Pour le bien commun, on pourrait songer à établir une citoyenneté à géométrie variable, l'une pour les natifs, et l'autre pour les autres, c'est-à-dire les immigrés étrangers qui doivent d'abord faire leurs preuves.

Il conviendrait d'établir un accès graduel dans le temps aux services publics gouvernementaux comme les soins de santé, les médicaments coûteux, l'aide sociale, l'assurance-emploi, l'instruction, le logement social, les banques alimentaires. Et des droits comme celui de voter.

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Il n'est pas normal qu'un immigrant qui arrive des pays les plus sous-développés de la planète obtiennent dès son arrivée toutes sortes d'avantages qu'il n'a jamais connus dans son pays de misère, sans avoir rien à faire pour en profiter. C'est même une idée aussi ridicule qu'aberrante. On ne leur doit strictement rien en partant. En effet, au nom de quoi devrait-on tout donner dès le départ à un étranger qui n'a encore rien fait pour le mériter? Qu'il commence par payer des impôts comme tout le monde pendant un certain nombre d'années avant de recevoir quoi que ce soit gratis.

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Mais c'est pourtant comment le Canada procède actuellement, on accorde tout dès l'arrivée, alors on comprend la nécessité que cela soit changé. On ne se surprendra plus que le déficit atteigne de nouveaux sommets de 62 milliards de dollars, si on doit prendre en charge le tiers-monde miséreux et profiteur qui s'engouffre au pays par centaines de milliers.

D'où la nécessité d'établir une société à 2 vitesses, départageant les natifs des immigrés, afin de s'assurer que ces derniers ne nuisent pas plus qu'ils ne sont utiles.

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Du coup, il serait plus avisé que tous les services soient accordés graduellement, au rythme des impôts payés par le nouvel immigrant permanent. Tant qu'il n'aura pas rapporté suffisamment, les services publics resteront à sa charge. Il ne doit jamais nous coûter plus cher qu'il ne rapporte, cela tombe sous le sens. On n'est pas la charité publique universelle, ni le refuge de tous les éclopés de la Terre, non monsieur non. Ce n'est pas à nous de sauver toute la misère du monde, c'est à eux d'avoir la dignité humaine et le courage de se sauver eux-mêmes.

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Logiquement, le nouvel arrivant devrait arriver ici avec suffisamment d'argent pour subvenir à ses besoins pendant un an (mettons 20 000$). S'il se trouve un emploi avant l'échéance, tant mieux pour lui. Sinon, qu'il soit renvoyé au bout de cette année. Un immigré récent ne doit jamais devenir un fardeau à la société d'accueil, sinon cela fait de lui un autre profiteur du système, et on en a déjà assez comme ça.

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Par exemple, il devrait être hors de question qu'un immigrant ait droit à une opération chirurgicale majeure gratis en arrivant, ni obtenir une multi-médication de pointe onéreuse à vie. Et pourtant, c'est ce qui se produit tous les jours, le tout payé par vous et moi. C'est un non-sens total. Il lui reviendra de posséder sa propre assurance en attendant d'avoir droit à notre assurance-santé.

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Et c'est sans parler des autres avantages que trop d'entre eux s'approprient sans scrupule dès qu'ils le peuvent: logement sociaux, pillage de banques alimentaires, généreuses prestations d'aide sociale mensuelles correspondant à ce qu'ils gagnaient en 1 an, prestations d'assurance-emploi, instruction gratuite de la maternelle à l'université, la liste est sans fin.

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Tant qu'un immigrant n'aura pas payé au moins 5 ans d'impôts, représentant au moins 25 000$, il ne devrait pas avoir droit à l'ensemble des services offerts aux citoyens, sinon c'est de l'exploitation pure et simple du système par des étrangers convoiteux.

Un calendrier d'attribution graduelle de tous les services sera établi étalés sur une période de 10 ans.

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Des vidéos montrent aux étrangers comment venir se faire prendre en charge à vie par le système canadien:

Ainsi, cette société à 2 vitesses sera plus juste et équitable envers les natifs qui ont travaillé dur et fait des sacrifices toute leur vie durant pour avoir droit à tous les services gouvernementaux.

Cela démontre que dans la vie, il y a des situations où c'est le 2 poids, 2 mesures qui s'avère être la solution la plus appropriée.

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Il y a actuellement trop d'étrangers profiteurs du système au Québec, que ce soit des immigrants permanents, des faux demandeurs d'asile, des pseudo-réfugiés, des étudiants étrangers, des travailleurs temporaires, bref tous ceux qui réussissent à passer à travers la passoire migratoire grande ouverte par Immigration Canada.

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