Indépendantiste reprenez votre carte du PQ

Tribune libre

Indépendantiste de toute tendance, reprenez votre carte de membre du PQ. C'est le temps pour tous les indépendantistes même ceux qui sont épuisés ou fatigués de reprendre leur carte du PQ pour voter pour un vrai chef indépendantiste comme Monsieur Drainville ou Monsieur Péladeau.
Avec le déclin du Bloc, regroupons-nous derrière le PQ avec un programme renouvelé pour faire du Québec une nation libre et souveraine.
La CAQ va disparaitre si les Libéraux font des coupures dans la bureaucratie car cette dernière n'aura plus de raison d'être. Les francophones nationalistes vont revenir au PQ si ce parti est clair et intègre.
Le déséquilibre fiscal revient et favorise le plein contrôle de nos impôts. Un seul rapport d'impôt pour le Peuple du Québec, une seule capitale nationale et un seul parlement pour voter nos lois nationales et signer les traités entre nations.
Vive le Québec libre, Vive l'indépendance nationale.


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9 commentaires

  • Jean-Claude Michaud Répondre

    5 septembre 2014

    Monsieur Cloutier,
    Je vous donne raison, il faut faire tout cela dans un premier mandat vers 2020 serait idéal pour marquer les 40 ans de 1980 et les 25 ans de 1995. Le temps joue contre nous. Je pense que Monsieur Drainville doit ajuster son discours au plus vite.
    Bonne journée!

  • Mario Boulet Répondre

    5 septembre 2014

    Dominique Frappier,
    Vos propos frisent l'absurde. Il faut en revenir de la charte et des carrés rouges. Ces clans nous aident à classifier les groupes de gens lors de notre passé récent. C'est quoi ça?
    Faudrait-il commencer à classer tous les chefs politiques de la sorte? Philippe Couillard divise la population en fédéralistes/souverainistes/anti-prime/prime/surprime/anti-paradis-fiscaux/paradis-fiscaux/...
    François Legault les divisent en fédéralistes/souverainistes/les-pas-prêt-tout-de-suite/branchés/pas-branchés/meilleur-salaire-aux-profs/diminution-des-salaires-aux-profs/anti-coupures/coupures/...
    Pour François David, ah ben là, c'est la catastrophe! Fédéralistes/souverainistes/souverainistes-si-nécessaire/béhèsses/pu-de-béhèsses/auto-à-gazoline/auto-électrique/transport-en-commun/école-gratuite/école-payante/pu-d'école/...
    On peut déraper loin! Mets ta ceinture et viens avec moi faire un « trip » de « char »!

  • Mario Boulet Répondre

    5 septembre 2014

    Monsieur François Janvier,
    Vous rejoignez mes propos. Je suis bien content à ne pas être le seul à penser ainsi. Peut-être n'aurons-nous qu'un seul membre du tandem Péladeau-Aussant ou bien aucun des deux. Seul l'avenir saura le dire. Mais il vient un temps que peu importe les acteurs, mais comme vous dites si bien: « Le jour où l’on aura un projet de pays qui montre clairement tous les avantages de l’indépendance aux plans économique, éducationnel, social et environnemental, que l’on aura un bon plan de communication et des leaders indépendantistes convaincus capable de bien communiquer avec la population , l’indépendance ne sera pas loin. ».
    J'espère que ce jour approche. Que nous ne serons pas obligé d'attendre 10, 20, voire même 30 ans!
    J'ajouterais également que ce parti saura se relever des erreurs qu'il commettra en cours de route. C'est pour cela que ça ne prend pas seulement de bons communicateurs, mais également des « bagarreurs » qui savent se relever suite à quelques bonnes « taloches » de nos adversaires et qui continueront le combat de l'accession à l'indépendance.
    Nous avions de fichus bons communicateurs en 1980 (Lévesque, Charron, etc.), mais nous n'avions pas de ces bagarreurs qui ramènent les ouailles au combat.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 septembre 2014

