde à vous si vous osez contester la plus infime de ces minorités! Vous pouvez dire adieu à la liberté d'expression de points de vue opposés mais tout aussi valables, sinon plus.
Peut-on imaginer un seul instant qu'à l'émission de placotage pro-diversitaire On va se le dire, quelqu'un s'écrie: "les travestis, pu capable d'en voir"? Censure, quand tu nous tiens. En passant, vous remarquerez qu'à chaque émission de ce talk-show, il y a toujours 1 gai, 1 féministe, au moins 1 Noir quand ce n'est pas 2 (parfois remplacé par un maghrébin ou par l'autochtone de service), un journaliste tout ce qu'il y a de plus à gauche, et tout ce beau monde vont dans le même sens de la bien-pensance idéologique branchée. C'est un festival des minorités présentées comme nouvelles références sur tout. Où est passé le bon monde ordinaire là-dedans?
Pour ne pas aller à l'encontre de leurs idéologies prises en défaut, certains médias iront jusqu'à camoufler des faits ou omettre des détails importants. Par exemple, un média au penchant diversitaire avoué comme Radio-Canada taira délibérément qu'un méfait a été commis à Montréal-nord par des immigrés noirs ou maghrébins, ou que la recrudescence au pays de maladies infectieuses comme la rougeole et la tuberculose est due à l'arrivée massive d'étrangers non vaccinés et infectés venus de régions sans couverture sanitaire, ou encore que la majorité des féminicides commis au Québec le sont par des musulmans dominateurs et maladivement possessifs.
Les faits relatés ne sont donc jamais complets. On pèche par omission. On camoufle. On n'expose et publie que ce qui fait leur affaire, que ce qui flatte les lobbies dans le sens du poil.
À lire: Entrons-nous dans une ère d'épidémies apportées par les immigrants?
Le féminicide : une spécialité musulmane
Explication 3:
Une autre raison qui fait que les gens délaissent les médias officiels, c'est que ces derniers négligent de mettre nouvelles et reportages à jour durant la journée, alors que les gens exigent des nouvelles instantanées, fraîches, de dernière heure. Faites vous-même le test: prenez le bulletin de 8h, midi, 18h et 22 et 23 heures. C'est le même contenu repris toute la journée, les mêmes reportages, sans aucune mise à jour, sans une seule info complémentaire supplémentaire. On n'apprend rien de nouveau une fois rendu au soir que ce qu'on savait déjà depuis le matin.
* * *
Voyant tout cela, on comprend alors aisément que les gens en aient assez de se faire dire quoi penser par de pseudo-élites supérieures penchant systématiquement vers une certaine gauche au lieu de demeurer impartiales et non-partisanes. D'ailleurs, on sent toujours de quel côté penche un journaliste dans sa façon de présenter les choses, aussi neutre et objectif prétend-il être. Et ils semblent tous pencher pas mal toujours du même bord plutôt que de l'autre, tellement ils ont été enrégimentés à la même source.
Le ministre de la culture, M. Mathieu Lacombe, lui-même ancien journaliste, a fait remarquer à Dans les médias que les journalistes semblaient malheureusement peu enclins à l'auto-critique, par extension à réviser leurs façons bien ancrées de voir et de faire. Cette attitude ressemble à une espèce de blocage psychologique rigide, d'ornière mentale dont ils n'arrivent pas à s'extirper. Mais s'ils ne changent pas rapidement cet état de chose, le public qui n'en est plus dupe les désertera pour de bon.
Visionnez l'entrevue ici.
La solution:
Si les médias veulent récupérer leur clientèle périclitante, ils devront faire amende honorable et se libérer de l'emprise d'idéologies étouffantes et de lobbies d'activistes fortement biaisés ne songeant qu'à leurs propres intérêts au détriment de ce qu'est prêt à accepter la majorité.
Il leur faudra se mettre à dire les choses comme elles sont, sans détour, sans rien dissimuler, maquiller ni enjoliver. Sans chercher à ménager la chèvre et le chou.
On veut du vrai. Qu'on nous le donne.
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