Débattre

Tribune libre

Débattre, c’est discuter « quelque chose » ou de « quelque chose » en examinant tous les aspects.
Depuis ma première visite sur le site de Vigile, j’ai cru comprendre que la mission que s’était donnée son fondateur était de permettre au plus grand nombre de partager leur opinion sur l’avenir du peuple québécois dans son cheminement vers son indépendance.
Or, en explorant les archives du site, j’ai pu y lire que :
Ce site entend participer à cette grande VEILLE, à ce «travail» historique par lequel le peuple québécois s'achemine vers son indépendance politique, en présentant, entre autres, les opinions d'acteurs politiques (politiciens, intellectuels, journalistes, économistes, etc.) qui définissent les alternatives démocratiquement offertes aux Québécois. Il entend aussi démasquer les ennemis de la démocratie québécoise, francophobes et colonialistes, qui ne respectent pas les règles du jeu démocratique et, par leur délire, exposent les citoyens d'ici à des conséquences dangereuses }”
Monsieur Archambault, dans la réponse qu’il a faite suite à mon intervention du 31 août écrit que : “ Vous soulevez là une bonne question, mais, comme vous vous en doutez, je ne partage pas la réponse que vous donnez en choisissant de ne pas répondre aux opinions auxquelles nous n’adhérons pas.
En somme, cela revient à dire qu’il ne saurait y avoir de débat.
Cela dit je comprends que vous choisissiez de ne pas argumenter. C’est un choix personnel qui ne se discute pas. Par contre, le mien, contraire au vôtre se discute...

Il faudrait d’abord que nous nous entendions sur ce que nous appelons un débat. Dans le dictionnaire Larousse, on définit le mot débat ainsi :
Débat :
1- Examen d’un problème entrainant une discussion animée, parfois dirigée, entre personnes d’avis différents.
2- (en apposition, avec ou sans trait d’union). Indique que l’événement est organisé pour permettre une discussion. Des déjeuners débats.
3- Conflit intérieur. Débat de conscience.
Au pluriel :
1- Discussion d’un problème au sein d’une assemblée parlementaire.
2- Phase d’un procès durant l’audience où la parole est donnée aux parties et aux avocats.
Laquelle de ces définitions correspond-elle le mieux au projet du fondateur de Vigile ? Pour moi, il ne fait aucun doute que l’idée d’examiner un problème en entrainant une discussion animée, parfois dirigée, entre personnes d’avis différents va tout à fait dans le sens de l’éditorial de monsieur Frappier.
Le débat y a donc sa place et je serais le dernier à refuser qu’il s’y manifeste.
Cependant, il y a débat et débat. Par définition, un débat se doit d’être éclairant. Quand il n’a pour but que de faire valoir à tout prix son point de vue, il ne s’agit plus de débat, mais d’affrontements, d’antagonismes, de controverses, de discussions stériles, de disputes de clochers menant à l’incompréhension, à la lutte, à la mésentente, à la polémique, à la querelle et à la rivalité. De cette façon, nous passons complètement à côté de la question.
Que monsieur Archambault veuille considérer le contexte de l’expression citoyenne politique dans les médias en général ou dans les médias « internautiques » (sic), soit. Que de nombreux partisans tentent d’attirer à eux de nouveaux adeptes et pour ce faire développent des stratégies qui les font être très présents et obstinés, soit. Qu’une réplique s’impose, soit. Mais de prétendre que l’envahissement ne puisse que progresser, perdurer et convaincre, c’est faire très peu confiance au bon jugement des lecteurs ou des intervenants de Vigile. Si les pages du site sont envahies par le dénigrement, les appels à la division et le découragement, ce qui à mon sens est complètement exagéré, cela ne signifie nullement qu’ils puissent devenir communicatifs.
En réalité, ces comportements ne font que démontrer ce que je tente de faire comprendre en affirmant qu’argumenter est inutile et qu’un débat mature ne devrait se faire sur ce qui compte, c'est-à-dire « faire le pays » pour employer la belle formule de Gilles Vigneault. Personne n’a l’apanage de la vérité, cette dernière ne pouvant jamais être que relative et ne se laissant entrevoir qu’à force de réflexion, de questionnements, d’analyse, de déductions et d’expérimentation. Un site comme Vigile, compte tenu des prémisses qui furent à la racine de sa mise en œuvre, est l’endroit idéal pour l’expression des opinions qui y sont diffusées. Autrement, on ne peut qu’assister à une lente dérive qui voit l’expression d’ego frustrés prendre tout l’espace médiatique en mettant de l’avent des arguments spécieux empreints de psittacisme.
Un débat authentique ne devrait jamais être vicié par des attaques personnelles qui ne peuvent que l’envenimer et lui faire perdre sa raison d’être. Débattons, oui, mais dans le but de créer l’enthousiasme et de générer, comme je l’écrivais dans mon dernier envoi, l’impulsion nécessaire pour mettre en œuvre l’énergie libératrice du désir de dépasser nos appréhensions pour vaincre nos peurs et montrer à la face du monde la nation que nous sommes.
Si un débat comme celui qui se tient sur Vigile doit permettre l’examen d’un problème entrainant une discussion animée, parfois dirigée, entre personnes d’avis différents, il ne peut l’être que dans le respect de l’opinion d’autrui, sans attaques personnelles et dans la modération. Notons du reste qu’il est bien défini que ledit débat est « parfois dirigé ». Or, cette direction est normalement faite par le « webmestre », et je ne puis pour cela qu’en appeler aux responsables de Vigile qui, je n’en doute pas, ont la compétence nécessaire pour prendre les décisions qui s’imposent.
J’ai le goût du Québec
Claude G. Thompson