    Cela fait 40 ans que l'on parle d'indépendance du Québec. Le fruit est plus que mûr. Et cela n'a pas pris 4 ans à M. Jacques Parizeau pour mettre la table pour un référendum sur l'indépendance; il a été élu en 1994 et l'on a tenu le référendum en 1995. Les gens qui ont voté en 1995 ont eu d'ailleurs la chance d'avoir toute une campagne d'information sur le sujet.
    Ce n'est pas une question de génération mais plutôt d'absence d'information qui fait qu'autant de jeunes ne sont pas indépendantistes. Si ce n'était pas le cas, comment expliquer que les trois leaders charismatiques du mouvement étudiant de 2012, qui sont des gens bien informés, soient tous trois indépendantistes (Léo-Bureau Blouin, Martine Desjardins, Gabriel-Nadeau Dubois)? Comment expliquer l'engouement de Jean-Martin Aussant auprès de la nouvelle génération?
    Le jour où l'on aura un projet de pays qui montre clairement tous les avantages de l'indépendance aux plans économique, éducationnel, social et environnemental, que l'on aura un bon plan de communication et des leaders indépendantistes convaincus capable de bien communiquer avec la population , l'indépendance ne sera pas loin. À cet égard un tandem Pierre-Karl Péladeau-Jean-Martin Aussant serait un coup de maître; d'ici l'élection de 2018, ils auraient trois ans pour consolider une proposition d'indépendance.

  • Dominique Frappier Répondre

    4 septembre 2014

    1. Le Québec au départ est divisé en deux:
    souverainiste/fédéraliste
    2. avec Drainville, il se divise en 4:
    fédéraliste/souverainiste/charte/anti-charte
    3. avec Péladeau, il se divise en 8: fédéraliste/souverainiste/charte/anti-charte/carré rouges (les jeunes)/anti-carré-rouges
    Criez tant que vous voudrez, les chiffres restent des chiffres.
    L'autre option c'est Jean-François Lisée qui est anglophile, le pire candidat selon moi.
    Mieux voudrait tout repartir sous un autre nom.
    Je viens de recevoir ma nouvelle carte du Bloc québécois, ma première depuis 1991 et je suis content de dire qu'il y a au moins un parti politique qui représente mes idées actuellement.
    Pourquoi pas un Bloc québécois provincial ET fédéral en même temps dans la même entité? Ça se coordonnerait mieux. Un seul parti qui siège à deux assemblées et qui parle d'une seule et même voix.
    Finies les obstinations aberrantes style Parizeau/Bouchard sur la place publique.
    L'aile fédérale serait subordonnée à l'aile nationale qui siègerait à Québec.
    La section provinciale tire pour la souveraineté, la section fédérale pousse pour l'expulsion par le fédéral. On tire, on pousse. Quand le Canada décidera de nous expulser du canada, il ne s'encombra pas d'un référendum vous verrez.
    Il ne s'agirait que de provoquer le ROC, ce qui est facile et même amusant...

  • Mario Boulet Répondre

    4 septembre 2014

    Monsieur Michaud,
    Le problème avec un tas d'études et d'analyses plus poussées les unes que les autres, c'est qu'elles deviennent rapidement caduques. C'est toujours à recommencer. La planète est vivante. Qui aurait dit il y a un an qu'Israël et la bande de Gaza en viendraient à un conflit armé? Qui aurait deviné les conséquences politiques en Ukraine? La planète n'arrête pas de tourner parce que nous sommes au Québec.
    Il faut procéder plus vite. Il faut fonctionner en temps réel, voire interactivité, qu'à l'intérieur d'un environnement statique. Aujourd'hui et demain, les véritables héros sauront agir et réagir face à l'environnement qui les entoure.
    Dans le temps, René Lévesque imaginait une association, suivant la souveraineté du Québec. Pourquoi? Parce qu'à cette époque, le Canada resterait un allié économique. Qui saura prévoir dans 10 ou 20 ans ce qui adviendra du Canada? Ajoutera-t-il autant d'États qu'il y a de provinces canadiennes au sein des États-Unis? Nul ne le sait.
    Vous me faites penser au gars qui veut s'acheter une télé à écran plat et qui attend encore si de l'écran Plasma ou LCD dominera le marché. Il s'informe et lit une multitude de tests et d'études effectués, sans pour autant l'acquérir. C'est ce qui se passe depuis trop longtemps au Québec. On ne sera jamais sûr de ce qu'adviendra le Québec une fois indépendant. Tout ce que l'on sait, c'est que nous serons plus forts que maintenant. À quel niveau cependant? Aucune étude ne saurait le dire. Même Philippe Couillard a dit que le Québec serait très viable s'il était indépendant lors des dernières élections.

