Un modèle à suivre pour le Québec

En France, la loi permet de refuser la nationalité pour défaut d'intégration

Ceux qui ne respectent pas les valeurs du pays peuvent être renvoyés

Tribune libre

La France, terre républicaine s’il en est une, a à coeur le maintien de ses
valeurs fondamentales et prend les moyens qu’il faut pour atteindre ce
noble objectif. En l’occurrence, une loi leur permet de refuser d’accorder
la nationalité aux candidats qui refusent d’adopter lesdites valeurs.

Car il ne faut pas s'y tromper, un nombre considérable d'immigrants tiers-mondistes venus des pays sous-développés ont une connaissance minimale du fonctionnement des sociétés occidentales modernes. Ils sont souvent obstinément accrochés aux principes sociaux et religieux qui ont cours dans ces pays et n'ont nulle intention de modifier ces croyances et pratiques inculquées dès le plus jeune âge. De ce fait, leur volonté et leur capacité d'intégration se voient lourdement hypothéquées par le boulet qu'ils traînent au pied.

Le code civil français prévoit (article 21-4) que "le gouvernement peut s'opposer, par décret en Conseil d'État, à ce qu'une personne étrangère acquiert la nationalité française par déclaration de mariage dans le cas d'indignité ou défaut d'assimilation, ou dans une situation effective de polygamie".

Le défaut d'assimilation, précise le Code civil, "peut consister dans une mauvaise connaissance de la langue française, dans le fait de vivre en marge de la communauté d'accueil et notamment de mener un mode de vie inconciliable avec l'appartenance à la communauté française, dans le fait de répandre des thèses extrémistes, manifestant un rejet des valeurs essentielles de la société française".


Le maître et sa possession

Cette loi progressiste qui défend les valeurs de l'occident est un modèle pour toutes les sociétés évoluées qui doivent porter haut le flambeau de la démocratie, de l'égalité et de la liberté.

Écrivons à nos députés pour demander l'adoption d'une loi similaire qui protégera la société québécoise des effets néfastes de l'infiltration graduelle de modes de vie contraires à notre système de valeurs établies. Le Québec doit rester à notre ressemblance.


Référence:

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110610.OBS4903/le-refus-de-nationalite-pour-defaut-d-assimilation.html

Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    15 juillet 2011

    Contrairement au Canada, la France ne donne pas le droit du sol. Enfin pas aussi directement. L'enfant d'immigrants, qui nait en France, doit attendre d'avoir 18 ans pour demander la citoyenneté. Si on avait ça au Canada on aurait éviter tout le cirque autour d'Omar Khadr.
    http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/citoyen/citoyennete/citoyen-france/comment-devient-on-citoyen-francais.html

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    15 juillet 2011

    @ R. Labrie:
    «Car il ne faut pas s’y tromper, un nombre considérable d’immigrants tiers-mondistes venus des pays sous-développés ont une connaissance minimale du fonctionnement des sociétés occidentales modernes.».
    Il s'agit d'un modèle pas seulement pour le Québec, mais aussi pour toutes les sociétés développées!
    Quant à leur connaissance minimale de nos sociétés, je me permettrais de paraphraser Pierre Falardeau, dans un certain contexte: «Si t'es immigrant, il faut que tu saches où tu mets les pieds!».