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7 commentaires

  • Frédéric Picard Répondre

    3 septembre 2009

    Je partage l'avis de monsieur Frappier. On doit résumer succintement nos idées. De plus, Vigile n'est pas un forum comme les autres. C'est un site diffusant l'information indépendantiste. Ce faisant, Vigile condense également l'information indépendantiste. Donc, le but de vigile est d'avoir accès à l'information indépendantiste rapidement.
    Vigile permet, via la tribune libre, d'insérer des éléments d'actualité ou des opinions. C'est là louable et permet de casser les monopoles médiatiques sur les idées au Québec.
    Et c'est là que parfois ça peut accrocher. Lorsqu'on diffuse une opinion, forcément il se peut que certaines autres personnes ne soient pas d'accord. C'est le cas des éternelles chicanes Durs contre mous, gauche contre droite. On doit rajouter à ça les textes de propagande piiste, solidaire et péquiste.
    Bref, on est pas sorti du bois. Il devient facile de "perdre" un lecteur voulant être informé rapidement de ce qui se passe.
    Noyer cette information dans des re,re,re,re réponses ne mène à rien et illustre, bien souvent qu'autrement, un blocage idéologique. Je crois qu'il existe d'autres forums pour ce genre d'affrontement idéologique.
    Je rajouterai que ce genre d'affrontement idéologique est rarement productif. Qu'est-ce que j'ai à gagner de faire un re.re.re.re.re aux textes de Christian Montmarquette?
    Strictement rien.
    Monsieur Montmarquette ne se convertira pas à la droite demain !
    Il ne me convertira pas non plus à ses "idées" demain.

  • Claude G. Thompson Répondre

    2 septembre 2009

    Monsieur Dostie
    Qui parle de faire taire et censurer?
    J'ai le plus grand respect pour la lutte que mène monsieur Archambault au sectarisme politique et au manque de perspective de certains intervenants quand au fond du débat que nous devons mener sur l'avenir de notre nation. Loin de moi l'idée de vouloir le faire taire. Au contraire. Cependant, on ne peut nier que depuis quelque temps, les propos acrimonieux et les attaques personnelles de certains enveniment la discussion et détourne le débat de sa finalité.
    Je continue de croire qu’un sain débat se doit d’être modéré et que les argumentaires interminables n’ont pour effet que de braquer les interlocuteurs. “Celui qui étreint l'ours devient l'ours” dit-on.

