Malgré tout ce qui se dit, Louise Harel est la seule candidate crédible!
Malgré tout ce qui se dit sur Mme Harel et les élections à Montréal, nous savons qu'elle est, et de loin, la «seule candidate» crédible à la mairie de Montréal.
Comment pourrions-nous faire confiance à Gérald Tremblay, pour qui je n'ai jamais voté par ailleurs, ou pour Richard Bergeron qui joue les purs et durs parce qu'il utilise le juge Gomery comme «conseil».
Revenons à nos moutons!
Madame Harel, tout au cours et au long de sa carrière politique, s'est montrée «compétente», «honnête» et capable d'affronter tous les défis. Ce ne sont donc pas les rumeurs et les scandales «possibles» «?» autour de Benoît Labonté qui vont nous interdire de voter pour elle à la mairie de Montréal.
Par contre, ce sont tous les scandales ( compteurs d’eau et autres contrats de construction accordés par la ville de Montréal ) qui tournent autour du maire Tremblay qui viendront nous interdire une fois de plus de voter pour son parti «moribond», et si près des scandales, «compteurs d'eau» et «contrats de constructions» oblige.
D'ailleurs, comment nos concitoyens ont-ils pu voter pour cet ancien politique libéral, dont le premier objectif a toujours été d'empêcher les Québécois de ses donner un pays indépendant de langue française en terre des Amériques.
Encore là voyez les scandales issus de cette formation politique, tant au Québec qu'au Canada. Citons pour nos concitoyens, les «scandales des commandites» «plus de 150 millions «$», (ce qui ressemble déjà et beaucoup aux scandales vécus par les Montréalais sous l'actuelle administration) 450 milles votes illégaux lors du référendum de 1995, par les partisans sans aucun scrupule du «non», pour qui voler un pays n'est pas plus important que de jouer au «scrable» ou au «bridge» ou à un autre jeu plus rentable, avec les dirigeants de la mafia de Montréal qui se sont gavés, et se gavent toujours, de très bons et juteux contrats de la ville dirigée par Gérald Tremblay, dit celui qui a mis sur pied la «grappe industrielle» (quelle belle coquille vide?) devant permettre au Québec de se développer économiquement?
Est-ce que pour autant nous devons nous lancer pieds et poings liés dans les mains de Richard Bergeron, dont le seul article au programme est la mise sur pied de 33 KM de tramways qui coûteront aux Montréalais des milliards «$« que leur ville n'a pas,alors que des industriels Québécois nous proposent des «bus mus à l'électricité, beaucoup plus polyvalents et autonomes qu'un tramway, puisque pouvant modifier en tout temps sa route (son parcours) afin d'éviter des écueils relatifs à tous les genres d'incidents pouvant affecter le transport public.
Nous faire croire, parce que conseiller par l'honorable juge Gomery, qu'il pourra répondre mieux que Mme Harel aux besoins de «moralité»( étique: mot qui ne veut rien dire comme nous pouvons le voir) de notre ville est tout simplement jeter de la poudre aux yeux de nos concitoyennes et de nos concitoyens qui sauront lui démontrer qu'ils et elles ont plus «foi» en Madame Harel et à son coéquipier Pierre Lampron (peut-être que les employé/e/s en grève du Journal de Montréal n'auront pas la même opinion que nous; puisque grève oblige)qu'en son équipe ou en celle du très «libéral» («sens de parti politique»)et fédéraliste notoire de Gérald Tremblay.
Alors,aux urnes «citoyennes et citoyens»,pour ne pas nous faire imposer un Richard Bergeron qui se prend pour Jean Drapeau,«sic» (il a quelques croûtes à manger avant de ...) ou celui qui occupe le siège de maire de Montréal depuis quelques années avec les résultats que nous connaissons,compteurs d'eau et contrats de construction ne pouvant nous faire oublier les faiblesses «flagrantes» de ce maire jouant les vierges offensées (le niais,ou celui qui ne savait pas; ce qui revient au même)devant les scandales de son administration.
Le «1er» novembre prochain, le «25 octobre» pour moi et plusieurs autres citoyens, il n'y a qu'un seul vote possible, celui que je donnerai à Mme Harel. Elle a bien mérité de la patrie et du respect de nos concitoyennes et de nos concitoyens.
Jacques Bergeron
Ahuntsic, Montréal
Note:
Il n'y a vraiment que Mme Diane Lemieux, pour croire que son homme/politique à la mairie de Montréal est Gérald Tremblay.
Les Montréalais sauront démontrer à Mme Lemieux qu'ils (et elles) ne votent jamais pour le pire, mais toujours pour le meilleur des mondes!
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