  • Jean-Claude Michaud Répondre

    4 septembre 2014

    Cher M. Cloutier,
    Contrairement à vous, je suis dans la mi-trentaine et donc j'ai beaucoup de patience mais par contre, comme vous, je souhaite qu'on devienne un pays maximum d'ici 2025. Surtout pour éviter l'assimilation et reprendre tous nos pouvoirs et leviers économiques.
    Il faut d'abord calculer que le PLQ sera au pouvoir jusqu'à 2018 environ. Par la suite, je verrais un gouvernement du PQ qui obtiendrait un mandat de gouvernement national dans un premier temps publier la mise à jour d'étude sur l'accession à l'indépendance, une étude des partenariats économiques avec le Canada, États-Unis, Amérique Latine et Europe à envisager. Ensuite la rédaction d'une constitution après la tenue d'une assemblée constituante, des forums de discussions et un comité d'indépendantiste permanent pour faire la promotion intensive de l'indépendance par le retour des assemblées de cuisine et réunions régionales ouvertes pour inclure les nationalistes mous et autres autonomistes et les faire cheminer vers le Oui au pays.
    Un gouvernement national aurait aussi pour tâche de rapatrier le plus de pouvoir du fédéral si possible dans un premier temps par entente administrative (gestion par le Québec de l'assurance-emploi et des impôts des particuliers sur le territoire du Québec) et poser des gestes d'émancipation nationale pour renforcer le français, abolir le poste de lieutenant-gouverneur, mieux intégrer nos immigrants. Gouverner dans l'intérêt national du Québec notre État en voie de devenir un pays.
    Par la suite, élection à date fixe et référendum au même moment pour négocier et réaliser l'indépendance.
    La constitution pourrait inclure la charte de la langue française, une charte de la neutralité de l'État, une déclaration des droits de l'homme et de la femme, les valeurs démocratiques, de liberté et d'égalité en droits des citoyens du Québec, la répartition des pouvoirs entre le gouvernement national et les municipalités, la structure politique donc un sénat tiré au sort composé de deux sénateurs par régions, un système proportionnel pour 25-50 députés sur 125, un président-symbolique de la République en alternance choisi parmi les membres de l'assemblée nationale, un premier ministre issue du parti ou de la coalition au pouvoir, etc.

  • Mario Boulet Répondre

    4 septembre 2014

    À Pierre Cloutier,
    Comme vous, M. Bernard Drainville vient de me jeter une douche froide. Je suis d'avis, comme certains d'entre vous, que la journée où le chef du Parti Québécois promouvra l'indépendance du Québec dans tous les petits points (économie, langue, culture, bien-être, interculturalisme, etc.), les gens vont avoir envie, au plus sacrant, que se tienne un autre référendum à propos de l'indépendance du Québec.
    Dire que l'on va commencer par faire un autre référendum dans 10 ans (ou presque!) m'amène à penser à la conclusion de l'accession à l'indépendance, avant même du chemin à parcourir.
    C'est comme le gars qui fera un voyage en « char » jusqu'en Californie un jour et qui songe en premier lieu à laver son « char » à son arrivée à Los Angeles. Il ne sait pas quand il partira. Il n'a aucun itinéraire de fait. Il ne sait même pas si ses enfants ne seront pas trop vieux pour partir avec lui, mais il pense à laver son « char ».
    Au Parti Québécois, ça va en prendre un, qui fera une démonstration sans équivoque, la plus simple possible, qu'économiquement le Québec sera viable et très fort (plus fort que le Canada même). Nous ne sommes pas en '60 ou '70. Nous sommes rendus en 2014, presque en 2015. Peut-être pour cela que d'après la rumeur, Pierre-Karl Péladeau veut ramener Jean-Martin Aussant au Parti Québécois.
    Il faut tout démontrer. Il ne faut pas que le choix deviennent que subjectif. Certains voteront encore par subjectivité, mais la grande majorité voteront d'un choix éclairé et simplement logique.
    Certains menaceront de ne pas suivre le Québec dans sa voie vers l'indépendance, s'il l'acquiert. C'est normal. Mais comme lors des précédents référendums, cette tactique ne faisait que vouloir faire peur.

  • Pierre Cloutier Répondre

    3 septembre 2014

    Pas sûr qu'avec Bernard Drainville, j'ai le goût d'attendre encore 10 ans. Je vais avoir 70 ans en octobre. Cela me ramène à 80 ans. Cela ne me dit absolument rien. Et vous?
    Pierre Cloutier