    Claude G. Thompson

  • Archives de Vigile Répondre

    1 septembre 2009

    Je suis bien d'accord avec vous monsieur Thompson.
    Je note d'ailleurs que chaque fois que une personne souhaite poster un commentaire, Vigile donne une série de recommandations, et notamment une petite liste surmontée d'un IMPORTANT en rouge en bas de page qui me semble parfaitement explicite.
    Prendre ce genre de précautions m'apparait comme nécessaire à une discussion sereine, constructive et respectueuse de chacun, n'empêchant en rien un débat parfois animé et contradictoire, mais cela suppose pour commencer que toute personne participant en commentant n'importe quel article respecte ces règles là , qui se doivent d'être rigoureusement les mêmes pour tout le monde.
    Or précisément Luc Archambault est le premier à ne pas les respecter, ce qui est fort gênant , parce que je considère que du coup, cela décridibilise le site sur la probité de ces mêmes règles; ses commentaires exèdent souvent les 4000 caractères requis, il poste plusieurs commentaires de suite quand il veut s'étendre encore plus, il répond à d'autres commentateurs continuellement, il dénigre voire insulte d'autres personnes, et ainsi de suite. La place que Luc Archambault est telle que cela est assimilable à de l'obstruction dans certains débats. Je me suis permise de lui envoyer un courriel privé pour le lui dire personnellement ce à quoi il m'a répondu qu'il n'entendait pas modifier son comportement d'un iota.
    J'apprécie que Vigile ait effectué hier certaines modifications et remis un peu les pendules à l'heure, et j'ose espérer que le rappel aura été fait à Luc Archambault qu'il se doit de respecter les mêmes exigences que tous les autres participants au site. Vigile a tout à y gagner, parce que les interminables palabres découragent plus d'un de participer à une discussion. L'indépendance mérite mieux que le monologue incessant et le nombrilisme égotique.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    1 septembre 2009

    Comme M. Dostie, je témoigne d’une chose : S’il y a un intervenant qui ne cède pas à l’insulte mais qui la retourne, en miroir, à son auteur, pour convaincre, c’est M. Archambault.
    CONVAINCRE, n’est-ce pas le but du débat? On disait jadis : Débat contradictoire. Que la vérité n’appartienne pas qu’à une personne, soit! Mais celui qui a la conviction de tenir une bonne idée a le devoir de la faire valoir jusqu’à ce qu’on lui démontre qu’il a tort. Ceci peut nécessiter plusieurs échanges, surtout par écrit, où les malentendus surviennent facilement. Je suis un des premiers à réclamer la concision, mais je me rends à l’argument que l’écriture automatique peut amener certaines répétitions, que je contourne par la lecture diagonale. Je persiste parce que seul M. Archambault produit des théories assez étayées pour pouvoir les soutenir devant quiconque. Qui d’autre que lui a proposé une solution à la désunion des indépendantistes? Certainement pas celui qui se plaint constamment d’être mal interprété dans ses textes primaires, mais qui n’a toujours pas compris que le projet d’UNION vise à rassembler tous ceux qui veulent le pays, mais hors de tout parapluie partisan. (l’idée a évolué au fil des discussions et en parallèle avec l’affaiblissement des programmes de partis)
    Pendant une période d’absence de M. Bernard, M. Éric avait aussi été confronté avec le problème des interpellations injurieuses. La solution qu’il avait proposée, mais que peu se sont astreints à respecter fut d’agir comme en assemblée délibérante : S’adresser toujours à l’auteur de l’article principal. Comme à M. le Président. Genre :
    « M. Thompson, vous proposez de limiter les échanges de débat, mais M. Luc prétend que ceci détruit le rythme et limite l’efficacité. Je lui suggérerais pour ma part d’écourter les préambules pour en venir vite au cœur du sujet… etc. »
    Cette formule place un écran entre les belligérants qui doivent ainsi ménager leurs transports et choisir leur vocabulaire. Nous étions très rares à nous y astreindre et comme personne n’aime faire la police pour les indisciplinés, c’est tombé en désuétude…
    Ne pourrions-nous pas y revenir au lieu d’interdire nettement tout commentaire sur les commentaires? Food for thought.

  • Archives de Vigile Répondre

    1 septembre 2009

    Quelle curieuse vigile! Faire taire et censurer un dès plus exceptionnels éclaireurs du débat sur la stratégie pour donner à naitre un pays, surtout qu'il n'est pas de ceux qui insultent, méprisent, provoquent, me semble de la plus pure aberration.
    Je prends donc à mon tour congé de Vigile, le temps qu'il faudra pour que la parole libre retrouve un lieu accueillant.
    Pourquoi donc Vigile devient-il ainsi l'impasse, la censure, le ras-le-bol?
    Je suis déçu, très déçu!
    Gaëtan Dostie

  • Archives de Vigile Répondre

    1 septembre 2009

    Discuter sur Internet a des avantages mais aussi des inconvénients. Respectons-nous sinon..
    « Discuter sur un forum n'est pas un droit. C'est un droit, un gauche et un uppercut dans la mâchoire. »
    Anonyme
    Extrait de Computer Museum de Boston

  • Archives de Vigile Répondre

    1 septembre 2009

    « Mais de prétendre que l’envahissement ne puisse que progresser, perdurer et convaincre, c’est faire très peu confiance au bon jugement des lecteurs ou des intervenants de Vigile. »
    Je ne prétends pas cela. J'ai voulu stopper cet envahissement.
    « Si les pages du site sont envahies par le dénigrement, les appels à la division et le découragement, ce qui à mon sens est complètement exagéré, cela ne signifie nullement qu’ils puissent devenir communicatifs. »
    J'en suis. Nous sommes d'accord. Or, le dénigrement systématique du PQ et du Bloc, divisif, a cours allègrement dans Vigile. J'ai réplique. On s'insurge en s'en prenant à la forme.
    Nous sommes d'accord, en résulte un affrontement. Voire, provoque une foire d'empoigne, des attaques qui s'en prennent aux personnes.
    Il faut faire les distinctions qui s'imposent. Les attaques faites aux personnes doivent être censurées. La foire d'empoigne arbitrée. Quant aux PQ-Bloc-Rentre-dedans, que faire ?
    Le censurer ? On ne l'a pas fait. Faut-il le faire ? Je ne sais pas...
    En attendant. Le mieux est peut-être de faire ce qui s'est fait dans Vigile. Il s'exprime, et on en discute. Ce qu'il faut censurer désormais c'est l'attaque aux personnes, l'insulte aux personnes.
    Quant aux idées, même celle que l'on peut qualifier à bon droit de PQ-Bloc-Rentre-dedans systématique et obstiné, le mieux une fois qu'on en prend acte, c'est de les discuter. Elles expriment quelque chose qui refoulé, n'est pas plus productif. Le mieux me semble être d'en discuter. De démonter un à un les arguments invoqués. De tenter de démêler l'écheveau inextricable de chacun de ses fils, de ses ressorts, tout en prônant ce que vous dites, l'UNION, la mobilisation, l'enthousiasme.
    Ce que j'ai tenté de faire, avec d'autres, avec ce qui me caractérise, et qui malheureusement ne convient pas à tout le monde. Personne n'est parfait.
    « En réalité, ces comportements ne font que démontrer ce que je tente de faire comprendre en affirmant qu’argumenter est inutile et qu’un débat mature ne devrait se faire sur ce qui compte, c’est-à-dire « faire le pays » pour employer la belle formule de Gilles Vigneault. »
    Je ne crois pas que ce qui s'est passé dans Vigile depuis des mois soit « inutile ». Nous avons expérimenté quelque chose, nous avons avancé, en faisant reculer la querelle, le dénigrement, l'insulte. Nous l'avons collectivement fait. Cela me semble fort utile, et si en émerge une UNION, un RASSEMBLEMENT, il sera vrai, profond, justement aussi profond que là où nous auront menées nos querelles. Chacun ayant pu constater ses limites.
    ET, j'ai été un agent déterminant dans cette émergence, parce que j'aurai pris fait et cause pour autre chose que la convenue politique de la chaise vide que d'aucuns ont pratiquée depuis trop longtemps en ignorant les contradicteurs, ce qui les excitait encore davantage, ils en profitaient pour se plaindre de n'être entendus. Ils l'ont été par moi, et d'autres. Cela a suscité des affrontements. Aujourd'hui, vous concluez qu'il m'aurait fallu laisser durer, se répandre, sans réplique le dénigrement, le PQ-Bloc-Rentre-Dedans, le découragement, les attaques personnelles.
    Reste que OUI, ils sont en soi stériles certains épanchements, si n'émerge pas la concorde. Si on ne transforme pas l'hostilité en UNION sur l'ESSENTIEL. Ce que je me suis toujours employé à faire valoir malgré tout. NON ?
    Vous remarquerez que le fait de me critiquer aura justifié M. Parent de m'insulter, s'attaquer à ma personne. Cela n'est pas admissible, d'autant quand leurs pressions victorieuses à ce dénigrement systématique, m'obligent à les accepter sans répliques en vertu de nouvelles règles qui s'appliquent en plein milieu de la partie...
    Quand au reste nous sommes d'accord et n'ai eu de cesse de le faire valoir, il nous faut cultiver la mobilisation, le rassemblement, l'UNION de nos forces.
    Ce qui met fin à ma participation aux travaux de Vigile, du moins pour un temps. Vigile sous pression ne permettant plus les commentaires sur les commentaires, ce qui n'est plus une discussion.
    Pourtant dans maints titres cela a pu permettre des échanges forts productifs et nous faire collectivement avancer dans l'énoncé de cet ESSENTIEL qu'il nous faut faire COMMUN. Les commentaires sur les commentaires étaient bel et bien parties essentielles de ces avancements. Je pense à de nombreux échanges avec MM. Ouhgo, Barberis-Gervais, Dostie, et d'autres. Comment les produire à nouveau ces avancements, la générer cette compréhension pointue si ce vecteur d'échange, de discussion, est proscrit d'emblée ?
    Accumuler des titres ne me semble pas la solution.
    La dispersion n'est pas la solution.
    Pour nous protéger d'outrances volontaires, il faudrait se priver des bienfaits de la discussion civilisée ? Vraiment !? Les outranciers devraient donc dicter le cadre de nos « discussions ». Leur suffirait les matamores, de nous terroriser pour nous faire obéir à leurs suppliques sophistiques ? La longueur de mes textes !? Me semble ! Purs fallacieux prétextes !
    Le fait de dénoncer l'hostilité ne suffit pas !? Il faut se priver de ce qui nous permet de discuter calmement une fois l'hostilité vaincue, parce qu’on l’a validement et respectueusement affrontée hors l'insulte faites aux personnes, à valeur d'exemple, en en étant pourtant si souvent éclaboussé !? Vraiment !?
    Au plaisir tout de même. Luc A.
    P.S.
    J'ajouterais que même dans… cyberpresse on ne m'a pas censuré...
    Bien sûr d'aucuns se sont attaqués à la forme pour disqualifier le fond... mais cela ne m'a pas empêché d'assumer l'odieux de la longueur de mes interventions, tout en me permettant de discuter du fond...
    Ce qui m'a permis de contredire les canadianisateurs valablement et de les pousser dans leurs derniers retranchements en contrant un à un leurs sophismes ou valables arguments.
    Cyperpresse-Le blogue de François Gagnon- 2009 06 20 - Le Canadien vendu: Gillett a fait banco!-
    NOTE À L'ÉDITEUR
    Merci de publier intégralement... ce sera mon dernier pour un temps du moins.